Le Bosphore - Crédit : Office de Tourisme de Turquie
« La Turquie, c’est comme l’Egypte. Il y a une année avec, suivie d’une année sans », commente Florian Vighier, directeur Transports de Marmara, le numéro un de la destination. Et 2008, c’est, à l’évidence, une année avec.
Les réservations sont même arrivées assez tôt dans la saison. Un signe, pour Florian Vighier que la destination a été le critère de sélection des clients. D’autant que les tarifs hôteliers sont à la hausse.
« La pression sur les achats, la forte inflation locale et la dépréciation de l’euro par rapport à la livre turque sont autant d’éléments qui se répercutent négativement sur les prix ».
Tarifs en hausse mais réservations en hausse, tout laisse donc à penser que la vague est à nouveau porteuse. Du coup, Marmara ne ressent pas le besoin de faire des promotions sur Turquie.
Pas de promotions non plus chez Pacha Tours qui estime à +20% son volume de réservations par rapport à l’année dernière. « Il ne faut pas crier victoire pour autant car 2007 avait été très moyen.
Le signe le plus rassurant, c’est que les circuits en autocar et les circuit voitures sans chauffeur sont à nouveau demandés. On peut donc penser que la confiance des Français est revenue », estime Didier Huet, le directeur commercial de Pacha.
Les réservations sont même arrivées assez tôt dans la saison. Un signe, pour Florian Vighier que la destination a été le critère de sélection des clients. D’autant que les tarifs hôteliers sont à la hausse.
« La pression sur les achats, la forte inflation locale et la dépréciation de l’euro par rapport à la livre turque sont autant d’éléments qui se répercutent négativement sur les prix ».
Tarifs en hausse mais réservations en hausse, tout laisse donc à penser que la vague est à nouveau porteuse. Du coup, Marmara ne ressent pas le besoin de faire des promotions sur Turquie.
Pas de promotions non plus chez Pacha Tours qui estime à +20% son volume de réservations par rapport à l’année dernière. « Il ne faut pas crier victoire pour autant car 2007 avait été très moyen.
Le signe le plus rassurant, c’est que les circuits en autocar et les circuit voitures sans chauffeur sont à nouveau demandés. On peut donc penser que la confiance des Français est revenue », estime Didier Huet, le directeur commercial de Pacha.
Pacha : « La confiance des Français est revenue... »
Mêmes signes de facilité sur le remplissage des charters de Gestair. Pour Anilnis Suleyman, « c‘est beaucoup mieux que l‘année dernière » !
Le consolidateur qui compte au nombre de ses clients Club Med/Jet tours, Thomas Cook, Pacha Tours, et autres Touristra sur son programme de vols vers la Turquie n’en maintient pas moins sa volonté de travailler avec des compagnies françaises, toujours plus rassurantes pour le vacancier : Europe Airpost, Aigle Azur et Transavia.
Pour Rasim Guvendi, le directeur général du groupiste Mondo Terra et spécialiste de la destination, la Turquie a à nouveau le vent en poupe. Avec un rythme d'une quarantaine de demandes de cotations par jour.
Même si lui ne programme aucun groupe en très haute saison, Rasim Guvendi anticipe quelques difficultés pour les individuels. Le retour de la clientèle individuelle française risque en effet de se heurter à la forte demande des touristes de l’Europe de l’Est sur la très haute saison.
« Les hôteliers turcs demandent à ce que les TO s’engagent sur juin, juillet et août. Et les Russes, les Ukrainiens et même les Allemands qui sont de retour n’hésitent pas à le faire ».
Autrement dit, si les vacanciers français veulent goûter à nouveau à la Turquie cet été, il va falloir qu’ils se décident vite. D’autant que la disparition de Médiades a encore réduit l’offre globale. « Assainit » l’offre globale, diront certains…
Le consolidateur qui compte au nombre de ses clients Club Med/Jet tours, Thomas Cook, Pacha Tours, et autres Touristra sur son programme de vols vers la Turquie n’en maintient pas moins sa volonté de travailler avec des compagnies françaises, toujours plus rassurantes pour le vacancier : Europe Airpost, Aigle Azur et Transavia.
Pour Rasim Guvendi, le directeur général du groupiste Mondo Terra et spécialiste de la destination, la Turquie a à nouveau le vent en poupe. Avec un rythme d'une quarantaine de demandes de cotations par jour.
Même si lui ne programme aucun groupe en très haute saison, Rasim Guvendi anticipe quelques difficultés pour les individuels. Le retour de la clientèle individuelle française risque en effet de se heurter à la forte demande des touristes de l’Europe de l’Est sur la très haute saison.
« Les hôteliers turcs demandent à ce que les TO s’engagent sur juin, juillet et août. Et les Russes, les Ukrainiens et même les Allemands qui sont de retour n’hésitent pas à le faire ».
Autrement dit, si les vacanciers français veulent goûter à nouveau à la Turquie cet été, il va falloir qu’ils se décident vite. D’autant que la disparition de Médiades a encore réduit l’offre globale. « Assainit » l’offre globale, diront certains…