
Hier, il a neigé sur Paris : 5 petits centimètres, très conformément aux prévisions de Météo France.
Aujourd’hui, 18 décembre, 24 heures après le dernier flocon, alors que la circulation est redevenue normale dans la région parisienne, l’aéroport d’Orly demeure englué dans la gadoue.
Les points de restauration ont tous baissé le rideau à l’heure du déjeuner. Inutile de revenir pour le dîner, ce sera la même chose.
Les vols sont retardés ou annulés, sans explications. Les rares informations distillées sont erronées ou fantaisistes : « on interrompt l’embarquement pour donner priorité au débarquement », « l’équipage n’a pas pu rejoindre Orly ».
Tiens, je suis portant venu en scooter. Sur les écrans ankylosés, les vols annulés restent affichés. Le rapide retour à la normale de la situation aurait-il pris tout le monde de vitesse ?
Aujourd’hui, 18 décembre, 24 heures après le dernier flocon, alors que la circulation est redevenue normale dans la région parisienne, l’aéroport d’Orly demeure englué dans la gadoue.
Les points de restauration ont tous baissé le rideau à l’heure du déjeuner. Inutile de revenir pour le dîner, ce sera la même chose.
Les vols sont retardés ou annulés, sans explications. Les rares informations distillées sont erronées ou fantaisistes : « on interrompt l’embarquement pour donner priorité au débarquement », « l’équipage n’a pas pu rejoindre Orly ».
Tiens, je suis portant venu en scooter. Sur les écrans ankylosés, les vols annulés restent affichés. Le rapide retour à la normale de la situation aurait-il pris tout le monde de vitesse ?
Une image aussi lamentable force le respect...
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Hall 2. Une heure après l’heure affichée : embarquement en bus. L’escalier enneigé a toutes les allures d’une piste noire verglacée. Sans les bâtons.
Au bas de l’escalier, 40 minutes vivifiantes dans un bus immobile mais bien ventilé : les trois portes demeurent ouvertes. Au bout d’un trajet de 200 mètres : le Hall 1. L’escalier, dans le sens de la montée, est déneigé. C’est donc possible ! Départ avec 2 h de retard.
Je comprends qu’une situation climatique exceptionnelle et imprévisible perturbe le trafic aérien. Mais j’éprouve quelques difficultés à admettre qu’aéroports et transporteurs ne soient pas capables de faire face à une température de zéro degrés et à un centimètre de neige résiduelle : situation somme toute normale en hiver.
L’obstination mise à donner des aéroports parisiens une image aussi lamentable force le respect.
Deux solutions :
- Envoyer les responsables de cette incurie en stage hivernal au Canada ou en Europe du nord. Oui, je sais, il y a aussi la Sibérie...
- Prendre Eurostar… Mais ça c’est une autre histoire.
Au bas de l’escalier, 40 minutes vivifiantes dans un bus immobile mais bien ventilé : les trois portes demeurent ouvertes. Au bout d’un trajet de 200 mètres : le Hall 1. L’escalier, dans le sens de la montée, est déneigé. C’est donc possible ! Départ avec 2 h de retard.
Je comprends qu’une situation climatique exceptionnelle et imprévisible perturbe le trafic aérien. Mais j’éprouve quelques difficultés à admettre qu’aéroports et transporteurs ne soient pas capables de faire face à une température de zéro degrés et à un centimètre de neige résiduelle : situation somme toute normale en hiver.
L’obstination mise à donner des aéroports parisiens une image aussi lamentable force le respect.
Deux solutions :
- Envoyer les responsables de cette incurie en stage hivernal au Canada ou en Europe du nord. Oui, je sais, il y a aussi la Sibérie...
- Prendre Eurostar… Mais ça c’est une autre histoire.