Le nouveau visage de l'auditorium du Palais des Festivals - DR
TourMaG.com - Quelle est la situation du Palais des Festivals ?
Claire-Anne Reix : « En 2013, nous avons réalisé un chiffre d’affaires de 37 M€, avec 45 événements professionnels et 252 000 participants, soit 289 jours d’occupation.
Cela nous place en seconde place en France, derrière le Palais des Congrès de Paris.
Il nous reste des créneaux disponibles sur la période janvier-février. Et 2015 s’annonce tout aussi positive.
Ainsi, le MIPCOM a battu son record de fréquentation avec 13 700 participants, le Tax Free plus de 6 500 participants.
Il signe pour trois ans, avec une option pour 2018 et 2019. Tout en étant la locomotive du tourisme cannois, nous assumons également un rôle culturel pour la cité avec l’accueil de 126 spectacles et 65 500 spectateurs en 2013. »
Claire-Anne Reix : « En 2013, nous avons réalisé un chiffre d’affaires de 37 M€, avec 45 événements professionnels et 252 000 participants, soit 289 jours d’occupation.
Cela nous place en seconde place en France, derrière le Palais des Congrès de Paris.
Il nous reste des créneaux disponibles sur la période janvier-février. Et 2015 s’annonce tout aussi positive.
Ainsi, le MIPCOM a battu son record de fréquentation avec 13 700 participants, le Tax Free plus de 6 500 participants.
Il signe pour trois ans, avec une option pour 2018 et 2019. Tout en étant la locomotive du tourisme cannois, nous assumons également un rôle culturel pour la cité avec l’accueil de 126 spectacles et 65 500 spectateurs en 2013. »
Claire-Anne Reix - DR
TourMaG.com - Quelles sont vos orientations ?
Claire-Anne Reix : « Le palais est au service du tourisme cannois et ne doit pas coûter un centime au budget communal et même autofinancer ses investissements.
L’objectif est de multiplier les salons dits de haut de gamme comme l’ILTM, qui fournissent une clientèle touristique à hauts revenus.
Nous souhaitons aussi ouvrir Cannes à des salons sur les nouvelles technologies en lien avec l’économie locale.
En février prochain, nous accueillerons le congrès de l’Association pour le Management des Risques et des Assurances de l’Entreprise (AMRAE) avec 2 500 participants générant 7 500 nuitées.
En février 2016, nous mettons beaucoup d’espoir dans la création de l'International Private Equity Market (IPEM), qui réunira chaque année au palais les fonds d’investissements de 25 pays et 4 000 professionnels pour le triple de nuitées.
Notre mission est de remplir nos hébergements hôteliers, soit une offre de 8 000 chambres en hôtels et résidences de tourisme, principalement en haut de gamme. »
Claire-Anne Reix : « Le palais est au service du tourisme cannois et ne doit pas coûter un centime au budget communal et même autofinancer ses investissements.
L’objectif est de multiplier les salons dits de haut de gamme comme l’ILTM, qui fournissent une clientèle touristique à hauts revenus.
Nous souhaitons aussi ouvrir Cannes à des salons sur les nouvelles technologies en lien avec l’économie locale.
En février prochain, nous accueillerons le congrès de l’Association pour le Management des Risques et des Assurances de l’Entreprise (AMRAE) avec 2 500 participants générant 7 500 nuitées.
En février 2016, nous mettons beaucoup d’espoir dans la création de l'International Private Equity Market (IPEM), qui réunira chaque année au palais les fonds d’investissements de 25 pays et 4 000 professionnels pour le triple de nuitées.
Notre mission est de remplir nos hébergements hôteliers, soit une offre de 8 000 chambres en hôtels et résidences de tourisme, principalement en haut de gamme. »
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TourMaG.com - Le Palais peut-il accroître sa capacité d’accueil ?
Claire-Anne Reix : « Nous achevons d’abord sa rénovation, mais nous réfléchissons aussi à des extensions. Des possibilités existent encore sur le site actuel.
Il faut éviter la multiplication des structures démontables à l’extérieur du Palais lors de certains événements comme le Mipim par exemple. Une question d’image.
Notre préoccupation commerciale porte sur l’accueil de nouveaux salons et congrès.
Nous venons d’engager des discussions avec de grandes villes européennes pour faire tourner des congrès, une façon de les pérenniser sur chacune des villes, à tour de rôle.
Il faut également veiller à une qualité optimale de l’accueil local, que ce soit chez les hôteliers, restaurateurs, taxis, commerçants… Nous allons pour cela redynamiser la charte label « Only Cannes ».
Enfin, pour les touristes traditionnels, nous mettons l’accent sur les événements culturels susceptibles d’attirer une clientèle en week-end.
On va donc capitaliser sur des événements comme le Festival de la Danse, Performance d’Acteurs qui se tiendra en avril au lieu de juin, le Festival International des Jeux ou d’autres que nous prévoyons de créer.
Il faut jouer sur plusieurs tableaux, une image glamour et luxe, comme l’illustre le festival du film, le tourisme d’affaires et une ville authentique dotée d’une forte identité, capable d’attirer une clientèle plus traditionnelle. »
Claire-Anne Reix : « Nous achevons d’abord sa rénovation, mais nous réfléchissons aussi à des extensions. Des possibilités existent encore sur le site actuel.
Il faut éviter la multiplication des structures démontables à l’extérieur du Palais lors de certains événements comme le Mipim par exemple. Une question d’image.
Notre préoccupation commerciale porte sur l’accueil de nouveaux salons et congrès.
Nous venons d’engager des discussions avec de grandes villes européennes pour faire tourner des congrès, une façon de les pérenniser sur chacune des villes, à tour de rôle.
Il faut également veiller à une qualité optimale de l’accueil local, que ce soit chez les hôteliers, restaurateurs, taxis, commerçants… Nous allons pour cela redynamiser la charte label « Only Cannes ».
Enfin, pour les touristes traditionnels, nous mettons l’accent sur les événements culturels susceptibles d’attirer une clientèle en week-end.
On va donc capitaliser sur des événements comme le Festival de la Danse, Performance d’Acteurs qui se tiendra en avril au lieu de juin, le Festival International des Jeux ou d’autres que nous prévoyons de créer.
Il faut jouer sur plusieurs tableaux, une image glamour et luxe, comme l’illustre le festival du film, le tourisme d’affaires et une ville authentique dotée d’une forte identité, capable d’attirer une clientèle plus traditionnelle. »