Transavia annonce 9 nouvelles lignes à venir - crédit photo : transavia
Transavia France, la low-cost du groupe Air France-KLM, poursuit tranquillement sa croissance. « Ça a été un super été pour nous », se réjouit Nicolas Hénin, le nouveau directeur général adjoint commercial et marketing, dans les allées du salon IFTM-Top Resa. « Avec une offre en hausse de 20%, nos taux de remplissage ont gagné 2% en moyenne à près de 95%, et le nombre de pax a gagné 20 points par rapport à l’été 2017 », explique-t-il.
Le DG poursuit : « L’ensemble des destinations, dont les 11 nouvelles routes lancées à l’été, ont toutes bien marchées, il n’y a pas de déception ». Le trio de tête des best-sellers de l'été pour Transavia ne change pas avec le Portugal, le Maroc, et la Grèce en troisième. Sur cette dernière destination, la compagnie a enregistré une croissance de 45% en volume. Et pour l’hiver à venir, les perspectives sont tout aussi réjouissantes, avec une offre globale en sièges encore en augmentation de 20%.
Le DG poursuit : « L’ensemble des destinations, dont les 11 nouvelles routes lancées à l’été, ont toutes bien marchées, il n’y a pas de déception ». Le trio de tête des best-sellers de l'été pour Transavia ne change pas avec le Portugal, le Maroc, et la Grèce en troisième. Sur cette dernière destination, la compagnie a enregistré une croissance de 45% en volume. Et pour l’hiver à venir, les perspectives sont tout aussi réjouissantes, avec une offre globale en sièges encore en augmentation de 20%.
Direction Brindisi, Port-Mahon et Nador
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Pour poursuivre son développement, la compagnie promet maintenant 9 nouvelles destinations pour 2019, et proposera au total 12% de sièges supplémentaires à la vente. 5 nouvelles lignes ouvriront au départ de Nantes, 1 au départ de Lyon, et 3 au départ de Paris-Orly.
Ces dernières sont déjà connues, il s’agira de Brindisi (Italie, 2 vols par semaine), de Port-Mahon (Minorque, 2 vols par semaine), et Nador (Maroc, 2 vols par semaine). « La croissance de l’offre sera supportée par 5 nouveaux avions qui seront basés à Paris et à Nantes », précise la direction.
Ces dernières sont déjà connues, il s’agira de Brindisi (Italie, 2 vols par semaine), de Port-Mahon (Minorque, 2 vols par semaine), et Nador (Maroc, 2 vols par semaine). « La croissance de l’offre sera supportée par 5 nouveaux avions qui seront basés à Paris et à Nantes », précise la direction.
A Nantes : « encore de la place à prendre »
Nantes où easyJet, l’un de ses principaux concurrents, a décidé d’ouvrir prochainement sa nouvelle base française. « C’est le jeu de la concurrence, cela ne nous pose pas de problème », relativise Nicolas Hénin.
« Bien avant d’apprendre l’arrivée d’easyJet, nous avions décidé de baser plus d’appareil à Nantes-Atlantique, car il y a encore de la place à prendre. Nous sommes très proches de devenir la première compagnie sur Nantes-Atlantique », lance le nouveau directeur général adjoint.
Outre Paris-Orly et Nantes, Transavia possède également une troisième base sur Lyon-St Exupéry, base sur laquelle Nicolas Hénin estime « qu’il reste encore du chemin pour devenir leader ». Et, alors que Transavia France se rapproche toujours plus de la barre des 40 appareils (38 Boeing 737-800 dès l’été prochain), l’ouverture d’une nouvelle base en province ne semble toujours pas d’actualité.
« Bien avant d’apprendre l’arrivée d’easyJet, nous avions décidé de baser plus d’appareil à Nantes-Atlantique, car il y a encore de la place à prendre. Nous sommes très proches de devenir la première compagnie sur Nantes-Atlantique », lance le nouveau directeur général adjoint.
Outre Paris-Orly et Nantes, Transavia possède également une troisième base sur Lyon-St Exupéry, base sur laquelle Nicolas Hénin estime « qu’il reste encore du chemin pour devenir leader ». Et, alors que Transavia France se rapproche toujours plus de la barre des 40 appareils (38 Boeing 737-800 dès l’été prochain), l’ouverture d’une nouvelle base en province ne semble toujours pas d’actualité.