Les chèques-vacances sont un moyen de paiement assez fastidieux à gérer pour les professionnels du tourisme, surtout pour les agences en ligne.
Si l'ANCV projette depuis longtemps sa dématérialisation, cet établissement public sous tutelle du ministère du tourisme, vient seulement de lancer ses premières études.
Le processus ne devrait donc pas aboutir avant 2016.
En attendant, c'est un chiffre d'affaires de près de 1,465 milliard d'euros qui passe sous le nez des TO en ligne, incapables de traiter ces chèques.
Une perte non négligeable dans le contexte économique actuel.
D'autant plus que ce moyen de paiement connaît un fort engouement, avec un volume d’émission en progression de 4,3% au premier trimestre 2013, et plus de quatre millions de bénéficiaires sur l'année.
Si l'ANCV projette depuis longtemps sa dématérialisation, cet établissement public sous tutelle du ministère du tourisme, vient seulement de lancer ses premières études.
Le processus ne devrait donc pas aboutir avant 2016.
En attendant, c'est un chiffre d'affaires de près de 1,465 milliard d'euros qui passe sous le nez des TO en ligne, incapables de traiter ces chèques.
Une perte non négligeable dans le contexte économique actuel.
D'autant plus que ce moyen de paiement connaît un fort engouement, avec un volume d’émission en progression de 4,3% au premier trimestre 2013, et plus de quatre millions de bénéficiaires sur l'année.
Une nouvelle solution pour un traitement rapide
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La société Limonetik a donc pris les devants.
Spécialisée dans la connexion de moyens de paiements, comme les chèques cadeaux, avec les sites marchands, Limonetik propose désormais aux voyagistes en ligne une solution pour traiter rapidement les chèques vacances.
"Nos clients n'ont qu'un bout de code à intégrer sur leur site pour accepter les chèques-vacances, nous gérons ensuite tout le reste" explique Christophe Bourbier, le directeur de la société.
La plateforme s'est associée avec Docapost, une filiale de La Poste, qui trie et vérifie les chèques envoyés.
Pour le voyageur, il suffit d'entrer le numéro de son chèque sur le site du voyagiste et ainsi que son numéro de carte bancaire.
"Nous prenons un numéro de carte en caution pour valider le paiement en attendant de recevoir les chèques. Mais si tout est bien envoyé, le client n'est jamais débité" précise Mathieu Dhordain, le directeur eBusiness de Belambra.
Auparavant ceux qui souhaitaient régler par ce moyen étaient d'abord débités sur leur carte, puis recrédités à réception des chèques. Une procédure compliquée freinant forcément la conversion.
Le service de Limonetik, utilisé depuis juillet dernier chez Belambra, a permis de réduire drastiquement le temps de traitement des chèques. Et il ne serait pas étranger aux excellents résultats enregistrés durant l'été.
"Les clients n'ont pas l'impression de dépenser leur argent et donc n'hésitent pas à se faire plaisir. Au final le panier moyen est beaucoup plus important" assure Mathieu Dhordain.
De son coté, Limonetik facture le TO à l'acte, en sus d'un abonnement mensuel à son service. "Cela leur coûte bien moins cher que s'ils devaient traiter en interne et à la main " assure Christophe Bourbier.
Il cible les leaders du secteur et travaille également avec Voyage Privé et Ecotour. Exposant au salon e-commerce de Paris, concomitant à l'IFTM-Top Résa, il ne manquera pas de venir faire un tour à ce dernier pour présenter sa solution aux professionnels du tourisme.
Spécialisée dans la connexion de moyens de paiements, comme les chèques cadeaux, avec les sites marchands, Limonetik propose désormais aux voyagistes en ligne une solution pour traiter rapidement les chèques vacances.
"Nos clients n'ont qu'un bout de code à intégrer sur leur site pour accepter les chèques-vacances, nous gérons ensuite tout le reste" explique Christophe Bourbier, le directeur de la société.
La plateforme s'est associée avec Docapost, une filiale de La Poste, qui trie et vérifie les chèques envoyés.
Pour le voyageur, il suffit d'entrer le numéro de son chèque sur le site du voyagiste et ainsi que son numéro de carte bancaire.
"Nous prenons un numéro de carte en caution pour valider le paiement en attendant de recevoir les chèques. Mais si tout est bien envoyé, le client n'est jamais débité" précise Mathieu Dhordain, le directeur eBusiness de Belambra.
Auparavant ceux qui souhaitaient régler par ce moyen étaient d'abord débités sur leur carte, puis recrédités à réception des chèques. Une procédure compliquée freinant forcément la conversion.
Le service de Limonetik, utilisé depuis juillet dernier chez Belambra, a permis de réduire drastiquement le temps de traitement des chèques. Et il ne serait pas étranger aux excellents résultats enregistrés durant l'été.
"Les clients n'ont pas l'impression de dépenser leur argent et donc n'hésitent pas à se faire plaisir. Au final le panier moyen est beaucoup plus important" assure Mathieu Dhordain.
De son coté, Limonetik facture le TO à l'acte, en sus d'un abonnement mensuel à son service. "Cela leur coûte bien moins cher que s'ils devaient traiter en interne et à la main " assure Christophe Bourbier.
Il cible les leaders du secteur et travaille également avec Voyage Privé et Ecotour. Exposant au salon e-commerce de Paris, concomitant à l'IFTM-Top Résa, il ne manquera pas de venir faire un tour à ce dernier pour présenter sa solution aux professionnels du tourisme.
