Fram, c'est encore mieux que de Niro, Scorcese et Joe Pesci réunis. Une violence toujours feutrée, avec parfois quelques dérapages sanglants, des murmures, du bruit, de la fureur, parfois un brin de tendresse vite noyée dans le mensonge. Un quartier entier de spectateurs passifs, soumis et le tour est joué - DR
Si chacun se souvient encore de ce merveilleux (enfin, façon de parler) film de Scorcese, les Affranchis, on ne peut que revenir chez Fram et la grande vadrouille qui en découle en ce moment.
Sans vouloir faire de comparaisons hasardeuses, cette aventure sent plutôt le pâté, sans vouloir faire du de Niro de bas étage. Et que, maintenant, une bonne fois pour toutes, va falloir choisir sa famille.
Wise Guys, c'est bien le cas de la dire, ce qui, en bon français vachement bien traduit, peut amener à traduire Rusé, finaud...
A condition d'être affranchi : bien averti, on peut choisir sa famille, non pas en connaissance de cause, mais en fonction d'intérêts plus ou moins construits.
Fram, c'est encore mieux que de Niro, Scorcese et Joe Pesci réunis. Une violence toujours feutrée, avec parfois quelques dérapages sanglants, des murmures, du bruit, de la fureur, parfois un brin de tendresse vite noyée dans le mensonge.
Un quartier entier de spectateurs passifs, soumis et le tour est joué.
Sans vouloir faire de comparaisons hasardeuses, cette aventure sent plutôt le pâté, sans vouloir faire du de Niro de bas étage. Et que, maintenant, une bonne fois pour toutes, va falloir choisir sa famille.
Wise Guys, c'est bien le cas de la dire, ce qui, en bon français vachement bien traduit, peut amener à traduire Rusé, finaud...
A condition d'être affranchi : bien averti, on peut choisir sa famille, non pas en connaissance de cause, mais en fonction d'intérêts plus ou moins construits.
Fram, c'est encore mieux que de Niro, Scorcese et Joe Pesci réunis. Une violence toujours feutrée, avec parfois quelques dérapages sanglants, des murmures, du bruit, de la fureur, parfois un brin de tendresse vite noyée dans le mensonge.
Un quartier entier de spectateurs passifs, soumis et le tour est joué.
Des fortunes faites, défaites, refaites et finalement, à l'arrivée, la déchéance et la mort…
Je caricature, bien sûr, mais tout est là.
Un padrino (traduisez par parrain), affable, charismatique, paternaliste, sourd (ou plus exactement non entendant), affublé de consigliere pas franchement affutés, une famille qui voudrait exister en devenant chef à la place du chef.
Ajoutez à cela d'autres "bandes", issues de différents quartiers plus ou moins ethniques et le décor est planté.
Mais bon sang, comment en est-on arrivé là ? Certes, me diront les plus optimistes, rien n'est encore joué et le gang venu de l'orient lointain, bien que les rumeurs courent à grande vitesse, n'a encore rien dit…
Rien de rien, mais n'a pas non plus montré le moindre fifrelin…
Et, tel le joueur digne de Macao, par exemple, ne semble pas décidé à miser un yuan sur le voyagiste, alors que seulement trois jours plus tôt, les dés semblaient jetés…
Mais dans cette grande partie de poker menteur, on peut aussi se demander si la famille et le parrain ont vraiment su jouer. Que sont devenus, en à peine deux ans, les 15 millions de la vente des Baléares, les 50 briques du Moyen Orient ?
Je caricature, bien sûr, mais tout est là.
Un padrino (traduisez par parrain), affable, charismatique, paternaliste, sourd (ou plus exactement non entendant), affublé de consigliere pas franchement affutés, une famille qui voudrait exister en devenant chef à la place du chef.
Ajoutez à cela d'autres "bandes", issues de différents quartiers plus ou moins ethniques et le décor est planté.
Mais bon sang, comment en est-on arrivé là ? Certes, me diront les plus optimistes, rien n'est encore joué et le gang venu de l'orient lointain, bien que les rumeurs courent à grande vitesse, n'a encore rien dit…
Rien de rien, mais n'a pas non plus montré le moindre fifrelin…
Et, tel le joueur digne de Macao, par exemple, ne semble pas décidé à miser un yuan sur le voyagiste, alors que seulement trois jours plus tôt, les dés semblaient jetés…
Mais dans cette grande partie de poker menteur, on peut aussi se demander si la famille et le parrain ont vraiment su jouer. Que sont devenus, en à peine deux ans, les 15 millions de la vente des Baléares, les 50 briques du Moyen Orient ?
C'est vrai que madame Nièce a vraiment bien œuvré, avec ses contrats…
Et que vont devenir les "hommes de main" de la famille ?
Si j'en crois les vrais chiffres, c'est quand même une bande de quelque 2000 personnes à travers la tentacule framesque. Pas les 800 que les plus optimistes veulent nous montrer.
L'entrée dans le jeu de Selectour, ne serait-ce pas non plus une manœuvre dilatoire de la part de chinois qui, malgré leur grande disponibilité financière, seraient quand même tentés de dépenser le moins possible ?
Ou alors, pour une fois, le malin matou aurait été manipulé à l'insu de son plein gré ?
Quant à l'autre candidat, tapis dans le coin mais griffes affutées, l'enjeu pourrait aussi être de taille : l'acquisition, à moindre frais de la princesse du voyage quasi déchue, pourrait lui donner vis-à-vis de son bailleur de fonds, LBO, une nouvelle notoriété et faire oublier la profonde tristesse financière dans laquelle il vit…
Sans oublier, bien sûr les quelque hommes et femmes de "main" lesquels se réjouissaient la semaine dernière et qui s'apprêtent, demain, à pleurer…
Pitoyable !
Et que vont devenir les "hommes de main" de la famille ?
Si j'en crois les vrais chiffres, c'est quand même une bande de quelque 2000 personnes à travers la tentacule framesque. Pas les 800 que les plus optimistes veulent nous montrer.
L'entrée dans le jeu de Selectour, ne serait-ce pas non plus une manœuvre dilatoire de la part de chinois qui, malgré leur grande disponibilité financière, seraient quand même tentés de dépenser le moins possible ?
Ou alors, pour une fois, le malin matou aurait été manipulé à l'insu de son plein gré ?
Quant à l'autre candidat, tapis dans le coin mais griffes affutées, l'enjeu pourrait aussi être de taille : l'acquisition, à moindre frais de la princesse du voyage quasi déchue, pourrait lui donner vis-à-vis de son bailleur de fonds, LBO, une nouvelle notoriété et faire oublier la profonde tristesse financière dans laquelle il vit…
Sans oublier, bien sûr les quelque hommes et femmes de "main" lesquels se réjouissaient la semaine dernière et qui s'apprêtent, demain, à pleurer…
Pitoyable !
Autres articles
-
Laurent Abitbol : Selectour va distribuer "le plus gros bonus de l’histoire"
-
Laurent Abitbol à l’AFTM : "Que la NDC, n’aille pas plus loin..." 🔑
-
Selectour : Amadeus B2B Wallet entre en phase de test
-
L. Abitbol (Selectour) : « L'année prochaine, nous ferons des forces de vente aussi grandes qu'un congrès »🔑
-
Forces de vente 2024 : Selectour fait un carton plein en Turquie 🔑