En Charente, le Festival de la bande dessinée d'Angoulême est, chaque année, une aubaine pour les hôteliers.
Dans un rapport publié en juillet 2015 et relayé par Sud Ouest, l'Insee estime que le Festival International de la Bande Dessiné (FIBD) permet aux établissements du département d'enregistrer des taux d'occupation 3 fois supérieurs à ceux habituellement constatés.
Le jeudi, ils sont à 94 % contre 54 % habituellement, 93 % au lieu de 20 % le vendredi et 90 contre 20 % pour le samedi, "soit près de cinq fois plus qu'un samedi habituel de janvier", précise l'étude.
Le dernier jour du rendez-vous, le dimanche, est moins bénéfique pour les hôtels. Leur taux d'occupation n'y progresse que de 18 points, "soit tout de même plus du double par rapport aux dimanches les plus proches", note néanmoins l'Insee.
Sur l'ensemble de la durée du FIBD, le taux d'occupation moyen atteint 80 % à Angoulême et 73 % sur l'air urbaine (hors Angoulême). Pour le reste de la Charente, il se fixe à 55 %. Ce qui donne un taux moyen de 71 % pendant le festival pour l'ensemble du département contre 33 % pour les mêmes jours de la semaine suivante.
L'Insee évalue à 2 300 le nombre de nuitées vendues à Angoulême pendant le rendez-vous, environ 5 000 sur l'air urbaine et jusqu'à 8 000 sur la Charente. Cela représente, au total, environ un quart de l'ensemble des nuitées de janvier.
Dans un rapport publié en juillet 2015 et relayé par Sud Ouest, l'Insee estime que le Festival International de la Bande Dessiné (FIBD) permet aux établissements du département d'enregistrer des taux d'occupation 3 fois supérieurs à ceux habituellement constatés.
Le jeudi, ils sont à 94 % contre 54 % habituellement, 93 % au lieu de 20 % le vendredi et 90 contre 20 % pour le samedi, "soit près de cinq fois plus qu'un samedi habituel de janvier", précise l'étude.
Le dernier jour du rendez-vous, le dimanche, est moins bénéfique pour les hôtels. Leur taux d'occupation n'y progresse que de 18 points, "soit tout de même plus du double par rapport aux dimanches les plus proches", note néanmoins l'Insee.
Sur l'ensemble de la durée du FIBD, le taux d'occupation moyen atteint 80 % à Angoulême et 73 % sur l'air urbaine (hors Angoulême). Pour le reste de la Charente, il se fixe à 55 %. Ce qui donne un taux moyen de 71 % pendant le festival pour l'ensemble du département contre 33 % pour les mêmes jours de la semaine suivante.
L'Insee évalue à 2 300 le nombre de nuitées vendues à Angoulême pendant le rendez-vous, environ 5 000 sur l'air urbaine et jusqu'à 8 000 sur la Charente. Cela représente, au total, environ un quart de l'ensemble des nuitées de janvier.
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