Gate28, le spécialiste européen de l’indemnisation des retards aériens, a demandé à l’institut de sondage Harris Interactive d’évaluer la connaissance qu’ont les Français en la matière.
Et le constat est inquiétant : Si 71% des Français indiquent avoir déjà pris l’avion, deux tiers des voyageurs n’ont pas une connaissance précise des modalités d’indemnisation en cas de retard ou d’annulation de leur vol si la compagnie en est responsable.
Pourtant, selon le règlement européen 261/2004, tout passager victime d’un surbooking ou d’un retard aérien d’au moins 3 heures - sauf circonstances exceptionnelles - peut prétendre à une indemnisation allant jusqu’à 600 euros !
De fait, une écrasante majorité des voyageurs (81%) perçoit les procédures de remboursement comme complexes. Cette situation n’est pas spécifique à la France : en Espagne, seuls 5,4% des passagers entament une procédure d’indemnisation.
Et le constat est inquiétant : Si 71% des Français indiquent avoir déjà pris l’avion, deux tiers des voyageurs n’ont pas une connaissance précise des modalités d’indemnisation en cas de retard ou d’annulation de leur vol si la compagnie en est responsable.
Pourtant, selon le règlement européen 261/2004, tout passager victime d’un surbooking ou d’un retard aérien d’au moins 3 heures - sauf circonstances exceptionnelles - peut prétendre à une indemnisation allant jusqu’à 600 euros !
De fait, une écrasante majorité des voyageurs (81%) perçoit les procédures de remboursement comme complexes. Cette situation n’est pas spécifique à la France : en Espagne, seuls 5,4% des passagers entament une procédure d’indemnisation.
2 voyageurs sur 3 ignorent qu’un retard de plus de trois heures imputable à la compagnie peut être indemnisé
Alors que 72% des voyageurs qui prennent l’avion pensent qu’un retard peut être indemnisé, seul un sur trois (34%) sait qu’il peut en bénéficier dès 3 heures de retard.
Pour la majorité, qui achoppe à déterminer le nombre d’heures avant compensation, les réponses concernant les cas d’indemnisation varient entre les extrêmes :
Pour Frank Verschuur, PDG de Gate28, "c’est l’une des causes du très faible nombre de demande de remboursement : seuls 6% des passagers concernés entreprennent une démarche d’indemnisation.
Le règlement 261/2004 n’a pas été accompagné d’une publicité suffisante. Nombreux sont les Français à ne pas bénéficier d’indemnisation par manque d’informations".
Pour la majorité, qui achoppe à déterminer le nombre d’heures avant compensation, les réponses concernant les cas d’indemnisation varient entre les extrêmes :
- 7% - les plus pessimistes - pensent qu’il n’y jamais aucune indemnisation
- 19% uniquement en cas de vol annulé
- 8% en cas de retard d’au moins une journée
- 15% en cas de retard d’au moins 6 heures
- 16% - les trop optimistes - en cas de retard d’au moins 1 heure
Pour Frank Verschuur, PDG de Gate28, "c’est l’une des causes du très faible nombre de demande de remboursement : seuls 6% des passagers concernés entreprennent une démarche d’indemnisation.
Le règlement 261/2004 n’a pas été accompagné d’une publicité suffisante. Nombreux sont les Français à ne pas bénéficier d’indemnisation par manque d’informations".
Seulement 1 voyageur sur 10 connait le montant réel de compensation
Cette étude pointe également la méconnaissance qu’ont les Français de la somme qu’ils peuvent exiger en compensation d’un vol surbooké, annulé ou retardé. Ainsi, 26% pensent qu’un vol retardé ne peut pas être indemnisé.
Seulement 10% des Français sont capables de déterminer le montant maximum d’indemnisation qui est aujourd’hui de 600 € !
Là encore, les réponses divergent fortement : 56% pensent possible de se faire rembourser moins des 600 euros en vigueur, quand 6% vont au-delà de ce seuil et 27% supposent même une absence de limite.
Ces chiffres révèlent le besoin crucial d’informer les Français sur les dispositions législatives en matière d’indemnisations des vols.
Seulement 10% des Français sont capables de déterminer le montant maximum d’indemnisation qui est aujourd’hui de 600 € !
Là encore, les réponses divergent fortement : 56% pensent possible de se faire rembourser moins des 600 euros en vigueur, quand 6% vont au-delà de ce seuil et 27% supposent même une absence de limite.
Ces chiffres révèlent le besoin crucial d’informer les Français sur les dispositions législatives en matière d’indemnisations des vols.
Pour 8 voyageurs sur 10, les démarches d’indemnisation restent complexes
Pour 81% des voyageurs français, les démarches de compensations financières sont complexes.
Pour Frank Verschuur, PDG de Gate28, "même pour les Français qui connaissent leurs droits à l’indemnisation, peu entameront des démarches.
Ils craignent de s’engager dans une procédure longue et incertaine et ne savent pas vraiment où s‘adresser.
On estime aujourd’hui à 680 M€ le montant en France des indemnités non réclamées ! Gate28 pallie ces difficultés en prenant en charge l’ensemble de la procédure."
Pour Frank Verschuur, PDG de Gate28, "même pour les Français qui connaissent leurs droits à l’indemnisation, peu entameront des démarches.
Ils craignent de s’engager dans une procédure longue et incertaine et ne savent pas vraiment où s‘adresser.
On estime aujourd’hui à 680 M€ le montant en France des indemnités non réclamées ! Gate28 pallie ces difficultés en prenant en charge l’ensemble de la procédure."