C'est à croire que l'épidémie ne veut pas quitter la une des journaux et de l'actualité.
Alors que tous les indicateurs sanitaires s'améliorent depuis quelques semaines, la crainte du variant Delta enquiquine quelque peu le gouvernement. Celui-ci est malheureusement bien présent sur le territoire national, notamment avec une forte représentation dans les Landes.
Le variant Delta représenterait près de 70% des contaminations dans le département.
"Chacun le sait, une préoccupation est liée au variant Delta qui progresse, inexorablement, partout. Il a un taux de pénétration fort en Grande-Bretagne et nous devons être particulièrement mobilisés" a déclaré Jean Castex, sur BFM TV.
Pendant que le gouvernement lâche du leste à tous les niveaux, avec un port du masque grandement allégé, sa stratégie pour contrer la propagation de la souche indienne réputée comme plus contagieuse, repose sur la vaccination.
Malheureusement cette dernière parait atteindre un plafond de verre.
Alors que tous les indicateurs sanitaires s'améliorent depuis quelques semaines, la crainte du variant Delta enquiquine quelque peu le gouvernement. Celui-ci est malheureusement bien présent sur le territoire national, notamment avec une forte représentation dans les Landes.
Le variant Delta représenterait près de 70% des contaminations dans le département.
"Chacun le sait, une préoccupation est liée au variant Delta qui progresse, inexorablement, partout. Il a un taux de pénétration fort en Grande-Bretagne et nous devons être particulièrement mobilisés" a déclaré Jean Castex, sur BFM TV.
Pendant que le gouvernement lâche du leste à tous les niveaux, avec un port du masque grandement allégé, sa stratégie pour contrer la propagation de la souche indienne réputée comme plus contagieuse, repose sur la vaccination.
Malheureusement cette dernière parait atteindre un plafond de verre.
"Si les circonstances locales le justifient, nous pourrions différer les allègements du 1er juillet" selon Jean Castex
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Pour éviter une reprise de l'épidémie et toute 4e vague, le chef de l'exécutif souhaite "mettre le paquet" dans les Landes, via une tactique jusque là assez peu éprouvée en France consistant à tester-tracer-isoler.
"Nous avons débloqué 6500 tests salivaires pour les écoles et on va mettre à disposition 10.000 autotests. Nous vaccinons en ce moment (dans toute la France, ndlr) 200.000 personnes par jour en première dose.
C'est trop peu!" affirme un Jean Castex venu pour resserrer la vis.
Pendant que la vaccination patine à nouveau, le Premier ministre a demandé aux personnels soignants, des Ehpad à se faire vacciner d'ici la fin de l'été. Ce n'est pas tout, il a aussi fait la publicité de la vaccination.
"L'épidémie n'a pas disparu, elle est toujours là et elle ne cesse d'évoluer. Les prises de rendez-vous pour la 1ère vaccination sont en décélération.
Je vais le redire, ayez peur du virus, mais n'ayez surtout pas peur du vaccin, c'est pour votre santé, votre sécurité et le vaccin c'est pour votre liberté," a lâché comme slogan le chef du gouvernement.
Ce dernier avant de rendre le micro n'a pas hésité à proférer des menaces, pour les territoires où la propagation du variant Delta serait inquiétante.
"Si les circonstances locales le justifient, nous pourrions différer les allègements de jauge prévus le 1er juillet," a conclu le Premier ministre.
"Nous avons débloqué 6500 tests salivaires pour les écoles et on va mettre à disposition 10.000 autotests. Nous vaccinons en ce moment (dans toute la France, ndlr) 200.000 personnes par jour en première dose.
C'est trop peu!" affirme un Jean Castex venu pour resserrer la vis.
Pendant que la vaccination patine à nouveau, le Premier ministre a demandé aux personnels soignants, des Ehpad à se faire vacciner d'ici la fin de l'été. Ce n'est pas tout, il a aussi fait la publicité de la vaccination.
"L'épidémie n'a pas disparu, elle est toujours là et elle ne cesse d'évoluer. Les prises de rendez-vous pour la 1ère vaccination sont en décélération.
Je vais le redire, ayez peur du virus, mais n'ayez surtout pas peur du vaccin, c'est pour votre santé, votre sécurité et le vaccin c'est pour votre liberté," a lâché comme slogan le chef du gouvernement.
Ce dernier avant de rendre le micro n'a pas hésité à proférer des menaces, pour les territoires où la propagation du variant Delta serait inquiétante.
"Si les circonstances locales le justifient, nous pourrions différer les allègements de jauge prévus le 1er juillet," a conclu le Premier ministre.