
Il y aura toujours de la place pour les agences de voyages connaissant leur métier, donnant un conseil pointu, aiguillant leur client dans les méandres des produits, conseillant telle destination plutôt que telle autre, montant un produit à haute valeur ajoutée comme un orfèvre taille un diamant brut.
Vous en doutez ? Alors je vous conseille l’interview d’un spécialiste qui confirme de manière éclatante ce que beaucoup subodorent depuis longtemps.
La mauvaise nouvelle ? Les packages faciles à monter et à consommer, les billets d’avion, les produits prêt à partir, c’est fini.
Ils échapperont de plus en plus aux agences traditionnelles. La Commission zéro n’a fait qu’accélérer la tendance en matière de billetterie basse contribution, tendance confirmée par la grande majorité de la Distribution.
« Le e-tourisme enregistre, comme l'an dernier, 51 % de croissance, rappelle Stéphane Loire et pèse sur 2005 plus de 3 milliards d'euros. » Un phénomène qui n’est pas vraiment étonnant : « Il est vrai que l'achat de billetterie et la réservation d'hôtels s'avèrent sans surprise pour les clients, et de fait Internet se trouve parfaitement adapté… »
La bonne nouvelle ? La voici : « La vraie complexité dans la vente en ligne dans le secteur du tourisme porte plus particulièrement sur les voyages sophistiqués, dont le développement s'avère plus lent. Les voyagistes qui cherchent à se diversifier au-delà de la billetterie se trouvent confrontés à des freins plus importants, du fait qu'ils touchent à des comportements d'achat plus difficiles à faire évoluer. »
Si vous doutiez encore sur la voie à emprunter, voilà qui devrait éclairer votre lanterne !
(*) En progression annuelle de 44 % en 2005, le e-commerce maintient son niveau de croissance de 2004, portant le volume d'affaires à près de 7 milliards d'euros.
Vous en doutez ? Alors je vous conseille l’interview d’un spécialiste qui confirme de manière éclatante ce que beaucoup subodorent depuis longtemps.
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Ils échapperont de plus en plus aux agences traditionnelles. La Commission zéro n’a fait qu’accélérer la tendance en matière de billetterie basse contribution, tendance confirmée par la grande majorité de la Distribution.
« Le e-tourisme enregistre, comme l'an dernier, 51 % de croissance, rappelle Stéphane Loire et pèse sur 2005 plus de 3 milliards d'euros. » Un phénomène qui n’est pas vraiment étonnant : « Il est vrai que l'achat de billetterie et la réservation d'hôtels s'avèrent sans surprise pour les clients, et de fait Internet se trouve parfaitement adapté… »
La bonne nouvelle ? La voici : « La vraie complexité dans la vente en ligne dans le secteur du tourisme porte plus particulièrement sur les voyages sophistiqués, dont le développement s'avère plus lent. Les voyagistes qui cherchent à se diversifier au-delà de la billetterie se trouvent confrontés à des freins plus importants, du fait qu'ils touchent à des comportements d'achat plus difficiles à faire évoluer. »
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(*) En progression annuelle de 44 % en 2005, le e-commerce maintient son niveau de croissance de 2004, portant le volume d'affaires à près de 7 milliards d'euros.