Alexandre Viros, directeur général d’e-voyageurs SNCF et Guillaume Pépy, président du directoire de SNCF, ont présenté l’assistant mobilité SNCF, le 18 juin 2019, dans les locaux de Ground Control, à Paris. - CL
Planifier un trajet, acheter et valider ses titres de transport de bus, de vélo, réserver et payer un taxi ou VTC… bientôt ce sera possible à travers l’Assistant mobilités SNCF.
Dans un contexte d’explosion de l’offre de mobilité, SNCF veut intégrer l’ensemble à son application SNCF. Plus uniquement dédiée aux produits SNCF, l’application SNCF s’enrichit pour permettre de réaliser un trajet de bout en bout, à travers la France.
« Il existe aujourd’hui des applications pour chaque mode de transport, mais aucune ne propose un point d’accès unique aux différentes offres de mobilité pour s’informer et acheter un billet », note Alexandre Viros, directeur général d’e-voyageurs SNCF.
Dans un contexte d’explosion de l’offre de mobilité, SNCF veut intégrer l’ensemble à son application SNCF. Plus uniquement dédiée aux produits SNCF, l’application SNCF s’enrichit pour permettre de réaliser un trajet de bout en bout, à travers la France.
« Il existe aujourd’hui des applications pour chaque mode de transport, mais aucune ne propose un point d’accès unique aux différentes offres de mobilité pour s’informer et acheter un billet », note Alexandre Viros, directeur général d’e-voyageurs SNCF.
Karhoo, Bus Direct Paris, les
Lancée le 19 juin 2019, la plateforme se concentrera dans un premier temps sur les solutions de mobilité au niveau local. L’application Oui.sncf ne disparaît donc pas et continuera à être la plateforme de référence des trajets longs.
Pour ces derniers, l’assistant basculera vers Oui.sncf.
Pour l’heure, l’assistant propose des itinéraires et de l’information sur toutes les villes françaises de plus de 100 000 habitants et 89% des villes de plus 50 000 habitants.
SNCF a noué des partenariats avec des acteurs clés : Karhoo, qui dispose d’un réseau de flottes de taxis et VTC (SnapCar, LeCab, Marcel, les taxi scooters Félix et Alpha Taxi) dans 17 villes de l’hexagone.
Le Bus Direct Paris Aéroport est référencé sur la plateforme, ainsi que l’agglomération de Strasbourg via la Compagnie des Transports Strasbourgeois (CTS).
La métropole est équipée de la technologie NFC, ce qui permet d’acheter et valider un ticket de tramway ou de bus même sur téléphone éteint.
D’ici fin 2019, l’assistant étoffera son offre avec : BlaBlaLines, Uber, Onepark. Enfin, la NFC sera étendue à l’offre TER.
Pour ces derniers, l’assistant basculera vers Oui.sncf.
Pour l’heure, l’assistant propose des itinéraires et de l’information sur toutes les villes françaises de plus de 100 000 habitants et 89% des villes de plus 50 000 habitants.
SNCF a noué des partenariats avec des acteurs clés : Karhoo, qui dispose d’un réseau de flottes de taxis et VTC (SnapCar, LeCab, Marcel, les taxi scooters Félix et Alpha Taxi) dans 17 villes de l’hexagone.
Le Bus Direct Paris Aéroport est référencé sur la plateforme, ainsi que l’agglomération de Strasbourg via la Compagnie des Transports Strasbourgeois (CTS).
La métropole est équipée de la technologie NFC, ce qui permet d’acheter et valider un ticket de tramway ou de bus même sur téléphone éteint.
D’ici fin 2019, l’assistant étoffera son offre avec : BlaBlaLines, Uber, Onepark. Enfin, la NFC sera étendue à l’offre TER.
De nouveaux partenariats à venir
Ce sera certainement la condition indispensable pour faire adhérer le public à ce nouvel outil : la profondeur de l’offre.
« Chacun est invité à nous rejoindre, la porte est ouverte. Il faudra simplement que nos futurs partenaires soient prêts techniquement à accueillir le flux de 13 millions d’utilisateurs. Il y aura des concurrents de la SNCF », a annoncé Guillaume Pépy, président du directoire de SNCF.
La viabilité économique et la qualité de service seront également étudiées de près.
Une plateforme en marque blanche sera proposée à terme aux collectivités, avec une interface client personnalisable dans laquelle elles pourront intégrer leurs propres solutions de transport.
SNCF mise également sur la facilité d’utilisation pour obtenir l’adhésion de ses 13 millions de détenteurs de l’application.
« Chacun est invité à nous rejoindre, la porte est ouverte. Il faudra simplement que nos futurs partenaires soient prêts techniquement à accueillir le flux de 13 millions d’utilisateurs. Il y aura des concurrents de la SNCF », a annoncé Guillaume Pépy, président du directoire de SNCF.
La viabilité économique et la qualité de service seront également étudiées de près.
Une plateforme en marque blanche sera proposée à terme aux collectivités, avec une interface client personnalisable dans laquelle elles pourront intégrer leurs propres solutions de transport.
SNCF mise également sur la facilité d’utilisation pour obtenir l’adhésion de ses 13 millions de détenteurs de l’application.