De gauche à droite, Guillaume Linton, PDG d’Asia ; Ludivine Bouyer (Îles Cook) ; Caroline Bilkey, Ambassadrice de la Nouvelle-Zélande en France ; Nick Costantini (Îles Cook) ; Richard Hulin (Singapore Airlines) ; Virginie Gerbault, directrice de Production chez Asia ; Florence Ichkhan et Xavier Guinet (Production Pacifique chez Asia). ©David Savary
« Le Pacifique est une région magnifique à visiter. Je suis sûr qu’après avoir entendu ce que les Îles Cook ont à offrir, vous aurez envie de recommander cette destination ainsi que la Nouvelle-Zélande à vos clients » a déclaré aux agents de voyages présents Caroline Bilkey Ambassadrice de la Nouvelle-Zélande en France.
Une Première pour l’Ambassade de Nouvelle-Zélande
De son côté, Guillaume Linton, PDG d’Asia s’est félicité que l’Ambassade organise « pour la première fois un évènement lié au tourisme ». Une initiative loin d’être incongrue sachant que la Nouvelle-Zélande fait partie de ces destinations n’ayant pas de représentation Office de Tourisme en France.
« C’est aussi à l’Ambassade de jouer ce rôle de relais » explique Guillaume Linton ravi de constater que la destination « fonctionne bien, avec des niveaux de performance se rapprochant de l’Australie », et un panier moyen élevé, « de l’ordre de 6 000 euros - 6 500 euros par personne ».
« C’est aussi à l’Ambassade de jouer ce rôle de relais » explique Guillaume Linton ravi de constater que la destination « fonctionne bien, avec des niveaux de performance se rapprochant de l’Australie », et un panier moyen élevé, « de l’ordre de 6 000 euros - 6 500 euros par personne ».
Asia vise les 500 pax en Nouvelle-Zélande l’an prochain
« L’an prochain avec Asia nous visons les 500 pax sur la Nouvelle-Zélande » poursuit le dirigeant précisant dans un sourire qu’il y a « encore beaucoup de boulot à faire sur les Îles Cook ».
De façon générale, « le Pacifique fait partie des destinations que l’on souhaite soutenir et promouvoir sur le marché français » affirme Guillaume Linton qui en profite aussi pour évoquer une nouvelle ligne, « un Paris-Perth avec Qantas à partir de la mi-juillet ». Un vol qui permettra dans le même temps de proposer « le Pacifique avec la porte d’entrée qu’est l’Australie et tout ce qui peut rayonner derrière comme la Nouvelle-Zélande et les Îles Cook ».
De façon générale, « le Pacifique fait partie des destinations que l’on souhaite soutenir et promouvoir sur le marché français » affirme Guillaume Linton qui en profite aussi pour évoquer une nouvelle ligne, « un Paris-Perth avec Qantas à partir de la mi-juillet ». Un vol qui permettra dans le même temps de proposer « le Pacifique avec la porte d’entrée qu’est l’Australie et tout ce qui peut rayonner derrière comme la Nouvelle-Zélande et les Îles Cook ».
« Une offre solide au départ du marché français » avec Singapore Airlines
Dans le cadre de cette soirée, le PDG d’Asia a également fait état de la desserte assurée par Singapore Airlines, « notre transporteur préféré », constituant ainsi « une offre solide au départ du marché français ».
En conclusion de son allocution, Guillaume Linton a souligné « la convergence de bonnes raisons pour parler de ces destinations de rêve, peu connues du marché et peu identifiées par les agents de voyages ».
Prenant à son tour la parole, Richard Hulin représentant en France Singapore Airlines, a insisté sur la flotte moderne de la compagnie constituée de 149 avions, avec en moyenne « 70% des passagers qui sont en connexion ».
En conclusion de son allocution, Guillaume Linton a souligné « la convergence de bonnes raisons pour parler de ces destinations de rêve, peu connues du marché et peu identifiées par les agents de voyages ».
Prenant à son tour la parole, Richard Hulin représentant en France Singapore Airlines, a insisté sur la flotte moderne de la compagnie constituée de 149 avions, avec en moyenne « 70% des passagers qui sont en connexion ».
7 portes d’entrées sur l’Australie et 2 sur la Nouvelle-Zélande
Singapore Airlines possède en effet un gros réseau sur le Pacifique Sud, avec notamment 7 portes d’entrées sur l’Australie (124 vols par semaine) et 2 sur la Nouvelle-Zélande.
Concernant les Îles Cook, Richard Hulin a parlé « d’un à deux vols par jour via Auckland sur Rarotonga, la plus grande des îles Cook, ainsi qu’un vol par semaine via Sydney ».
Concernant les Îles Cook, Richard Hulin a parlé « d’un à deux vols par jour via Auckland sur Rarotonga, la plus grande des îles Cook, ainsi qu’un vol par semaine via Sydney ».
Nouvelle-Zélande, Îles Cook : « Le voyage d’une vie »
Présentée comme « le voyage d’une vie », par Florence Ichkhan, chef de produit sur la zone Pacifique chez Asia, la Nouvelle-Zélande se situe à 19 000 km de la France. Un pays peu peuplé, 5 millions d’habitants, qui se divise en deux grandes îles : celle du Nord et celle du Sud.
Bien qu’elle ne concerne que 15% de la population, la culture maorie est omniprésente dans le pays. Une présence authentique, ancestrale qui fascine à plus d’un titre. On pense notamment au célèbre Haka rendu populaire par les joueurs de rugby All Blacks et qui occupe une place très importante dans la culture maorie.
Bien qu’elle ne concerne que 15% de la population, la culture maorie est omniprésente dans le pays. Une présence authentique, ancestrale qui fascine à plus d’un titre. On pense notamment au célèbre Haka rendu populaire par les joueurs de rugby All Blacks et qui occupe une place très importante dans la culture maorie.
Les départs pour 2025 sont ouverts
Annonçant « les départs ouverts pour 2025 », Florence Ichkhan a mis en avant deux produits chez Asia. D’abord un circuit de 18 jours/14 nuits (7 590 euros) avec accompagnateur francophone, d’Auckland au nord à Dunedin au sud en passant par la capitale Wellington, Christchurch ou Milford Sound.
Ensuite un circuit privé en location de voiture de 18 jours/14 nuits (4 053 euros). Ce programme peut être fait au départ de Christchurch avec un final à Auckland afin de prendre un vol direct vers les Îles Cook pour ponctuer son voyage sur une île paradisiaque. Les deux produits s’opèrent avec Singapore Airlines et donc avec une escale à Singapour.
Ensuite un circuit privé en location de voiture de 18 jours/14 nuits (4 053 euros). Ce programme peut être fait au départ de Christchurch avec un final à Auckland afin de prendre un vol direct vers les Îles Cook pour ponctuer son voyage sur une île paradisiaque. Les deux produits s’opèrent avec Singapore Airlines et donc avec une escale à Singapour.
Trois îles principales sur les Îles Cook
Représentant les Îles Cook sur les marchés européens et français, Nick Costantini et Ludivine Bouyer ont ensuite fait rêver l’assistance en présentant cet archipel constitué de 15 îles, avec 17 000 habitants et 30 000 touristes chaque année.
Situés à mi-chemin entre la Nouvelle-Zélande et Hawaï, on distingue trois îles principales : la capitale Rarotonga, Aitutaki et Atiu. Il faut compter 5h30 depuis Sydney, 4h00 depuis Auckland, ou mieux 2h30 depuis Tahiti, pour les rallier.
Situés à mi-chemin entre la Nouvelle-Zélande et Hawaï, on distingue trois îles principales : la capitale Rarotonga, Aitutaki et Atiu. Il faut compter 5h30 depuis Sydney, 4h00 depuis Auckland, ou mieux 2h30 depuis Tahiti, pour les rallier.
Rarotonga, île verte volcanique
Rarotonga, 10 000 habitants et 32 km de circonférence, est une île verte volcanique embellie par une ceinture de sable blanc avec ses eaux turquoises. Ici pas de feux de circulation, ni de bâtiment plus haut qu’un cocotier.
Rarotonga, « le plus beau lagon du monde »
« Bora-Bora des Îles Cook », Aitutaki (2 000 habitants), à 40 minutes de vol de Rarotonga, possède un incroyable lagon décoré de 15 motu (îlots inhabités), « c’est le plus beau du monde » déclare Ludivine Bouyer. « 50 nuances de bleu » se permet son collègue Nick Costantini. Idéal aussi pour les amateurs de kite surf.
Atiu, la jungle en majesté
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Egalement à 40 minutes de vol de Rarotonga, Atiu (400 habitants), quant à elle, est ancienne, intacte, luxuriante avec des forêts tropicales denses, des grottes de calcaire, des arbustes côtiers et des oiseaux endémiques.
« Sur ces îles, nous sommes très loin du surtourisme. Nous voulons des Français mais pas trop » conclut dans un clin d’œil Nick Costantini.
« Sur ces îles, nous sommes très loin du surtourisme. Nous voulons des Français mais pas trop » conclut dans un clin d’œil Nick Costantini.