En soulignant une "technique de négociations", particulièrement "agressive" de la société propriétaire du navire, basée à Boston (côte est des Etats-Unis), le vice-président de la Polynésie a déclaré que celle-ci avait jusqu'à la fin du mois pour dire si le navire restera dans les eaux polynésiennes ou pas.
Cette société, a-t-il précisé, à des demandes exorbitantes de réduction des coûts pour garantir sa présence pendant trois ans au-delà de 2006. "Nous souhaitons garder le Paul Gauguin en Polynésie mais pas à n'importe quel prix", a indiqué Jacqui Drollet.
Néanmoins, une réunion, quelques jours plus tard, avec la société Radisson, qui exploite le Paul Gauguin, a permis d'établir que, dans le cas d'un départ de ce paquebot, un autre navire d'environ 200 passagers - contre un peu plus de 300 pour le Gauguin - viendrait effectuer des croisières dans les eaux polynésiennes.
Un navire d'environ 200 passagers en remplacement ?
"Au mois de décembre, le 'Paul Gauguin' était à vendre. Je regrette que le Pays n'ait pas alors essayé de l'acheter. La société de Boston l'a acquis pour environ 3,5 milliards Fcfp (29,3 millions d'euros)", a souligné au passage Jacqui Drollet qui estime que la même logique qui a abouti à la création de la compagnie aérienne Air Tahiti Nui en 1998 - que la Polynésie soit moins dépendante de grandes sociétés étrangères pour son développement - pourrait prévaloir aussi pour "stabiliser" l'offre de tourisme de croisière.
Hormis les négociations tendues avec la société propriétaire du Gauguin, les rencontres avec les autres société de croisière ont été particulièrement fructueuses, a affirmé Jacqui Drollet.
Et le vice-président de citer entre autres, la société Princess Cruises, avec laquelle "le maintien pérenne du paquebot 'Tahitian Princess' (680 passagers) dans nos eaux a été confirmé", Cruise West, pour laquelle une "venue régulière des navires de cette compagnie est envisagée", avec des tournées aux Australes, et enfin Holland America, qui fera venir le "Windstar" (115 passagers) ou le "Windsurf" (Ex Club Med II, 300 passagers) en 2007, ou même avant si cela est possible.
Cette société, a-t-il précisé, à des demandes exorbitantes de réduction des coûts pour garantir sa présence pendant trois ans au-delà de 2006. "Nous souhaitons garder le Paul Gauguin en Polynésie mais pas à n'importe quel prix", a indiqué Jacqui Drollet.
Néanmoins, une réunion, quelques jours plus tard, avec la société Radisson, qui exploite le Paul Gauguin, a permis d'établir que, dans le cas d'un départ de ce paquebot, un autre navire d'environ 200 passagers - contre un peu plus de 300 pour le Gauguin - viendrait effectuer des croisières dans les eaux polynésiennes.
Un navire d'environ 200 passagers en remplacement ?
"Au mois de décembre, le 'Paul Gauguin' était à vendre. Je regrette que le Pays n'ait pas alors essayé de l'acheter. La société de Boston l'a acquis pour environ 3,5 milliards Fcfp (29,3 millions d'euros)", a souligné au passage Jacqui Drollet qui estime que la même logique qui a abouti à la création de la compagnie aérienne Air Tahiti Nui en 1998 - que la Polynésie soit moins dépendante de grandes sociétés étrangères pour son développement - pourrait prévaloir aussi pour "stabiliser" l'offre de tourisme de croisière.
Hormis les négociations tendues avec la société propriétaire du Gauguin, les rencontres avec les autres société de croisière ont été particulièrement fructueuses, a affirmé Jacqui Drollet.
Et le vice-président de citer entre autres, la société Princess Cruises, avec laquelle "le maintien pérenne du paquebot 'Tahitian Princess' (680 passagers) dans nos eaux a été confirmé", Cruise West, pour laquelle une "venue régulière des navires de cette compagnie est envisagée", avec des tournées aux Australes, et enfin Holland America, qui fera venir le "Windstar" (115 passagers) ou le "Windsurf" (Ex Club Med II, 300 passagers) en 2007, ou même avant si cela est possible.