"Les conséquences pour nos territoires ont été catastrophiques depuis le début de la saison. La fréquentation a baissé de plus de 70% " - Photo crédit Yann Allègre
Le Collectif des Entreprises de la Montagne* qui rassemble syndicats hôteliers, opérateurs et acteurs de la montagne souhaite une nouvelle fois faire entendre sa voix alors que le secteur attend une réponse le 20 janvier pour le maintien ou non de la fermeture des remontées mécaniques.
Dans un communiqué commun il demande une nouvelle l’ouverture des stations de ski en février "pour éviter une catastrophe économique".
Il souhaite une ouverture à partir du 30 janvier et demande "le versement d’indemnités adaptées pour compenser l’arrêt total de leur activité depuis décembre."
« Le Gouvernement a décidé d’interdire l’accès des remontées mécaniques de manière discriminatoire. Les conséquences pour nos territoires ont été catastrophiques depuis le début de la saison. La fréquentation a baissé de plus de 70% et l’activité économique a baissé de plus de 80%. Si nous n’ouvrons pas c’est tous les territoires de Montagne qui vont mourir » a commenté Alexandre Maulin, Président des Domaines Skiables de France (DSF).
"Toutefois si leur fermeture devait se poursuivre, ces opérateurs seraient totalement appelés à disparaître, entraînant avec eux par effet domino toute l’économie de cet écosystème montagnard et un pan fondamental du patrimoine touristique de la France" insiste le collectif.
« Ces 4 mois d’hiver, ce sont 85% de notre activité. Sans ouverture des domaines skiables, les hébergeurs vont sombrer, et tout suivra, comme un château de cartes. Il faut ouvrir le 30 janvier, adapter les fonds de solidarité des deux derniers mois à la saisonnalité, et ne pas oublier les bailleurs » a estimé Patrick Labrune, Président du Syndicat National des Résidences de Tourisme et appart’hôtels (SNRT).
Dans un communiqué commun il demande une nouvelle l’ouverture des stations de ski en février "pour éviter une catastrophe économique".
Il souhaite une ouverture à partir du 30 janvier et demande "le versement d’indemnités adaptées pour compenser l’arrêt total de leur activité depuis décembre."
« Le Gouvernement a décidé d’interdire l’accès des remontées mécaniques de manière discriminatoire. Les conséquences pour nos territoires ont été catastrophiques depuis le début de la saison. La fréquentation a baissé de plus de 70% et l’activité économique a baissé de plus de 80%. Si nous n’ouvrons pas c’est tous les territoires de Montagne qui vont mourir » a commenté Alexandre Maulin, Président des Domaines Skiables de France (DSF).
"Toutefois si leur fermeture devait se poursuivre, ces opérateurs seraient totalement appelés à disparaître, entraînant avec eux par effet domino toute l’économie de cet écosystème montagnard et un pan fondamental du patrimoine touristique de la France" insiste le collectif.
« Ces 4 mois d’hiver, ce sont 85% de notre activité. Sans ouverture des domaines skiables, les hébergeurs vont sombrer, et tout suivra, comme un château de cartes. Il faut ouvrir le 30 janvier, adapter les fonds de solidarité des deux derniers mois à la saisonnalité, et ne pas oublier les bailleurs » a estimé Patrick Labrune, Président du Syndicat National des Résidences de Tourisme et appart’hôtels (SNRT).
Autres articles
-
Hiver : quel bilan pour Pierre & Vacances en montagne ?
-
Hiver 2024-2025 : découvrez les tendances des réservations en montagne
-
MMV en avance sur les pistes et sur les réservations
-
Les tendances de vacances à la montagne pour l’hiver 2024-2025
-
Comment les jeunes perçoivent les vacances à la montagne ?
* Domaines Skiables de France, l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie, le GNC, groupement national des chaînes hôtelières, Syndicat National des Résidences de Tourisme et Appart’hôtels, Union Nationale des Associations de Tourisme de plein Air, Union Sport et Cycles, Belambra Clubs, • Club Med MMV, Pierre & Vacances et VVF.