Au programme : Transavia, A380, les compagnies en mal de pilotes, Club Med puis une petite douceur avec l'interview de Mumtaz Teker - Cédit photo : libre pour usage commercial
Le soleil est de retour sur toute la France, pour cette deuxième semaine de février et cela donne des ailes à tout le monde, à la veille du week-end, alors quoi de mieux que de quitter le bureau sur une belle balade ?
Car si Airbus ne s'attendait pas à connaître autant de problèmes pour écouler son gros porteur, le projet a fait boum seulement 12 après son lancement, comme le coeur de Charles Trenet.
"Quand notre cœur fait boum, Tout avec lui dit boum, L'oiseau dit boum, c'est l'orage" fredonnait le Fou Chantant.
Les turbulences font boum. Quand nous relevons les compteurs des articles les plus lus à la fin de la semaine, nous sommes parfois surpris par les informations que vous avez plebiscitées.
Et cette semaine, c'est la brève sur les turbulences qui ont secoué les passagers d'un vol de Transavia qui a retenu votre attention. Bon il faut dire que les agitations aériennes sont habituelles, et ne cassent pas trois pattes à un canard, sauf quand ces dernières occassionnent des blessures à une dizaine de passagers.
Ainsi, le vol reliant Lyon à Tel-Aviv a soumis ses passagers à rude épreuve "qu'ils se sont cognés sur les parois de l'appareil et sont tombés lors des turbulences." On vous explique un peu plus sur ce calvaire aérien : Transavia : 13 blessés pour cause de turbulences ce mercredi soir
Car si Airbus ne s'attendait pas à connaître autant de problèmes pour écouler son gros porteur, le projet a fait boum seulement 12 après son lancement, comme le coeur de Charles Trenet.
"Quand notre cœur fait boum, Tout avec lui dit boum, L'oiseau dit boum, c'est l'orage" fredonnait le Fou Chantant.
Les turbulences font boum. Quand nous relevons les compteurs des articles les plus lus à la fin de la semaine, nous sommes parfois surpris par les informations que vous avez plebiscitées.
Et cette semaine, c'est la brève sur les turbulences qui ont secoué les passagers d'un vol de Transavia qui a retenu votre attention. Bon il faut dire que les agitations aériennes sont habituelles, et ne cassent pas trois pattes à un canard, sauf quand ces dernières occassionnent des blessures à une dizaine de passagers.
Ainsi, le vol reliant Lyon à Tel-Aviv a soumis ses passagers à rude épreuve "qu'ils se sont cognés sur les parois de l'appareil et sont tombés lors des turbulences." On vous explique un peu plus sur ce calvaire aérien : Transavia : 13 blessés pour cause de turbulences ce mercredi soir
Des pilotes en manque d'image ?
Pour les jeunes être pilote est un rêve inaccessible, les compagnies vont s'attaquer à cette idée reçue sous peine de ne plus pouvoir faire décoler d'avion - Crédit photo : Airbus
Calvaire aérien bis. Il y a 12 ans les salariés d'Airbus étaient heureux, voire même émus en voyant l'A380 s'envoler, le très gros-porteur devenait alors le plus grand avion commercial du marché.
Sauf que dans l'euphorie, les ingénieurs ont oublié de rendre l'avion rentable pour les compagnies l'ayant acheté, une maintenance trop onéreuse et un espace dédié au fret trop restreint.
"Très honnêtement, si nous n’arrivons pas à un accord avec Emirates, il n’y aura pas d’autre choix que d’arrêter le programme," avait déclaré John Leahy, ex-directeur commercial d’Airbus. Malheureusement, la compagnie dubaïote n'a pas confirmé sa commande, fin de l'histoire et du programme.
Notre spécialiste revient sur l'avenir, qui était en début de semaine encore incertain : A380 : un avenir toujours plus sombre pour le géant d'Airbus
Calvaire aérien ter. Pendant qu'Airbus se casse les dents avec son très gros-porteur, les compagnies sont en grandes difficultés pour recruter des...pilotes.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, la situation est telle que l'on "pourra bientôt parler d'une pénurie de pilotes au niveau mondial," explique Jean-Michel Bossuet, à la tête du magazine Aviation & Pilote, qui organisait, du 1er au 3 février 2019, le Salon des formations et métiers aéronautiques.
Malgré des salaires élevés et le prestige de la fonction, les compagnies font face à un problème d'image, auprès du grand public. "Nous leur expliquons que devenir pilote, c’est beaucoup plus accessible que l’on pense," lance ce responsable d’un centre de formation au pilotage au Québec.
Si jamais vous voulez changer de vie et parcourir le monde, voici quelques pistes : Emploi : compagnies aériennes recherchent pilotes désespérément...
Sauf que dans l'euphorie, les ingénieurs ont oublié de rendre l'avion rentable pour les compagnies l'ayant acheté, une maintenance trop onéreuse et un espace dédié au fret trop restreint.
"Très honnêtement, si nous n’arrivons pas à un accord avec Emirates, il n’y aura pas d’autre choix que d’arrêter le programme," avait déclaré John Leahy, ex-directeur commercial d’Airbus. Malheureusement, la compagnie dubaïote n'a pas confirmé sa commande, fin de l'histoire et du programme.
Notre spécialiste revient sur l'avenir, qui était en début de semaine encore incertain : A380 : un avenir toujours plus sombre pour le géant d'Airbus
Calvaire aérien ter. Pendant qu'Airbus se casse les dents avec son très gros-porteur, les compagnies sont en grandes difficultés pour recruter des...pilotes.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, la situation est telle que l'on "pourra bientôt parler d'une pénurie de pilotes au niveau mondial," explique Jean-Michel Bossuet, à la tête du magazine Aviation & Pilote, qui organisait, du 1er au 3 février 2019, le Salon des formations et métiers aéronautiques.
Malgré des salaires élevés et le prestige de la fonction, les compagnies font face à un problème d'image, auprès du grand public. "Nous leur expliquons que devenir pilote, c’est beaucoup plus accessible que l’on pense," lance ce responsable d’un centre de formation au pilotage au Québec.
Si jamais vous voulez changer de vie et parcourir le monde, voici quelques pistes : Emploi : compagnies aériennes recherchent pilotes désespérément...
L'humain avant les frontières
Pour Mumtaz Teker ce n'est pas le pays ou les origines qui comptent mais l'humain - Crédit photo : D.G.
La montagne ça nous gagne. Si l'aérien est en difficulté pour recruter, il en est un autre acteur du tourisme qui ne connait pas ce problème. Le Club Med va bien, sa mue a pris sur le marché français comme étranger, mais il y a un sujet qu'il ne faut pas attaquer... Celui des trois tridents.
Après une visite dans la nouvelle résidence Belambra d'Avoriaz, qui souhaite dans une certaine mesure tenir la dragée haute à son grand frère, nous avions titré "Belambra cible les clients délaissés du Club Med."
La direction de l'inventeur des villages vacances a pris la mouche et nous avons pu discuter avec Quentin Briard, directeur commercial France du Club Med.
Nous sommes revenus sur la stratégie (digitale, commerciale et de développement) du Club : Quentin Briard (Club Med) : "Nous n'abandonnons pas notre clientèle 3 tridents !"
Quand notre cœur fait Boum. Qui a dit que les internautes préféraient les formats courts et le sensationalisme ? En tout cas nos lecteurs ne sont pas tous comme ça et dieu merci, car l'un des papiers les plus lus de la semaine est un véritable marathon de la lecture.
Imaginez un peu 10 pages Word, plus de 3 500 mots et 15 minutes de lecture pour l'interview du très humaniste Mumtaz Teker, le responsable du réceptif, Magic Ways.
Petit extrait, pour vous donner envie de lire l'article "l’individu, parce qu’on lui a créé des frontières, devient soit Allemand, soit Belge, soit Français, ou autre chose... Il suffit d’être né d’un côté d’une ligne…
Il faut arrêter : c’est l’humain qui compte, pas la nationalité. Il faut respecter les cultures et accepter les gens tels qu’ils sont. On ne va pas les changer. Et puis, grâce à ces différences, on peut échanger, parler, comprendre."
La vie n'est pas le monde des bisounours, mais un peu d'humanité fait le plus grand bien, et pour prendre votre dose de vitamine D, je vous conseille de lire : Mumtaz Teker : "Les professionnels vendent des prix au lieu de vendre des voyages !
Une semaine se tourne, marquée par la fête des amoureux et sur les promesses d'un magnifique week-end. Alors pour partir et fermer le rideau, le coeur léger, nous vous proposons une chanson un peu anachronique.
"Le monde entier fait Boum, tout l'univers fait Boum, parc'que mon cœur fait Boum Boum..."
Bon week-end à nos chers lecteurs et rendez-vous lundi prochain, et n'oubliez que tout est amour.
Après une visite dans la nouvelle résidence Belambra d'Avoriaz, qui souhaite dans une certaine mesure tenir la dragée haute à son grand frère, nous avions titré "Belambra cible les clients délaissés du Club Med."
La direction de l'inventeur des villages vacances a pris la mouche et nous avons pu discuter avec Quentin Briard, directeur commercial France du Club Med.
Nous sommes revenus sur la stratégie (digitale, commerciale et de développement) du Club : Quentin Briard (Club Med) : "Nous n'abandonnons pas notre clientèle 3 tridents !"
Quand notre cœur fait Boum. Qui a dit que les internautes préféraient les formats courts et le sensationalisme ? En tout cas nos lecteurs ne sont pas tous comme ça et dieu merci, car l'un des papiers les plus lus de la semaine est un véritable marathon de la lecture.
Imaginez un peu 10 pages Word, plus de 3 500 mots et 15 minutes de lecture pour l'interview du très humaniste Mumtaz Teker, le responsable du réceptif, Magic Ways.
Petit extrait, pour vous donner envie de lire l'article "l’individu, parce qu’on lui a créé des frontières, devient soit Allemand, soit Belge, soit Français, ou autre chose... Il suffit d’être né d’un côté d’une ligne…
Il faut arrêter : c’est l’humain qui compte, pas la nationalité. Il faut respecter les cultures et accepter les gens tels qu’ils sont. On ne va pas les changer. Et puis, grâce à ces différences, on peut échanger, parler, comprendre."
La vie n'est pas le monde des bisounours, mais un peu d'humanité fait le plus grand bien, et pour prendre votre dose de vitamine D, je vous conseille de lire : Mumtaz Teker : "Les professionnels vendent des prix au lieu de vendre des voyages !
Une semaine se tourne, marquée par la fête des amoureux et sur les promesses d'un magnifique week-end. Alors pour partir et fermer le rideau, le coeur léger, nous vous proposons une chanson un peu anachronique.
"Le monde entier fait Boum, tout l'univers fait Boum, parc'que mon cœur fait Boum Boum..."
Bon week-end à nos chers lecteurs et rendez-vous lundi prochain, et n'oubliez que tout est amour.
Le top 5 de la semaine :
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