!["Le décret du 24 mars 2021 qui instaure un dispositif de prise en charge des coûts fixes à hauteur de 70% à 90%, impose un plancher de chiffre d’affaires mensuel d’un million d’euros. En privilégiant les grosses structures, ce dispositif bafoue le principe d’égalité" Depositphotos.com kwanchaidp "Le décret du 24 mars 2021 qui instaure un dispositif de prise en charge des coûts fixes à hauteur de 70% à 90%, impose un plancher de chiffre d’affaires mensuel d’un million d’euros. En privilégiant les grosses structures, ce dispositif bafoue le principe d’égalité" Depositphotos.com kwanchaidp](https://www.tourmag.com/photo/art/default/55314624-41438525.jpg?v=1617791845)
"Le décret du 24 mars 2021 qui instaure un dispositif de prise en charge des coûts fixes à hauteur de 70% à 90%, impose un plancher de chiffre d’affaires mensuel d’un million d’euros. En privilégiant les grosses structures, ce dispositif bafoue le principe d’égalité" Depositphotos.com kwanchaidp
L’Unostra et les Entreprises du Voyage unissent leurs voix pour alerter le gouvernement sur la "situation dramatique des autocaristes et des opérateurs de voyages."
"Depuis 13 mois, l’activité touristique de notre pays est à l’arrêt total, et alors que la France est entrée dans une phase de 3ème confinement, les entreprises voient leurs perspectives de reprise inlassablement s’éloigner, encore et encore. Nul besoin d’être expert pour affirmer que l’activité touristique ne redémarra pas aussi vite qu’elle s’est interrompue : 2 ans et demi à 4 ans, c’est la durée estimée pour retrouver les niveaux d’activités de 2019." indique un communiqué commun.
Les deux syndicats rappellent que dans ce contexte, "le certificat sanitaire qui va permettre de voyager librement est la clé du nouveau départ des activités touristiques. Ce certificat numérique doit impérativement être mis en place avant l’été."
"Depuis 13 mois, l’activité touristique de notre pays est à l’arrêt total, et alors que la France est entrée dans une phase de 3ème confinement, les entreprises voient leurs perspectives de reprise inlassablement s’éloigner, encore et encore. Nul besoin d’être expert pour affirmer que l’activité touristique ne redémarra pas aussi vite qu’elle s’est interrompue : 2 ans et demi à 4 ans, c’est la durée estimée pour retrouver les niveaux d’activités de 2019." indique un communiqué commun.
Les deux syndicats rappellent que dans ce contexte, "le certificat sanitaire qui va permettre de voyager librement est la clé du nouveau départ des activités touristiques. Ce certificat numérique doit impérativement être mis en place avant l’été."
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Si les aides du gouvernement permettent un soutien économique, l’Unostra et les EdV plaident pour supprimer le plafond dans le cadre du dispositif de la prise en charge des coûts fixes.
Ils soulignent : "Le décret du 24 mars 2021 qui instaure un dispositif de prise en charge des coûts fixes à hauteur de 70% à 90%, impose un plancher de chiffre d’affaires mensuel d’un million d’euros. En privilégiant les grosses structures, ce dispositif bafoue le principe d’égalité.
Les opérateurs de voyages et les autocaristes, classés S1, ne peuvent accepter le caractère discriminatoire de ce plancher qui crée une distorsion de concurrence entre acteurs exerçants le même métier et qui n’ont aucune perspective d’activité à court terme. "
L’Unostra et EdV demandent donc au gouvernement la suppression du plancher de chiffre d’affaires "afin que toutes les entreprises, quelle que soit leur taille, soient traitées équitablement. "
Ils soulignent : "Le décret du 24 mars 2021 qui instaure un dispositif de prise en charge des coûts fixes à hauteur de 70% à 90%, impose un plancher de chiffre d’affaires mensuel d’un million d’euros. En privilégiant les grosses structures, ce dispositif bafoue le principe d’égalité.
Les opérateurs de voyages et les autocaristes, classés S1, ne peuvent accepter le caractère discriminatoire de ce plancher qui crée une distorsion de concurrence entre acteurs exerçants le même métier et qui n’ont aucune perspective d’activité à court terme. "
L’Unostra et EdV demandent donc au gouvernement la suppression du plancher de chiffre d’affaires "afin que toutes les entreprises, quelle que soit leur taille, soient traitées équitablement. "