
L'informatique est comme la langue d'Esope... la meilleure et la pire des choses !
Arrivé en provenance de Ho Chi Min par un vol Vietnam Airlines avec correspondance AF sur Marseille, et un bagage enregistré de bout en bout depuis Hanoï, un passager a été refoulé sans avertissement préalable au moment même de l'embarquement.
Raison invoquée : la surcharge de l'appareil et une erreur de calcul (sic) de dernière minute du commandant de bord. Une raison qui justifie évidemment le refus d'embarquement.
Notre passager cherche néanmoins à comprendre le pourquoi du comment. Il est détenteur d'une carte Flying Blue Silver (est donc passager prioritaire) et a été enregistré tout à fait en temps et en heure.
Incapable de fournir une explication plausible
Explications confuses et gênées de la part de la responsable qui reconnaît "l'attitude anti commerciale" mais est incapable de fournir une explication plausible. Notre passager est dûment dédommagé. Mais il aurait préféré, plutôt qu’une indemnisation, mettre un terme à son voyage qui dure depuis quasiment 24h. Il insiste et le responsable d'escale finit par reconnaître qu'il été très probablement été victime dune "erreur de jugement" informatique.
"Avec l'informatisation croissante de nos procédures d'embarquement la machine ne prend pas forcément en compte des critères tels que l'abonnement, le rang d’embarquement, etc. Des critères qui n'auraient sûrement pas échappé à une analyse "humaine".
2 fois l’aller/retour Paris/Marseille en TGV
Et selon lui, cela ne devrait pas s'arranger avec le programme informatisation totale de la Compagnie d'ici 2008. Bref : notre passager "tiré" au sort par le Deux ex machina se pose des questions : d’abord pourquoi privilégier une compagnie qui après lui avoir expliqué qu’il était un « passager prioritaire » refuse de l’embarquer ?
Ensuite, à quoi servent les accords avec les Compagnies partenaires qui ne prennent en compte que des bagages alors que le passager en est exclu ? Enfin, pourquoi prendre un avion pour un vol domestique censé durer 1h10 alors qu’en TGV il aurait pu, avec les 6 h de retard accumulées, faire 2 fois l’aller/retour Paris/Marseille ?
Poser la question c’est y répondre… Cerise sur le gâteau : en débarquant à Marseille, le bagage enregistré de bout en bout depuis Hanoï n’avait pas suivi et n’a été livré à notre passager qu’en fin d’après midi.
Vous avez dit bavure ?
Raison invoquée : la surcharge de l'appareil et une erreur de calcul (sic) de dernière minute du commandant de bord. Une raison qui justifie évidemment le refus d'embarquement.
Notre passager cherche néanmoins à comprendre le pourquoi du comment. Il est détenteur d'une carte Flying Blue Silver (est donc passager prioritaire) et a été enregistré tout à fait en temps et en heure.
Incapable de fournir une explication plausible
Explications confuses et gênées de la part de la responsable qui reconnaît "l'attitude anti commerciale" mais est incapable de fournir une explication plausible. Notre passager est dûment dédommagé. Mais il aurait préféré, plutôt qu’une indemnisation, mettre un terme à son voyage qui dure depuis quasiment 24h. Il insiste et le responsable d'escale finit par reconnaître qu'il été très probablement été victime dune "erreur de jugement" informatique.
"Avec l'informatisation croissante de nos procédures d'embarquement la machine ne prend pas forcément en compte des critères tels que l'abonnement, le rang d’embarquement, etc. Des critères qui n'auraient sûrement pas échappé à une analyse "humaine".
2 fois l’aller/retour Paris/Marseille en TGV
Et selon lui, cela ne devrait pas s'arranger avec le programme informatisation totale de la Compagnie d'ici 2008. Bref : notre passager "tiré" au sort par le Deux ex machina se pose des questions : d’abord pourquoi privilégier une compagnie qui après lui avoir expliqué qu’il était un « passager prioritaire » refuse de l’embarquer ?
Ensuite, à quoi servent les accords avec les Compagnies partenaires qui ne prennent en compte que des bagages alors que le passager en est exclu ? Enfin, pourquoi prendre un avion pour un vol domestique censé durer 1h10 alors qu’en TGV il aurait pu, avec les 6 h de retard accumulées, faire 2 fois l’aller/retour Paris/Marseille ?
Poser la question c’est y répondre… Cerise sur le gâteau : en débarquant à Marseille, le bagage enregistré de bout en bout depuis Hanoï n’avait pas suivi et n’a été livré à notre passager qu’en fin d’après midi.
Vous avez dit bavure ?