De l’Asie, d’où est venue la majorité de sa population, elle a préservé les rizières, le riz étant à la base de l’alimentation malgache. Madagascar n’est pourtant ni l’Afrique ni l’Asie : à 400 kilomètres à l’Est des côtes africaines, dans l’Océan Indien, celle que l’on surnomme « la Grande Ile » a beau être entourée d’eau, elle est avant tout résolument tournée vers la terre.
Ses paysages variés offrent un havre de paix qui invite à la contemplation. Les lémuriens sont les plus petits primates au monde et ils sont endémiques de Madagascar.
Victimes de la déforestation et de la chasse, ils trouvent refuge dans les parcs et les réserves privées. Direction la région de Vakinankarata pour se rendre au marché rural de Behenjy qui se trouve sur une butte. Les habitants ne peuvent s’y rendre qu'à pied et c’est le rendez-vous que nul ne veut manquer car c’est un lieu de rencontres, d’échanges, d’achat et de troc.
Ce sont les paysans qui amènent ici leurs récoltes. Vêtements, outils et bien sûr fruits et légumes. Les produits sont posés à même le sol, mais les vendeuses ne manquent pas d’élégance, parfois protégées du soleil par une ombrelle.
Le mufikassé est un biscuit à base de lait, il peut être sucré ou salé. C’est à partir de tranches de pain que ce marchand prépare ses beignets fourrés à la banane, des tranches de pain qu’il fait ensuite frire. On trouve de tout dans ce marché qui fait figure de village endehors du véritable village.
Ses paysages variés offrent un havre de paix qui invite à la contemplation. Les lémuriens sont les plus petits primates au monde et ils sont endémiques de Madagascar.
Victimes de la déforestation et de la chasse, ils trouvent refuge dans les parcs et les réserves privées. Direction la région de Vakinankarata pour se rendre au marché rural de Behenjy qui se trouve sur une butte. Les habitants ne peuvent s’y rendre qu'à pied et c’est le rendez-vous que nul ne veut manquer car c’est un lieu de rencontres, d’échanges, d’achat et de troc.
Ce sont les paysans qui amènent ici leurs récoltes. Vêtements, outils et bien sûr fruits et légumes. Les produits sont posés à même le sol, mais les vendeuses ne manquent pas d’élégance, parfois protégées du soleil par une ombrelle.
Le mufikassé est un biscuit à base de lait, il peut être sucré ou salé. C’est à partir de tranches de pain que ce marchand prépare ses beignets fourrés à la banane, des tranches de pain qu’il fait ensuite frire. On trouve de tout dans ce marché qui fait figure de village endehors du véritable village.
Ce marché est aussi une foire aux bestiaux !
Cette femme vend, elle, des graines de poivre. De quoi relever le goût des plats que les Malgaches préfèrent épicés.
Ce marché est aussi une foire aux bestiaux !
Porcs, volailles mais aussi bovins avec les incontournables zébus. Le zébu est l’animal domestique emblématique de Madagascar, il a plus de valeur que l'or ou n'importe quelle pierre précieuse.
Sa viande est de grande qualité, très peu grasse et goutue. Non loin de là, on rencontre des artisans spécialisés dans la fabrication de lames pour couteaux, serpes et machettes. Ces champions du système D actionnent une roue de vélo en guise de ventilateur pour faire chauffer les braises !
Dans ce joyeux bazar qui ne manque ni de couleurs vives ni de sourires, nous allons maintenant découvrir l’une des spécialités malgaches : le koba. C’est un énorme dessert ficelé dans des feuilles de banane.
Tout l’art consiste à bien assembler les feuilles avant d’y saupoudrer le sucre et la farine de riz agrémentée de pistaches ou cacahuètes. Une recette typique et diablement calorique si l’on en juge l’épaisseur de cette pyramide sucrée ! Au diable les kilos !
La cuisson des gâteaux se fait dans ces cylindres durant au moins 24 heures ! La gourmandise se nourrit aussi de patience…
Ce marché est aussi une foire aux bestiaux !
Porcs, volailles mais aussi bovins avec les incontournables zébus. Le zébu est l’animal domestique emblématique de Madagascar, il a plus de valeur que l'or ou n'importe quelle pierre précieuse.
Sa viande est de grande qualité, très peu grasse et goutue. Non loin de là, on rencontre des artisans spécialisés dans la fabrication de lames pour couteaux, serpes et machettes. Ces champions du système D actionnent une roue de vélo en guise de ventilateur pour faire chauffer les braises !
Dans ce joyeux bazar qui ne manque ni de couleurs vives ni de sourires, nous allons maintenant découvrir l’une des spécialités malgaches : le koba. C’est un énorme dessert ficelé dans des feuilles de banane.
Tout l’art consiste à bien assembler les feuilles avant d’y saupoudrer le sucre et la farine de riz agrémentée de pistaches ou cacahuètes. Une recette typique et diablement calorique si l’on en juge l’épaisseur de cette pyramide sucrée ! Au diable les kilos !
La cuisson des gâteaux se fait dans ces cylindres durant au moins 24 heures ! La gourmandise se nourrit aussi de patience…