Décrit par le Washington Post comme « un laser game sous stéroïde », The Void proposera aux joueurs d'enfiler un équipement pour interagir avec un environnement en réalité virtuelle. ©Instagram- The Void
Bienvenue en 2015 dans un monde où le champ des possibles ne cesse de s’agrandir !
Dans un lieu contenant sept pièces de 6 m², il est aujourd'hui possible d'être projeté dans un monde fait de quêtes fantastiques ou de guerres intergalactiques.
Il suffit d'enfiler la combinaison Rapture (un casque de réalité virtuelle, des gants et une veste) pour être immergé dans cette aventure immersive fait de monstres terrifiants à combattre.
Pour vivre cette folle expérience, il faut tout de même aller de l’autre côté de l’Atlantique, aux États-Unis. Et attendre encore quelques mois.
Une entreprise basée dans l'Utah se consacre à la confection de parcs d'attractions entièrement concentrés sur la réalité augmentée, nous raconte le Washington Post.
The Void , le projet du premier "virtual entertainment centers" (parc d'attractions virtuel) devrait voir le jour dans la ville voisine de Salt Lake City.
En quoi cela consiste ? Il s’agit de reprendre le concept basique du "laser game" en introduisant les joueurs, seuls ou en équipe, dans un décor virtuel des plus immersifs.
Les visiteurs se muent en combattants munis tantôt de fusil, conduisant parfois un vaisseau spatial.
Chaque salle peut être métamorphosée afin de s'adapter à l'environnement dans lequel le visiteur sera en immersion.
Et pour rendre l’impression de réalité encore plus forte, le parcours sera agrémenté d’éléments physiques : souffle du vent, température, eau, vibrations, obstacles etc.
La vidéo parle d’elle-même.
Dans un lieu contenant sept pièces de 6 m², il est aujourd'hui possible d'être projeté dans un monde fait de quêtes fantastiques ou de guerres intergalactiques.
Il suffit d'enfiler la combinaison Rapture (un casque de réalité virtuelle, des gants et une veste) pour être immergé dans cette aventure immersive fait de monstres terrifiants à combattre.
Pour vivre cette folle expérience, il faut tout de même aller de l’autre côté de l’Atlantique, aux États-Unis. Et attendre encore quelques mois.
Une entreprise basée dans l'Utah se consacre à la confection de parcs d'attractions entièrement concentrés sur la réalité augmentée, nous raconte le Washington Post.
The Void , le projet du premier "virtual entertainment centers" (parc d'attractions virtuel) devrait voir le jour dans la ville voisine de Salt Lake City.
En quoi cela consiste ? Il s’agit de reprendre le concept basique du "laser game" en introduisant les joueurs, seuls ou en équipe, dans un décor virtuel des plus immersifs.
Les visiteurs se muent en combattants munis tantôt de fusil, conduisant parfois un vaisseau spatial.
Chaque salle peut être métamorphosée afin de s'adapter à l'environnement dans lequel le visiteur sera en immersion.
Et pour rendre l’impression de réalité encore plus forte, le parcours sera agrémenté d’éléments physiques : souffle du vent, température, eau, vibrations, obstacles etc.
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La start-up américaine semble avoir de grandes, très grandes, ambitions.
"Notre concept de parcs d'attractions virtuels sera exploité dans les plus grandes villes d'Amérique du Nord et d'Amérique du Sud, en Asie, en Europe et en Australie", prétend le PDG de The Void, Ken Bretschneider sur son site.
Cet ancien spécialiste de la cybersécurité a investi lui-même 13 millions de dollars afin de donner vie à son projet et de payer son équipe d'une trentaine de personnes l'accompagnant dans l'aventure.
Auprès du Salt Lake Tribune, il assure que les scénarios proposés aux joueurs s'inspirent des "romans et des films de sciences fictions".
Le prix du billet d'entrée n'a pas encore été révélé, mais Ken Bretschneider assure au Washington Post qu'il devrait être "abordable ".
The Void suit l’air du temps, puisque c’est à partir de cette année que seront commercialisés à grande échelle l'Oculus Rift, ainsi que le projet Morpheus de Sony.
"Notre concept de parcs d'attractions virtuels sera exploité dans les plus grandes villes d'Amérique du Nord et d'Amérique du Sud, en Asie, en Europe et en Australie", prétend le PDG de The Void, Ken Bretschneider sur son site.
Cet ancien spécialiste de la cybersécurité a investi lui-même 13 millions de dollars afin de donner vie à son projet et de payer son équipe d'une trentaine de personnes l'accompagnant dans l'aventure.
Auprès du Salt Lake Tribune, il assure que les scénarios proposés aux joueurs s'inspirent des "romans et des films de sciences fictions".
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