"Tout homme qui a du pouvoir a tendance à en abuser disait quelqu’un.
l en va de même pour les organisations de type mafieux, qui se comportent comme des régime despotiques, édictant leurs règles comme bon leur semble, face à des sujets taillables et corvéables à merci.
Le mépris d’IATA pour ses adhérents n’a d’égal que l'indifférence qu’ils lui inspirent.
Depuis des années, par exemple, l’institution refuse obstinément de constituer une caisse de garantie pour indemniser les malheureux passagers laissés sur le tarmac par la défaillance croissante des compagnies.
Mais faire rendre gorge à ce conglomérat moyen-âgeux, n’est pas à la portée de n’importe qui.
Et de d’autant plus que certaines compagnies aériennes membres, sont elles-mêmes propriété des États, ou alors ces derniers y détiennent des participations conséquentes. Autant ferrailler contre des moulins à vent…
Mais rien n’est immuable. “Tout le monde savait que c'était impossible à faire; Puis un jour est venu un homme qui ne le savait pas. Et il l'a fait…”’
L’homme qui a écouté Churchill et sonné la révolte c’est Nicolas Brumelot, patron et co-fondateur de Mister Fly. Il s’est fendu d’une lettre ouverte, véritable brûlot, (LIRE) mettant à plat les incohérences du système et dénonçant l’illégalité et la morgue du comportement d’IATA, qui ne se conforme même pas aux Directives européennes.
l en va de même pour les organisations de type mafieux, qui se comportent comme des régime despotiques, édictant leurs règles comme bon leur semble, face à des sujets taillables et corvéables à merci.
Le mépris d’IATA pour ses adhérents n’a d’égal que l'indifférence qu’ils lui inspirent.
Depuis des années, par exemple, l’institution refuse obstinément de constituer une caisse de garantie pour indemniser les malheureux passagers laissés sur le tarmac par la défaillance croissante des compagnies.
Mais faire rendre gorge à ce conglomérat moyen-âgeux, n’est pas à la portée de n’importe qui.
Et de d’autant plus que certaines compagnies aériennes membres, sont elles-mêmes propriété des États, ou alors ces derniers y détiennent des participations conséquentes. Autant ferrailler contre des moulins à vent…
Mais rien n’est immuable. “Tout le monde savait que c'était impossible à faire; Puis un jour est venu un homme qui ne le savait pas. Et il l'a fait…”’
L’homme qui a écouté Churchill et sonné la révolte c’est Nicolas Brumelot, patron et co-fondateur de Mister Fly. Il s’est fendu d’une lettre ouverte, véritable brûlot, (LIRE) mettant à plat les incohérences du système et dénonçant l’illégalité et la morgue du comportement d’IATA, qui ne se conforme même pas aux Directives européennes.
La Distribution française, prise à la gorge, en avait rudement besoin
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C’est un acte courageux. Presque une action de bravoure, puisque le business model de Mister Fly repose entièrement sur la distribution de billetterie aérienne. Et qu’un retour de manivelle est toujours possible...
Mais la Distribution française, prise à la gorge, en avait rudement besoin.
Les Entreprises du Voyage ont suivi et se sont engouffrées dans la brèche.(LIRE) Le “sacrifice” n’aura pas été vain.
Jean-Pierre Mas, président de EdV, n’en fait pas mystère : il n’a jamais porté l’Association internationale dans son coeur.
Ce “machin”, depuis des années, les agences de voyages en subissent le joug. Iata c’est un peu comme une drogue : on la déteste parce qu’elle vous asservit mais on ne peut s’en passer. Ou très difficilement.
Compte tenu du contexte économique international et de la crise sanitaire qui fait rage, il y a peu de chances que la requête aboutisse. D’ailleurs, Alexandre de Juniac, patron d’IATA, n’a même pas daigné répondre au drôle qui lui a aboyé aux chausses. (Sic) !
Il faut dire que beaucoup de ces compagnies seront nationalisées demain ou ne seront plus. Autant dire que les Distributeurs sont aujourd’hui le cadet de leurs soucis…
Mais la Distribution française, prise à la gorge, en avait rudement besoin.
Les Entreprises du Voyage ont suivi et se sont engouffrées dans la brèche.(LIRE) Le “sacrifice” n’aura pas été vain.
Jean-Pierre Mas, président de EdV, n’en fait pas mystère : il n’a jamais porté l’Association internationale dans son coeur.
Ce “machin”, depuis des années, les agences de voyages en subissent le joug. Iata c’est un peu comme une drogue : on la déteste parce qu’elle vous asservit mais on ne peut s’en passer. Ou très difficilement.
Compte tenu du contexte économique international et de la crise sanitaire qui fait rage, il y a peu de chances que la requête aboutisse. D’ailleurs, Alexandre de Juniac, patron d’IATA, n’a même pas daigné répondre au drôle qui lui a aboyé aux chausses. (Sic) !
Il faut dire que beaucoup de ces compagnies seront nationalisées demain ou ne seront plus. Autant dire que les Distributeurs sont aujourd’hui le cadet de leurs soucis…
Mais la démarche n’est pas inutile, loin de là. Elle porte en elle le même germe que celle de la Taxe unilatérale française contre les GAFAM qui, à défaut de rapporter de l’argent, avait mis le feu aux poudres.
Elle n’aura pas forcément gain de cause mais elle pourrait faire bouger les lignes...
L’autre élément qui plaide en faveur de l’initiative c’est la crise qui va fragiliser toute l’industrie du tourisme et rebattre les cartes du transport aérien.
Or, n'oublions pas, pour ne citer que la France, que les agences de voyages représentent une fraction importante des ventes du BSP. Et que ça reste un atout dans leur manche.
A bon entendeur...
Elle n’aura pas forcément gain de cause mais elle pourrait faire bouger les lignes...
L’autre élément qui plaide en faveur de l’initiative c’est la crise qui va fragiliser toute l’industrie du tourisme et rebattre les cartes du transport aérien.
Or, n'oublions pas, pour ne citer que la France, que les agences de voyages représentent une fraction importante des ventes du BSP. Et que ça reste un atout dans leur manche.
A bon entendeur...
Publié par Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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