Pour Pierre & Vacances, cet engagement se traduit financièrement par un budget de 200 000 euros annuel alloué à WWF.
En échange, l’ONG guide l’entreprise dans une démarche plus respectueuse de l’environnement.
Et cette démarche touche tous les aspects de l’activité de Pierre & Vacances, de la promotion immobilière à la commercialisation des villages. Une philosophie plus facile à appliquer lorsqu’il s’agit de développements nouveaux que dans la modernisation des sites déjà existants.
« Nous ne sommes pas propriétaires des villages. Il faut donc convaincre tous les propriétaires d’investir plus lourdement dans des programmes de rénovation respectueux de l’environnement comme dans des technologies de basse énergie », explique Gérard Brémont.
Ce qui n’est guère facile lorsque les aides accordées par les pouvoirs publics aux propriétaires qui investissent dans les équipements « verts » ne concernent que les propriétés principales.
Pour autant, un certain nombre d’initiatives ont pu être réalisées comme la mise en place de kits ménagers composé de produits « verts » dans les appartements, l’utilisation de produits agricoles bio ou locaux, ou encore la formation des personnels permanents aux problèmes écologiques.
A noter que l’effort écologique de Pierre & Vacances comporte également un volet social destiné à faire travailler dans les villages du personnel local.
En 2006, le partenariat a travaillé à définir les règles de la construction « verte ». C’est donc sur le nouveau développement du village de Belle Dune que les premiers conseils de WWF ont été appliqués avec, par exemple, le choix de panneaux solaires pour l‘énergie.
Même préoccupation pour le Center Parcs du lac d’Ailette ouvert l’automne dernier qui a été le premier « chantier vert » du groupe.
Sur le prochain site Center Parcs, le Domaine du Bois des Harcholins en Moselle, l’action sera encore plus évidente avec 870 cottages en bois THPE et un projet de maisons pilotes à énergie positive, l’installation d’une chaufferie bois/gaz, l’élaboration d’un plan de gestion écologique de la forêt, la création de zones humides favorisant la biodiversité, etc…
Le surcoût d’une telle construction est estimé entre 5 et 10%. Parallèlement, le groupe P&V se prépare à sensibiliser les clients à la sauvegarde de l’environnement à travers des animations notamment à destination des enfants, une communication externe dédiée à ce sujet.
Quant à l’avantage commercial que le groupe pourrait tirer de son image « verte », il ne sera que très modeste en France où WWF ne compte que 130 000 adhérents mais les clientèles anglo-saxones, hollandaises et allemandes sont beaucoup plus sensibles à l’emblème du panda.
En échange, l’ONG guide l’entreprise dans une démarche plus respectueuse de l’environnement.
Et cette démarche touche tous les aspects de l’activité de Pierre & Vacances, de la promotion immobilière à la commercialisation des villages. Une philosophie plus facile à appliquer lorsqu’il s’agit de développements nouveaux que dans la modernisation des sites déjà existants.
« Nous ne sommes pas propriétaires des villages. Il faut donc convaincre tous les propriétaires d’investir plus lourdement dans des programmes de rénovation respectueux de l’environnement comme dans des technologies de basse énergie », explique Gérard Brémont.
Ce qui n’est guère facile lorsque les aides accordées par les pouvoirs publics aux propriétaires qui investissent dans les équipements « verts » ne concernent que les propriétés principales.
Pour autant, un certain nombre d’initiatives ont pu être réalisées comme la mise en place de kits ménagers composé de produits « verts » dans les appartements, l’utilisation de produits agricoles bio ou locaux, ou encore la formation des personnels permanents aux problèmes écologiques.
A noter que l’effort écologique de Pierre & Vacances comporte également un volet social destiné à faire travailler dans les villages du personnel local.
En 2006, le partenariat a travaillé à définir les règles de la construction « verte ». C’est donc sur le nouveau développement du village de Belle Dune que les premiers conseils de WWF ont été appliqués avec, par exemple, le choix de panneaux solaires pour l‘énergie.
Même préoccupation pour le Center Parcs du lac d’Ailette ouvert l’automne dernier qui a été le premier « chantier vert » du groupe.
Sur le prochain site Center Parcs, le Domaine du Bois des Harcholins en Moselle, l’action sera encore plus évidente avec 870 cottages en bois THPE et un projet de maisons pilotes à énergie positive, l’installation d’une chaufferie bois/gaz, l’élaboration d’un plan de gestion écologique de la forêt, la création de zones humides favorisant la biodiversité, etc…
Le surcoût d’une telle construction est estimé entre 5 et 10%. Parallèlement, le groupe P&V se prépare à sensibiliser les clients à la sauvegarde de l’environnement à travers des animations notamment à destination des enfants, une communication externe dédiée à ce sujet.
Quant à l’avantage commercial que le groupe pourrait tirer de son image « verte », il ne sera que très modeste en France où WWF ne compte que 130 000 adhérents mais les clientèles anglo-saxones, hollandaises et allemandes sont beaucoup plus sensibles à l’emblème du panda.