Aya lance une nouvelle marque Aya Désirs du Monde avec des circuits dédiés aux groupes - DR
De nos jours, il n'est pas facile d'être un tour-opérateur spécialiste de l'Orient.
Mais si Aya s’en sort plutôt bien sur ses destinations fétiches, il a décidé de diversifier sa production pour trouver de nouveaux relais de croissance.
Il lance ainsi une nouvelle marque Aya Désirs du Monde avec des circuits dédiés aux groupes.
A l’intérieur de la plaquette éditée pour l'occasion, on trouvera 22 destinations sur l’Europe, l’Amérique, l’Asie, l’Afrique et bien entendu l’Orient.
« Nous avons choisi d’ouvrir ces nouvelles destinations sur le marché groupe car c’est beaucoup plus facile qu’en individuel », remarque Walid Ben Zaied, le responsable du développement.
Grâce à ses excellents accords avec les compagnies aériennes, le TO propose des tarifs plutôt attractifs pour des circuits en pension complète, comme la Thaïlande à 1090 euros, les Pays-Baltes à 1196 euros ou encore l’Ouest Américain à 1899 euros.
Et les premiers retours sont déjà excellents, avec près de 300 pax engrangés sur la Thaïlande et 600 en seulement deux mois de vente sur les Pays Baltes. Le TO qui s’était engagé sur 700 sièges va devoir rajouter des disponibilités.
Le département groupes prend en effet de l’ampleur chez Aya, et devrait d’ailleurs prendre le pas sur les ventes individuelles cette année voire même les dépasser en 2016.
« Grâce à notre petite taille, nous sommes réactifs et flexibles face aux demandes des clients. Nos stocks aériens nous permettent également d’offrir d’excellents tarifs » explique Adeline Kurban Fiani, la directrice générale.
Aya travaille d’ailleurs régulièrement en marque blanche avec les autocaristes. Il est référencé chez Manor, vendu chez Thomas Cook et chez Selectour Afat, avec lequel il négocie actuellement son intégration.
Mais si Aya s’en sort plutôt bien sur ses destinations fétiches, il a décidé de diversifier sa production pour trouver de nouveaux relais de croissance.
Il lance ainsi une nouvelle marque Aya Désirs du Monde avec des circuits dédiés aux groupes.
A l’intérieur de la plaquette éditée pour l'occasion, on trouvera 22 destinations sur l’Europe, l’Amérique, l’Asie, l’Afrique et bien entendu l’Orient.
« Nous avons choisi d’ouvrir ces nouvelles destinations sur le marché groupe car c’est beaucoup plus facile qu’en individuel », remarque Walid Ben Zaied, le responsable du développement.
Grâce à ses excellents accords avec les compagnies aériennes, le TO propose des tarifs plutôt attractifs pour des circuits en pension complète, comme la Thaïlande à 1090 euros, les Pays-Baltes à 1196 euros ou encore l’Ouest Américain à 1899 euros.
Et les premiers retours sont déjà excellents, avec près de 300 pax engrangés sur la Thaïlande et 600 en seulement deux mois de vente sur les Pays Baltes. Le TO qui s’était engagé sur 700 sièges va devoir rajouter des disponibilités.
Le département groupes prend en effet de l’ampleur chez Aya, et devrait d’ailleurs prendre le pas sur les ventes individuelles cette année voire même les dépasser en 2016.
« Grâce à notre petite taille, nous sommes réactifs et flexibles face aux demandes des clients. Nos stocks aériens nous permettent également d’offrir d’excellents tarifs » explique Adeline Kurban Fiani, la directrice générale.
Aya travaille d’ailleurs régulièrement en marque blanche avec les autocaristes. Il est référencé chez Manor, vendu chez Thomas Cook et chez Selectour Afat, avec lequel il négocie actuellement son intégration.
Retour de l'Iran dans la brochure Désirs d'Orient
Malgré la diversification de ses destinations, Aya n’abandonne pas sa brochure Désirs d’Orient et des îles.
D’autant qu’en dépit du contexte général, ses performances sont tout à fait honorables.
Les Emirats ont particulièrement bien marché, notamment Dubaï (4500 clients) ainsi qu’Abu Dhabi (3900 pax).
Aya s’est d’ailleurs engagé à hauteur de 700 sièges pour l’ouverture du musée du Louvre dans l’émirat d’ici la fin de l’année.
Les combinés entre les Emirats et les îles de l’Océan Indien ainsi que les Maldives se sont bien vendus, grâce aux tarifs alléchants des compagnies du Golfe pour les vols avec escale, parfois moins chers que les directs.
Le TO a également négocié quelques gratuités avec les chaînes hôtelières sur Dubaï et Abu Dhabi.
L’Iran fait son grand retour dans la brochure. « Les agents de voyages nous appelaient toujours même lorsque nous avions sorti le pays de notre programmation. Il y a énormément de demandes, et ce n’est pas toujours facile de trouver des hôtels », assure la directrice.
D’autant qu’en dépit du contexte général, ses performances sont tout à fait honorables.
Les Emirats ont particulièrement bien marché, notamment Dubaï (4500 clients) ainsi qu’Abu Dhabi (3900 pax).
Aya s’est d’ailleurs engagé à hauteur de 700 sièges pour l’ouverture du musée du Louvre dans l’émirat d’ici la fin de l’année.
Les combinés entre les Emirats et les îles de l’Océan Indien ainsi que les Maldives se sont bien vendus, grâce aux tarifs alléchants des compagnies du Golfe pour les vols avec escale, parfois moins chers que les directs.
Le TO a également négocié quelques gratuités avec les chaînes hôtelières sur Dubaï et Abu Dhabi.
L’Iran fait son grand retour dans la brochure. « Les agents de voyages nous appelaient toujours même lorsque nous avions sorti le pays de notre programmation. Il y a énormément de demandes, et ce n’est pas toujours facile de trouver des hôtels », assure la directrice.
Jordanie : il y a toujours une demande
Quant à la Jordanie, qui traverse une grave crise sur le marché français, elle séduit toujours les clients d’Aya : 2600 pax en 2014.
« Il y a encore de la demande sur la destination, mais tous les TO l’ont abandonnée. Nous sommes quasiment les seuls à rester » regrette Adeline Kurban Fiani.
Grâce au soutien de l’office du tourisme et des compagnies aériennes, le groupe avait lancé un produit à moins de 1000 euros qui a beaucoup plus.
Seul Oman est en petite forme, avec 1450 clients seulement.
Enfin, le TO se réjouit de l’excellente santé de sa branche réceptive, avec près de 15 000 clients dont le panier moyen ne fait que grimper.
Au final, l’équipe s’estime assez confiante pour l’avenir. « On sent que la situation économique est bien meilleure. Les clients ont certes des budgets moins importants mais veulent voyager », remarque Walid Ben Zaied.
Après avoir clôturé l’année 2014 avec un chiffre d’affaires de 23 millions d’euros, le TO est déjà en progression de 5% à fin juillet.
Mais l’équipe croise doigts jusqu’à la fin de l’année, se rappelant avec angoisse la publication de la carte du MAE pendant l’IFTM Top Resa l’an passé, qui avait porté un coup d'arrêt aux ventes dans tout le Moyen-Orient.
« Il y a encore de la demande sur la destination, mais tous les TO l’ont abandonnée. Nous sommes quasiment les seuls à rester » regrette Adeline Kurban Fiani.
Grâce au soutien de l’office du tourisme et des compagnies aériennes, le groupe avait lancé un produit à moins de 1000 euros qui a beaucoup plus.
Seul Oman est en petite forme, avec 1450 clients seulement.
Enfin, le TO se réjouit de l’excellente santé de sa branche réceptive, avec près de 15 000 clients dont le panier moyen ne fait que grimper.
Au final, l’équipe s’estime assez confiante pour l’avenir. « On sent que la situation économique est bien meilleure. Les clients ont certes des budgets moins importants mais veulent voyager », remarque Walid Ben Zaied.
Après avoir clôturé l’année 2014 avec un chiffre d’affaires de 23 millions d’euros, le TO est déjà en progression de 5% à fin juillet.
Mais l’équipe croise doigts jusqu’à la fin de l’année, se rappelant avec angoisse la publication de la carte du MAE pendant l’IFTM Top Resa l’an passé, qui avait porté un coup d'arrêt aux ventes dans tout le Moyen-Orient.
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