Bénéfice net inchangé pour le premier semestre 2019 de 1,15 milliard d'euros pour Ryanair - Crédit photo : Ryanair
Ryanair va bien et ses actionnaires s'en félicitent.
Malgré, les grèves, les revendications syndicales, la flambée du prix du baril, la crise des Boeing 737 MAX, la low cost affiche une croissance de son chiffre d'affaires de 11% au 1er semestre 2019.
A lire : Ryanair : "le marché européen va devoir se consolider dans les 5 années à venir"
Mieux que l'augmentation des revenus, c'est la stabilité de son bénéficie net à 1,15 milliard d'euros qui démontrent une fois de plus la solidité de la compagnie, un résultat supérieur aux attentes.
Si le revenu par client n'a augmenté que d'un 1%, les ventes ancillaires ont bondi de 16% et les recettes accessoires de 28 %, alors que dans le même temps, la facture du carburant bondissait de 22%.
Portée par ces bons résultats, Ryanair entend étendre son emprise sur le continent européen, avec ses filiales. Ainsi, Buzz (ex-Rayanair Sun) basée en Pologne ira chercher des opportunités de croissance dans d'autres pays du centre de l'UE.
Du côté de Lauda, si l'environnement prix n'est pas bon et "le revenu par passager reste en deçà de sa cible", la compagnie passera d'une flotte de 23 A320 à 38 en 2020.
Malgré, les grèves, les revendications syndicales, la flambée du prix du baril, la crise des Boeing 737 MAX, la low cost affiche une croissance de son chiffre d'affaires de 11% au 1er semestre 2019.
A lire : Ryanair : "le marché européen va devoir se consolider dans les 5 années à venir"
Mieux que l'augmentation des revenus, c'est la stabilité de son bénéficie net à 1,15 milliard d'euros qui démontrent une fois de plus la solidité de la compagnie, un résultat supérieur aux attentes.
Si le revenu par client n'a augmenté que d'un 1%, les ventes ancillaires ont bondi de 16% et les recettes accessoires de 28 %, alors que dans le même temps, la facture du carburant bondissait de 22%.
Portée par ces bons résultats, Ryanair entend étendre son emprise sur le continent européen, avec ses filiales. Ainsi, Buzz (ex-Rayanair Sun) basée en Pologne ira chercher des opportunités de croissance dans d'autres pays du centre de l'UE.
Du côté de Lauda, si l'environnement prix n'est pas bon et "le revenu par passager reste en deçà de sa cible", la compagnie passera d'une flotte de 23 A320 à 38 en 2020.
Des prévisions pour 2020 moins optimistes
Autres articles
-
Incidents en série : mais que se passe-t-il chez Ryanair ?
-
Guerre eDreams ODIGEO vs Ryanair : Un partout, balle au centre !
-
Europe : L'Allemagne doit récupérer des aides versées à Ryanair !
-
Madère : l'image de la destination durablement écornée ?
-
Une panne informatique mondiale affecte le trafic aérien et ferroviaire
"Bien que nous ayons encore des pertes pour l'exercice 20, nous nous attendons à ce que la très forte croissance du trafic, la réduction des coûts et l'amélioration des dépenses accessoires le poussent à atteindre le seuil de rentabilité au cours de l'exercice 2021," explique le communiqué de presse de Ryanair, sur Lauda.
Si le rachat est récent, Air Malta bénéficiera aussi d'un plan de développement, avec une flotte passant de 6 à 10 appareils, et elle "exploitera également la plupart des bases françaises, allemandes et italiennes du Groupe."
Si la dynamique est à la croissance du trafic, celle-ci est temporairement freinée par la crise des B737 Max, Ryanair attend son 1er avion au plus tôt en mars / avril 2020 (sous réserve de l'approbation de l'AESA).
Toutefois, la compagnie tempère. "Nous essayons d'éviter l'optimisme peu fiable de certains concurrents.
Nous prévoyons une croissance de la croissance en soutenant la croissance du chiffre d'affaires en année pleine de 2% à 3%. Nous réduisons donc nos prévisions pour l’année entière à une nouvelle fourchette allant de 800 à 900 millions d’euros de bénéfice net," rapporte le communiqué de presse.
Si le rachat est récent, Air Malta bénéficiera aussi d'un plan de développement, avec une flotte passant de 6 à 10 appareils, et elle "exploitera également la plupart des bases françaises, allemandes et italiennes du Groupe."
Si la dynamique est à la croissance du trafic, celle-ci est temporairement freinée par la crise des B737 Max, Ryanair attend son 1er avion au plus tôt en mars / avril 2020 (sous réserve de l'approbation de l'AESA).
Toutefois, la compagnie tempère. "Nous essayons d'éviter l'optimisme peu fiable de certains concurrents.
Nous prévoyons une croissance de la croissance en soutenant la croissance du chiffre d'affaires en année pleine de 2% à 3%. Nous réduisons donc nos prévisions pour l’année entière à une nouvelle fourchette allant de 800 à 900 millions d’euros de bénéfice net," rapporte le communiqué de presse.