Faute de réponse de la mairie de Paris, la FNTV et l’UNOSTRA appellent à la mobilisation le 20 décembre 2016 Photo : lassedesignen-Fotolia.com
La Fédération Nationale des Transports de Voyageurs (FNTV) a demandé début novembre à Anne Hidalgo de la recevoir pour lui demander de revenir sur sa volonté d’interdiction de circulation des véhicules diesel en 2020 et de renoncer à l’augmentation des tarifs de stationnement des autocars au 1er janvier 2017.
Faute de réponse, la FNTV et l’UNOSTRA appellent à la mobilisation le 20 décembre 2016. Ils annoncent que "les chefs d’entreprises de transport par autocars viendront de toute la France et de toute l’Europe et mobiliseront des centaines d’autocars dans Paris pour dénoncer la politique dogmatique de la Maire de Paris, déconnectée de la réalité économique et touristique."
Les entreprises demandent une "mise en œuvre d’un calendrier réaliste et échelonné d’autorisation de circulation des véhicules diesel avec le maintien des véhicules Euro V et VI au-delà de 2020, et le respect des textes nationaux définissant les normes de véhicules à « faibles émissions », la révision du calendrier fixant les interdictions de circulation des véhicules dont la norme est inférieure, en respectant un échéancier économiquement et technologiquement réaliste, et la remise à plat de la politique du stationnement des autocars sur Paris et l’annulation de la hausse des prix du stationnement au 1er janvier 2017."
Faute de réponse, la FNTV et l’UNOSTRA appellent à la mobilisation le 20 décembre 2016. Ils annoncent que "les chefs d’entreprises de transport par autocars viendront de toute la France et de toute l’Europe et mobiliseront des centaines d’autocars dans Paris pour dénoncer la politique dogmatique de la Maire de Paris, déconnectée de la réalité économique et touristique."
Les entreprises demandent une "mise en œuvre d’un calendrier réaliste et échelonné d’autorisation de circulation des véhicules diesel avec le maintien des véhicules Euro V et VI au-delà de 2020, et le respect des textes nationaux définissant les normes de véhicules à « faibles émissions », la révision du calendrier fixant les interdictions de circulation des véhicules dont la norme est inférieure, en respectant un échéancier économiquement et technologiquement réaliste, et la remise à plat de la politique du stationnement des autocars sur Paris et l’annulation de la hausse des prix du stationnement au 1er janvier 2017."