Si certains métiers de l'aéronautique leur sont inaccessibles, les personnes en situation de handicap peuvent prétendre à travailler dans le secteur - Photo DR
Les employeurs ont une obligation d'emploi des personnes disposant du statut de travailleur handicapé ou assimilés.
Il s'agit de personnes victimes d'un accident du travail avec une incapacité permanente au moins égale à 10 %, titulaires d'une pension d'invalidité, pensionnés de guerre et assimilés, titulaires de l'allocation adulte handicapé, titulaire d'une carte d'invalidité), dont le nombre doit représenter au moins 6 % de l'effectif salarié, dès lors que l’entreprise comprend 20 salariés ou plus.
Si tel n'est pas le cas, l'employeur est contraint de verser une contribution financière à l'Agefiph (Association de gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées).
Il en est de même dans le secteur public : les employeurs ne remplissant pas l'obligation d'emploi sont contraints de verser une contribution au FIPHFP (Fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées dans la fonction publique).
Ces embauches permettent non seulement d’utiliser les compétences de personnes, dont le vécu, les expériences, les moments difficiles, ont forgé le caractère et développé la personnalité, les capacités de réflexion, l’attention portée aux autres, etc…. toutes qualités profitables à l’efficience de l’entreprise.
Il s'agit de personnes victimes d'un accident du travail avec une incapacité permanente au moins égale à 10 %, titulaires d'une pension d'invalidité, pensionnés de guerre et assimilés, titulaires de l'allocation adulte handicapé, titulaire d'une carte d'invalidité), dont le nombre doit représenter au moins 6 % de l'effectif salarié, dès lors que l’entreprise comprend 20 salariés ou plus.
Si tel n'est pas le cas, l'employeur est contraint de verser une contribution financière à l'Agefiph (Association de gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées).
Il en est de même dans le secteur public : les employeurs ne remplissant pas l'obligation d'emploi sont contraints de verser une contribution au FIPHFP (Fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées dans la fonction publique).
Ces embauches permettent non seulement d’utiliser les compétences de personnes, dont le vécu, les expériences, les moments difficiles, ont forgé le caractère et développé la personnalité, les capacités de réflexion, l’attention portée aux autres, etc…. toutes qualités profitables à l’efficience de l’entreprise.
Concours ou recrutement par contrat
Certes, certains métiers ne sont pas accessibles, par exemple celui de navigant dans une compagnie aérienne.
En revanche, je citerais l’exemple de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) qui s’est engagée dans une politique volontariste d’intégration des personnes en situation de handicap.
C’est ainsi qu’en janvier 2012, elle a renforcé ses actions en faveur de l’intégration et du maintien dans l’emploi de ces personnes, en signant une convention avec le “Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique” (FIPHFP).
Il est précisé que deux voies d’accès à la fonction publique sont actuellement ouvertes :
- le concours de droit commun, avec les aménagements particuliers en fonction de la nature du handicap ;
- le recrutement par contrat donnant vocation à titularisation.
Après examen du dossier de candidature et entretien de sélection favorable il est possible d’être recruté sous contrat, puis titularisé, à l’issue d’une scolarité réussie.
En 2013, la DGAC recrute trois TSEEAC (Techniciens supérieurs des études et de l'exploitation de l'aviation civile) et un IESSA (Ingénieur électronicien des systèmes de la sécurité aérienne), par cette voie contractuelle.
Le dossier de candidature doit notamment comporter plusieurs pièces (justificatif de l’éligibilité à cette voie de recrutement (reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé) : carte d’invalidité ; lettre de motivation précisant le poste recherché ; CV précisant les parcours d’étude et professionnel ; photocopie du diplôme ou de toute pièce attestant du niveau d’études, BAC, scientifique ou technologique de préférence ou d'un diplôme équivalent).
Il doit être adressé à : sg-coorespondante-handicap-bf@aviation-civile.gouv.fr.
En revanche, je citerais l’exemple de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) qui s’est engagée dans une politique volontariste d’intégration des personnes en situation de handicap.
C’est ainsi qu’en janvier 2012, elle a renforcé ses actions en faveur de l’intégration et du maintien dans l’emploi de ces personnes, en signant une convention avec le “Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique” (FIPHFP).
Il est précisé que deux voies d’accès à la fonction publique sont actuellement ouvertes :
- le concours de droit commun, avec les aménagements particuliers en fonction de la nature du handicap ;
- le recrutement par contrat donnant vocation à titularisation.
Après examen du dossier de candidature et entretien de sélection favorable il est possible d’être recruté sous contrat, puis titularisé, à l’issue d’une scolarité réussie.
En 2013, la DGAC recrute trois TSEEAC (Techniciens supérieurs des études et de l'exploitation de l'aviation civile) et un IESSA (Ingénieur électronicien des systèmes de la sécurité aérienne), par cette voie contractuelle.
Le dossier de candidature doit notamment comporter plusieurs pièces (justificatif de l’éligibilité à cette voie de recrutement (reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé) : carte d’invalidité ; lettre de motivation précisant le poste recherché ; CV précisant les parcours d’étude et professionnel ; photocopie du diplôme ou de toute pièce attestant du niveau d’études, BAC, scientifique ou technologique de préférence ou d'un diplôme équivalent).
Il doit être adressé à : sg-coorespondante-handicap-bf@aviation-civile.gouv.fr.
Recommandation
Pour maximiser les chances de réussite à ce concours, Sup'Admission (6, rue Lakanal 31000 Toulouse - http://www.ipec-cours-prives.com/contact/), assure :
- la préparation TSEEAC annuelle, à temps complet ;
- les stages de préparation TSEEAC, pendant les vacances scolaires.
La formation initiale, qui dure 2 ans, se fait à l’ENAC (École nationale de l’aviation civile) à Toulouse. Les stagiaires bénéficient d'une formation rémunérée, à l'issue de laquelle un emploi est assuré au sein de la fonction publique d'État.
- la préparation TSEEAC annuelle, à temps complet ;
- les stages de préparation TSEEAC, pendant les vacances scolaires.
La formation initiale, qui dure 2 ans, se fait à l’ENAC (École nationale de l’aviation civile) à Toulouse. Les stagiaires bénéficient d'une formation rémunérée, à l'issue de laquelle un emploi est assuré au sein de la fonction publique d'État.