Indice Marco Polo de l’activité voyages d’affaires de janvier 2023
Quelle est la tendance dans le business travel pour janvier 2023 ?
L'année 2022 s'était terminée sur un mois de décembre qui avait atteint pour la première fois depuis trois ans, un indice de 102.
Lire aussi : Voyages d'affaires : décembre revient au niveau pré-covid, mais..
Un bond en avant qui devait être nuancé par une base de comparaison de 2019 était faible car largement marquée par les grèves, et par trafic temporairement gonflé par la coupe du monde au Qatar.
Le mois de janvier 2023, revient lui à un niveau qui se situe dans la continuité de 2022, avec un indice de 86 (par ailleurs peu affecté par les grèves).
Depuis 9 mois, l'indice décrit "une sorte de plateau", avec des activités se situant toujours entre 85 et 90% de 2019.
"En dépit d’indices qui semblent donc s’installer durablement en retrait de 10 à 15% de ceux de 2019, la confiance des opérateurs reste bien positionnée.
A lire aussi : Voyages d’affaires : l'activité se maintient mais quid de 2023 ?
Les acteurs du secteur paraissent s’être adaptés à cette nouvelle situation, beaucoup ayant d’ailleurs nettement reconstitué leurs marges, au prix il est vrai, de hausses de tarifs significatives (on parle couramment de 20% ou plus)." précise Arnaud de Lamezan, vice-président de Marco Polo.
L'année 2022 s'était terminée sur un mois de décembre qui avait atteint pour la première fois depuis trois ans, un indice de 102.
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Un bond en avant qui devait être nuancé par une base de comparaison de 2019 était faible car largement marquée par les grèves, et par trafic temporairement gonflé par la coupe du monde au Qatar.
Le mois de janvier 2023, revient lui à un niveau qui se situe dans la continuité de 2022, avec un indice de 86 (par ailleurs peu affecté par les grèves).
Depuis 9 mois, l'indice décrit "une sorte de plateau", avec des activités se situant toujours entre 85 et 90% de 2019.
"En dépit d’indices qui semblent donc s’installer durablement en retrait de 10 à 15% de ceux de 2019, la confiance des opérateurs reste bien positionnée.
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Les acteurs du secteur paraissent s’être adaptés à cette nouvelle situation, beaucoup ayant d’ailleurs nettement reconstitué leurs marges, au prix il est vrai, de hausses de tarifs significatives (on parle couramment de 20% ou plus)." précise Arnaud de Lamezan, vice-président de Marco Polo.
