Le Pacific Sky s'étaient rendus sur le récif non loin de l'île des Pins
Ce paquebot de 46.000 tonnes et de 240 mètres de long construit en 1984 par les Chantiers du Nord et de la Méditerranée (France) s’était échoué ce week-end lors de l’une de ses escales traditionnelles, après avoir rencontré des problèmes de moteur, rapporte la presse locale.
Il n’aurait pas souffert d’avarie à sa coque, mais dès l’incident, les quelque douze cent passagers et six cent membres du personnel d’équipage, dont la plupart se trouvaient dimanche à terre dans le cadre de leurs excursions quotidiennes, avaient été invités à remonter à bord. Le nez du bateau était dimanche pris sur le récif entourant cette île, qui a récemment servi de lieu de tournage de la série française de télé-réalité « Koh Lanta ».
L’incident est survenu alors que le Pacific Sky faisait escale à l’île des Pins avant de se diriger, dans le cadre de sa croisière océanienne, vers Vanuatu et Fidji. La société P&O n’a pas encore indiqué si la croisière se poursuivrait ou si le paquebot fera maintenant l’objet d’un contrôle technique poussé, afin d’évaluer d’éventuels dégâts non visibles a priori.
Seconde avarie en six mois
En mars de cette année, le Pacific Sky, après avoir rencontré une avarie à bord, était resté immobilisé sur l’île des Pins (Sud de la capitale néo-calédonienne) avec à son bord plus de treize cent touristes principalement australiens.
Il avait finalement regagné le port de Nouméa, par ses propres moyens, mais avec une seule de ses deux hélices opérationnelles. La société P&O avait décidé d’interrompre la croisière et de rapatrier les passagers vers Sydney sur des vols spéciaux. Le Pacific Sky devrait regagner son port d’attache quelques jours plus tard, à vide.
Il avait ensuite dû, de retour en Australie, être mis en cale sèche pour deux mois à Brisbane, afin d’y subir les réparations nécessaires : selon la société le directeur général de P&O, Gavin Smith, c‘est toute une boîte de vitesse qui devait être changée à l’issue de ce premier incident. « Nous préférons nous concentrer sur ces réparations pour que ces récents problèmes techniques appartiennent définitivement au passé, une fois pour toutes”, avait-il alors déclaré à la presse australienne.
Il n’aurait pas souffert d’avarie à sa coque, mais dès l’incident, les quelque douze cent passagers et six cent membres du personnel d’équipage, dont la plupart se trouvaient dimanche à terre dans le cadre de leurs excursions quotidiennes, avaient été invités à remonter à bord. Le nez du bateau était dimanche pris sur le récif entourant cette île, qui a récemment servi de lieu de tournage de la série française de télé-réalité « Koh Lanta ».
L’incident est survenu alors que le Pacific Sky faisait escale à l’île des Pins avant de se diriger, dans le cadre de sa croisière océanienne, vers Vanuatu et Fidji. La société P&O n’a pas encore indiqué si la croisière se poursuivrait ou si le paquebot fera maintenant l’objet d’un contrôle technique poussé, afin d’évaluer d’éventuels dégâts non visibles a priori.
Seconde avarie en six mois
En mars de cette année, le Pacific Sky, après avoir rencontré une avarie à bord, était resté immobilisé sur l’île des Pins (Sud de la capitale néo-calédonienne) avec à son bord plus de treize cent touristes principalement australiens.
Il avait finalement regagné le port de Nouméa, par ses propres moyens, mais avec une seule de ses deux hélices opérationnelles. La société P&O avait décidé d’interrompre la croisière et de rapatrier les passagers vers Sydney sur des vols spéciaux. Le Pacific Sky devrait regagner son port d’attache quelques jours plus tard, à vide.
Il avait ensuite dû, de retour en Australie, être mis en cale sèche pour deux mois à Brisbane, afin d’y subir les réparations nécessaires : selon la société le directeur général de P&O, Gavin Smith, c‘est toute une boîte de vitesse qui devait être changée à l’issue de ce premier incident. « Nous préférons nous concentrer sur ces réparations pour que ces récents problèmes techniques appartiennent définitivement au passé, une fois pour toutes”, avait-il alors déclaré à la presse australienne.