Les groupistes en ont assez d’être montrés du doigt. Ils souhaitent aujourd’hui se regrouper et échanger sur les spécificités de leur métier - © Tanusha - Fotolia.com
Les groupistes (par ordre alphabétique) Amerasia, Altis, Partir, Syltours, Tours Square et Transunivers tenaient cette semaine leur deuxième réunion.
La faillite de Consult Voyages et l’amalgame qu’en font certains délient les voix et les actions.
« Les groupistes ne sont pas plus des métiers à risques que le sont les agences de voyages et les tour-opérateurs, déclare Sylvain Lament, président fondateur de Syltours.
Les faillites touchent tous les secteurs. Il faut en finir avec les amalgames. La situation financière de Consult Voyages était connue depuis au moins 18 mois. Toute la profession était au courant. Nos clients étaient au courant. Personne n’a rien fait ! »
La faillite de Consult Voyages et l’amalgame qu’en font certains délient les voix et les actions.
« Les groupistes ne sont pas plus des métiers à risques que le sont les agences de voyages et les tour-opérateurs, déclare Sylvain Lament, président fondateur de Syltours.
Les faillites touchent tous les secteurs. Il faut en finir avec les amalgames. La situation financière de Consult Voyages était connue depuis au moins 18 mois. Toute la profession était au courant. Nos clients étaient au courant. Personne n’a rien fait ! »
Les groupistes, un poids économique important
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Groupiste depuis 38 ans, Sylvain Lament emploie une soixante de salariés, répartis à travers Paris et les régions.
Il fut durant trois ans, rappelons-le, président du conseil exécutif des producteurs au sein du SNAV.
Il connaît tous les rouages des instances professionnelles. Et pas la peine d’évoquer avec lui le bien fondé des contrôles et vérifications des contre-garanties exigées par l’APST, ça le rend colère.
Les groupistes représentent un poids économique important. Ils sont confrontés aux mêmes problématiques, l’augmentation de la garantie notamment.
Toutes les agences et tous les TO font du groupe, eux c’est leur cœur de métier. La très grande majorité ne travaillent qu’en direct.
« Nous sommes des professionnels responsables et nous en avons assez d’être montrés du doigt ! Nous ressentons aujourd’hui le besoin de nous regrouper et d’échanger sur les spécificités de notre métier ». A suivre.
Il fut durant trois ans, rappelons-le, président du conseil exécutif des producteurs au sein du SNAV.
Il connaît tous les rouages des instances professionnelles. Et pas la peine d’évoquer avec lui le bien fondé des contrôles et vérifications des contre-garanties exigées par l’APST, ça le rend colère.
Les groupistes représentent un poids économique important. Ils sont confrontés aux mêmes problématiques, l’augmentation de la garantie notamment.
Toutes les agences et tous les TO font du groupe, eux c’est leur cœur de métier. La très grande majorité ne travaillent qu’en direct.
« Nous sommes des professionnels responsables et nous en avons assez d’être montrés du doigt ! Nous ressentons aujourd’hui le besoin de nous regrouper et d’échanger sur les spécificités de notre métier ». A suivre.
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