Chez Turquoise Voyages, qui a adopté Amadeus Transfers, "nous organisons et garantissons le transfert de nos clients qui sont attendus à leur destination par une pancarte nominative. Eux gagnent du temps et de la sérénité et, pour nous, c’est une nouvelle source de revenus" - DR : Turquoise Voyages
On pourrait penser que seul le business travel est concerné par les transferts : faux ! 47% des agences en proposent aussi pour le loisir.
C’est un service que les agences ne facturent pas : faux ! Dans la réalité, 86% des agences parviennent à prendre des commissions sur les transferts.
C’est un service qualité, mais bien plus cher que les taxis : faux ! Les prix sont raisonnables et, en plus, ils sont fixes.
Maintenant que les transferts multi-fournisseurs sont accessibles sur la plateforme Amadeus, vous allez pouvoir proposer ce service en 3 clics sur plus de 1 000 destinations et… prendre des commissions.
C’est un service que les agences ne facturent pas : faux ! Dans la réalité, 86% des agences parviennent à prendre des commissions sur les transferts.
C’est un service qualité, mais bien plus cher que les taxis : faux ! Les prix sont raisonnables et, en plus, ils sont fixes.
Maintenant que les transferts multi-fournisseurs sont accessibles sur la plateforme Amadeus, vous allez pouvoir proposer ce service en 3 clics sur plus de 1 000 destinations et… prendre des commissions.
Interview de Lucas Vigne, account manager chez Turquoise Voyages
i-tourisme : Votre agence a la réputation d’être réceptive aux innovations technologiques. C’est l’occasion de vous demander ce que vous pensez de la nouvelle fonctionnalité d’Amadeus Transfers ?
Lucas Vigne : Nous proposions déjà les transferts à nos clients. Nous savons que c’est un service apprécié et qui se vend bien. Mais nous étions limités géographiquement parlant, au point que nous nous adressions surtout aux hommes d’affaires venant à Paris.
La nouveauté, c’est qu’avec Amadeus, nous pouvons étendre cette offre partout dans le monde.
i-tourisme : Comment cela se passe-t-il ?
Lucas Vigne : Le principe est simple. Nous organisons et garantissons le transfert de nos clients qui sont attendus à leur destination par une pancarte nominative. Eux gagnent du temps et de la sérénité et, pour nous, c’est une nouvelle source de revenus.
i-tourisme : Cela vous rapporte-t-il ?
Lucas Vigne : Oui, car on le propose systématiquement. Le chiffre d'affaires additionnel devient intéressant.
i-tourisme : Mais c’est une prestation qui doit coûter assez cher ?
Lucas Vigne : Eh bien non justement ! C’est du haut de gamme, mais abordable. Les tarifs sont plus élevés que du Uber, bien entendu, mais ils sont très raisonnables.
Et puis ce qu’il faut surtout dire, c’est que nous gagnons beaucoup en productivité tant au niveau de la facturation que de la remontée comptable. Nous n’avons pas à sortir pour aller sur une autre plateforme. Tout est intégré dans le PNR d’Amadeus.
i-tourisme : Vous restez sur la plateforme Amadeus ?
Lucas Vigne : Oui et nous n’avons qu’à indiquer le numéro de téléphone du passager et tout le reste remonte automatiquement. La confirmation est instantanée.
i-tourisme : Et pour le client ?
Lucas Vigne : Il a toutes les informations dont il a besoin. Une hotline en cas de problème et il reçoit un sms dès qu’il ouvre son smartphone, une fois que l’avion a atterri.
C’est un service fiable et facile à réserver. Et puis l’accueil avec pancarte et le suivi du vol pour que le chauffeur adapte son heure d’arrivée pour tout retard rend ce produit facile à vendre.
i-tourisme : Toutes les villes sont-elles couvertes ?
Lucas Vigne : Attention, pas toutes les petites villes de province. Mais toutes les grandes villes oui, que ce soit en France ou à l’international. L’Europe marche très bien, les USA aussi. Pour ainsi dire, je trouve un transfert pour chaque destination.
i-tourisme : Avez-vous le choix de l’opérateur ?
Lucas Vigne : Amadeus fait office d’intégrateur. Ça permet de comparer les prix et de choisir le fournisseur le mieux adapté. Par exemple, pour des transferts de plus de 1h30, nous choisissons celui qui correspond à ce type de service. Pareil pour les clients affaires ou loisirs.
i-tourisme : Cela marche pour le loisir aussi ?
Lucas Vigne : Nous avons commencé par le business, bien entendu. Mais comme le produit marche bien, nous l’avons étendu au loisir. Nous proposons même cette prestation en dehors du travel.
i-tourisme : C’est-à-dire ?
Lucas Vigne : Par exemple, pour des clients qui doivent revenir le soir d’un festival. Ça se vend bien. Sans cette fonctionnalité nous ne l’aurions jamais proposé.
i-tourisme : Avez-vous eu besoin de formation ?
Lucas Vigne : Non, le produit est très simple. Avec l’onglet transfert, on rentre le nombre de personnes, le numéro de téléphone, de la résa et du vol. En 2 minutes la réservation est faite et confirmée. En cas d’hésitation, Google Maps vous renseigne.
i-tourisme : C’est une réassurance pour vos clients...
Lucas Vigne : Et pour l’agence aussi. C’est le moyen de démontrer que nous savons gérer un service complet en vendant le premier ou le dernier chaînon du voyage.
i-tourisme : Ça démarre bien ?
Lucas Vigne : Oui, car nous avons notre méthode qui donne de bons résultats. Nous connaissons très bien nos clients.
C’est ce qui nous permet d’offrir gratuitement cette prestation à titre de découverte. En général, ils la redemandent par la suite à chaque fois.
Lucas Vigne : Nous proposions déjà les transferts à nos clients. Nous savons que c’est un service apprécié et qui se vend bien. Mais nous étions limités géographiquement parlant, au point que nous nous adressions surtout aux hommes d’affaires venant à Paris.
La nouveauté, c’est qu’avec Amadeus, nous pouvons étendre cette offre partout dans le monde.
i-tourisme : Comment cela se passe-t-il ?
Lucas Vigne : Le principe est simple. Nous organisons et garantissons le transfert de nos clients qui sont attendus à leur destination par une pancarte nominative. Eux gagnent du temps et de la sérénité et, pour nous, c’est une nouvelle source de revenus.
i-tourisme : Cela vous rapporte-t-il ?
Lucas Vigne : Oui, car on le propose systématiquement. Le chiffre d'affaires additionnel devient intéressant.
i-tourisme : Mais c’est une prestation qui doit coûter assez cher ?
Lucas Vigne : Eh bien non justement ! C’est du haut de gamme, mais abordable. Les tarifs sont plus élevés que du Uber, bien entendu, mais ils sont très raisonnables.
Et puis ce qu’il faut surtout dire, c’est que nous gagnons beaucoup en productivité tant au niveau de la facturation que de la remontée comptable. Nous n’avons pas à sortir pour aller sur une autre plateforme. Tout est intégré dans le PNR d’Amadeus.
i-tourisme : Vous restez sur la plateforme Amadeus ?
Lucas Vigne : Oui et nous n’avons qu’à indiquer le numéro de téléphone du passager et tout le reste remonte automatiquement. La confirmation est instantanée.
i-tourisme : Et pour le client ?
Lucas Vigne : Il a toutes les informations dont il a besoin. Une hotline en cas de problème et il reçoit un sms dès qu’il ouvre son smartphone, une fois que l’avion a atterri.
C’est un service fiable et facile à réserver. Et puis l’accueil avec pancarte et le suivi du vol pour que le chauffeur adapte son heure d’arrivée pour tout retard rend ce produit facile à vendre.
i-tourisme : Toutes les villes sont-elles couvertes ?
Lucas Vigne : Attention, pas toutes les petites villes de province. Mais toutes les grandes villes oui, que ce soit en France ou à l’international. L’Europe marche très bien, les USA aussi. Pour ainsi dire, je trouve un transfert pour chaque destination.
i-tourisme : Avez-vous le choix de l’opérateur ?
Lucas Vigne : Amadeus fait office d’intégrateur. Ça permet de comparer les prix et de choisir le fournisseur le mieux adapté. Par exemple, pour des transferts de plus de 1h30, nous choisissons celui qui correspond à ce type de service. Pareil pour les clients affaires ou loisirs.
i-tourisme : Cela marche pour le loisir aussi ?
Lucas Vigne : Nous avons commencé par le business, bien entendu. Mais comme le produit marche bien, nous l’avons étendu au loisir. Nous proposons même cette prestation en dehors du travel.
i-tourisme : C’est-à-dire ?
Lucas Vigne : Par exemple, pour des clients qui doivent revenir le soir d’un festival. Ça se vend bien. Sans cette fonctionnalité nous ne l’aurions jamais proposé.
i-tourisme : Avez-vous eu besoin de formation ?
Lucas Vigne : Non, le produit est très simple. Avec l’onglet transfert, on rentre le nombre de personnes, le numéro de téléphone, de la résa et du vol. En 2 minutes la réservation est faite et confirmée. En cas d’hésitation, Google Maps vous renseigne.
i-tourisme : C’est une réassurance pour vos clients...
Lucas Vigne : Et pour l’agence aussi. C’est le moyen de démontrer que nous savons gérer un service complet en vendant le premier ou le dernier chaînon du voyage.
i-tourisme : Ça démarre bien ?
Lucas Vigne : Oui, car nous avons notre méthode qui donne de bons résultats. Nous connaissons très bien nos clients.
C’est ce qui nous permet d’offrir gratuitement cette prestation à titre de découverte. En général, ils la redemandent par la suite à chaque fois.
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