Malgré une prise de conscience générale, les moyens de transport responsables ne sont pas encore les plus choisis - @dentsu
Les diverses crises sociales, politiques et environnementales que nous avons dû affronter ont été sources de nombreux bouleversements, et le tourisme n’a pas dérogé à la règle.
Dans ce cadre, Dentsu data labs, département insight et data du groupe dentsu, a mené une étude auprès d’un panel de 902 répondants de 18 ans et plus, dans l’optique de mieux comprendre les conséquences des crises sur les projets de voyage des Français.
Tout d’abord, la première bonne nouvelle pour le secteur du tourisme est qu’aujourd’hui, 84% des Français pensent partir en vacances cet été. Ce pourcentage important peut s’expliquer par l’impossibilité de voyager lors de ces deux dernières années de pandémie.
A l’heure actuelle, plus de 8 Français sur 10 se déclarent impactés par au moins un événement de ces derniers mois dans leur façon de voyager.
La crise sanitaire et l’augmentation du prix de l’essence étant les plus déterminants avec respectivement un impact sur les projets de vacances de 77% et 74% des répondants, on retrouve ensuite l’inflation des produits courants (70%), la guerre en Ukraine (56%) et le réchauffement climatique (48%).
Dans ce cadre, Dentsu data labs, département insight et data du groupe dentsu, a mené une étude auprès d’un panel de 902 répondants de 18 ans et plus, dans l’optique de mieux comprendre les conséquences des crises sur les projets de voyage des Français.
Tout d’abord, la première bonne nouvelle pour le secteur du tourisme est qu’aujourd’hui, 84% des Français pensent partir en vacances cet été. Ce pourcentage important peut s’expliquer par l’impossibilité de voyager lors de ces deux dernières années de pandémie.
A l’heure actuelle, plus de 8 Français sur 10 se déclarent impactés par au moins un événement de ces derniers mois dans leur façon de voyager.
La crise sanitaire et l’augmentation du prix de l’essence étant les plus déterminants avec respectivement un impact sur les projets de vacances de 77% et 74% des répondants, on retrouve ensuite l’inflation des produits courants (70%), la guerre en Ukraine (56%) et le réchauffement climatique (48%).
L’écologie apparaît comme la priorité en matière de tourisme responsable
Les conséquences des bouleversements récents sont multiples : séjours plus courts (31%), dans la famille ou chez les amis (30%), dans des destinations plus proches (26%) ou encore au sein de lieux de séjours individuels à la place des infrastructures collectives (24%). Seulement 2% des répondants indiquent qu’ils ne souhaitent plus partir de chez eux.
Concernant le tourisme responsable, l’enquête a tout d’abord interrogé les consommateurs sur ce que cette notion implique pour eux.
Malgré le fait que 18,5% des répondants ne parviennent pas à la définir, la majorité cite spontanément un lien avec la nature et l’écologie. Viens ensuite le respect des populations locales et les enjeux d’équilibre économique.
Pour la majorité des interviewés, le respect de la nature (67%) et les modes de transports non polluants (54%) sont perçus comme les « critères les plus importants » dans ce domaine.
Pourtant, parmi les voyageurs confirmés, 38% déclarent avoir un projet de voyage en avion et 63% en voiture individuelle, le train n’étant cité que par 25% d’entre eux, et le co-voiturage par à peine 5%.
Des chiffres qui démontrent que malgré la prise de conscience quant à la pollution des différents moyens de transport, la route est encore longue avant que les mobilités dites responsables puissent prendre le dessus.
Concernant le tourisme responsable, l’enquête a tout d’abord interrogé les consommateurs sur ce que cette notion implique pour eux.
Malgré le fait que 18,5% des répondants ne parviennent pas à la définir, la majorité cite spontanément un lien avec la nature et l’écologie. Viens ensuite le respect des populations locales et les enjeux d’équilibre économique.
Pour la majorité des interviewés, le respect de la nature (67%) et les modes de transports non polluants (54%) sont perçus comme les « critères les plus importants » dans ce domaine.
Pourtant, parmi les voyageurs confirmés, 38% déclarent avoir un projet de voyage en avion et 63% en voiture individuelle, le train n’étant cité que par 25% d’entre eux, et le co-voiturage par à peine 5%.
Des chiffres qui démontrent que malgré la prise de conscience quant à la pollution des différents moyens de transport, la route est encore longue avant que les mobilités dites responsables puissent prendre le dessus.
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