Les Résidences de Tourisme se rapprochent des niveaux de 2019 sur le litorral français - Crédit photo : VVF
Tout comme les destinations françaises, les résidences de tourisme affichent un beau ciel bleu au moment de dresser le bilan de la saison estivale.
L'été a été dans l'ensemble bon, notamment pour les établissements situés sur les côtes françaises.
Avec un taux d'occupation, sur le littoral, en hausse de 8 points sur l'ensemble de la saison, par rapport à l'année dernière, les chiffres se rapprochent des scores de 2019.
En juillet et août, les résidences touristiques ont affiché complet quasiment durant toute la haute saison qui court du 15 juillet au 15 août. Durant 5 semaines, le taux d'occupation a dépassé les 90%, alors que l'année passée l'indicateur n'avait surperformé que pendant trois semaines.
Si tout le littoral français sort gagnant de l'été, le constat n'est pas le même pour d'autres secteurs.
L'été a été dans l'ensemble bon, notamment pour les établissements situés sur les côtes françaises.
Avec un taux d'occupation, sur le littoral, en hausse de 8 points sur l'ensemble de la saison, par rapport à l'année dernière, les chiffres se rapprochent des scores de 2019.
En juillet et août, les résidences touristiques ont affiché complet quasiment durant toute la haute saison qui court du 15 juillet au 15 août. Durant 5 semaines, le taux d'occupation a dépassé les 90%, alors que l'année passée l'indicateur n'avait surperformé que pendant trois semaines.
Si tout le littoral français sort gagnant de l'été, le constat n'est pas le même pour d'autres secteurs.
Résidences : Les grands perdants de l'été restent comme toujours les villes et surtout Paris
Après une belle saison en 2020, la montagne a montré des signes d'essoufflements, avec un taux d'occupation global en baisse de -0,4%. Alors que juillet est un peu au-dessus de 2020, août un peu en-dessous, les Pyrénées ont cette année connu les plus fortes hausses.
Sans surprise, la clientèle a été essentiellement française, mais surtout elle a anticipé les vacances et donc les réservations cette saison.
Les grands perdants de l'été restent comme toujours les villes et métropoles, mais surtout Paris avec environ 40% de retard sur leurs taux d'occupation.
Un constat similaire à celui fait par le maire adjoint au tourisme de Paris, Frédéric Hocquard dans TourMaG.com.
"Par rapport à 2020, nous nous attendons à un peu de mieux.
L'été n'a jamais été la haute saison pour les touristes à Paris, elle est au mois de mai et septembre. Pour vous dire sur la Tour Eiffel, nous nous attendons à doubler nos chiffres d'affluence, sur cet été.
Après nous étions à 10% de l'activité normale, donc nous nous attendons à 20%. Ce n'est pas un retour à la normale, mais ça commence à revenir."
Sans surprise, la clientèle a été essentiellement française, mais surtout elle a anticipé les vacances et donc les réservations cette saison.
Les grands perdants de l'été restent comme toujours les villes et métropoles, mais surtout Paris avec environ 40% de retard sur leurs taux d'occupation.
Un constat similaire à celui fait par le maire adjoint au tourisme de Paris, Frédéric Hocquard dans TourMaG.com.
"Par rapport à 2020, nous nous attendons à un peu de mieux.
L'été n'a jamais été la haute saison pour les touristes à Paris, elle est au mois de mai et septembre. Pour vous dire sur la Tour Eiffel, nous nous attendons à doubler nos chiffres d'affluence, sur cet été.
Après nous étions à 10% de l'activité normale, donc nous nous attendons à 20%. Ce n'est pas un retour à la normale, mais ça commence à revenir."