A la dernière édition en 2014, 8 millions d'euros de contrats ont été signés. (c)Digilinx
Hervé Bloch, dirigeant de Digilinx, applique la recette du Club Med.
Les ingrédients sont connus, encore faut-il savoir doser.
« Les BigBoss, ce sont trois choses : discuter avec ses pairs, faire son marché parmi les 48 sponsors, et déconnecter. »
Pour le GO en chef qui parle de ROI comme de ROE (retour sur émotion), le pari semble à nouveau réussi.
L'événement doit également son succès au partenariat créé avec Ôvoyages qui a orchestré le séjour dans l'hôtel Aldemar Olympian Village (voir encadré).
« Je savais que c’était un moment de networking, dans un ambiance détendue et un cadre idyllique. Mais je ne m’attendais pas à ça. Le contexte permet d’échanger plus facilement. », résume Victor Vermersch, directeur France de Trivago.
Certains big boss sont de vrais habitués. Mikael Quilfen, general manager pour l’Europe de l’Ouest Hotelscombined, répond présent pour la troisième fois : « On retrouve des confrères du tourisme en ligne, on échange sur des problématiques, on voit des prestataires avec qui on travaille déjà, en découvre d’autres.
C’est rare de retrouver trois comparateurs de voyage à un même événement (ndlr: Easyvoyage, Trivago et HotelsCombined). »
Les ingrédients sont connus, encore faut-il savoir doser.
« Les BigBoss, ce sont trois choses : discuter avec ses pairs, faire son marché parmi les 48 sponsors, et déconnecter. »
Pour le GO en chef qui parle de ROI comme de ROE (retour sur émotion), le pari semble à nouveau réussi.
L'événement doit également son succès au partenariat créé avec Ôvoyages qui a orchestré le séjour dans l'hôtel Aldemar Olympian Village (voir encadré).
« Je savais que c’était un moment de networking, dans un ambiance détendue et un cadre idyllique. Mais je ne m’attendais pas à ça. Le contexte permet d’échanger plus facilement. », résume Victor Vermersch, directeur France de Trivago.
Certains big boss sont de vrais habitués. Mikael Quilfen, general manager pour l’Europe de l’Ouest Hotelscombined, répond présent pour la troisième fois : « On retrouve des confrères du tourisme en ligne, on échange sur des problématiques, on voit des prestataires avec qui on travaille déjà, en découvre d’autres.
C’est rare de retrouver trois comparateurs de voyage à un même événement (ndlr: Easyvoyage, Trivago et HotelsCombined). »
Une belle visibilité pour Ametix
La session de deux heures de dating a enregistré plus de 1700 rendez-vous entre dirigeants e-commerce et une sélection de 48 sponsors. (c)Digilinx
Pour les BigBoss dating, Hervé Bloch a retenu une autre recette, celle qu'il a connu lorsqu’il animait des speed datings amoureux.
Dans la salle de conférence de l'hôtel, la session de deux heures a enregistré plus de 1700 rendez-vous entre dirigeants e-commerce et une sélection de prestataires, faite en fonction des thématiques du moment (acquisition, fidélisation clients, big data, CRM, paiement en ligne, etc).
Autre moyen pour favoriser la rencontre ciblée, les BigBoss Idols ont ensuite entamé la soirée. Pour le concours, chaque sponsor avait préparé une vidéo présentant sa société.
La société Ametix, spécialiste du recrutement de profils informatiques et e-marketing, a remporté cette 4e édition, séduisant les 180 big boss grâce à un clip de rap, avec Doc Gyneco en guest star.
Elle avait déjà remporté la précédente édition de cette compétition lors "des BigBoss font du ski" à La Plagne.
REC, une régie spécialisée dans l’e-commerce, et Kwanko, spécialiste de l’affiliation ont aussi été récompensés.
Le challenge de la prochaine édition sera de réunir autant de big boss.
Et à la question de savoir si ce format d’événement pourrait se développer en franchise ?
Hervé Bloch n’en a pas l’envie. « Je réfléchis plutôt à l’international », laisse-t-il entendre.
Dans la salle de conférence de l'hôtel, la session de deux heures a enregistré plus de 1700 rendez-vous entre dirigeants e-commerce et une sélection de prestataires, faite en fonction des thématiques du moment (acquisition, fidélisation clients, big data, CRM, paiement en ligne, etc).
Autre moyen pour favoriser la rencontre ciblée, les BigBoss Idols ont ensuite entamé la soirée. Pour le concours, chaque sponsor avait préparé une vidéo présentant sa société.
La société Ametix, spécialiste du recrutement de profils informatiques et e-marketing, a remporté cette 4e édition, séduisant les 180 big boss grâce à un clip de rap, avec Doc Gyneco en guest star.
Elle avait déjà remporté la précédente édition de cette compétition lors "des BigBoss font du ski" à La Plagne.
REC, une régie spécialisée dans l’e-commerce, et Kwanko, spécialiste de l’affiliation ont aussi été récompensés.
Le challenge de la prochaine édition sera de réunir autant de big boss.
Et à la question de savoir si ce format d’événement pourrait se développer en franchise ?
Hervé Bloch n’en a pas l’envie. « Je réfléchis plutôt à l’international », laisse-t-il entendre.
Big Boss Summer Edition, organisée par Ôvoyages
Ali Benslimane, directeur des ventes réseaux d'Ôvoyages
Ôvoyages est le partenaire des BigBoss. L’occasion de faire un point avec Ali Benslimane, directeur des ventes réseaux.
« Concernant cet été, les ventes débutent bien. Nous avons beaucoup de stock, 70 000 sièges. Notre plan de vol est à la hauteur de nos ambitions.
Le partenariat avec les BigBoss est une opportunité pour faire du branding sur la marque, d’avoir une belle visibilité. »
En 2014, le chiffre d’affaires d’ Ôvoyages s’élève à 131 millions, soit 18% d’augmentation par rapport à 2013.
130 000 pax ont été vendus sur les Canaries, premier TO sur la destination.
Ôvoyages désire occuper la même place en Grèce et sur ses îles. 45 000 clients leur ont fait confiance l’année dernière. L’objectif est fixé à 60 000 en 2015.
« Nous sommes les seuls à avoir des vols directs sur Kalamata et Aragos. »
Dans leur production, la Sardaigne fait son entrée avec quatre hôtels ainsi que Corfu, l'île de Samos, Almeria en Andalousie...
Les ÔClubs continuent aussi de se developer.
D’ici 2016, cinq de plus devraient ouvrir.
Le principe? “Tout est proposé, rien n’est imposé”. Excursion offerte, cours de danse locale ou de langue, animations…
« Concernant cet été, les ventes débutent bien. Nous avons beaucoup de stock, 70 000 sièges. Notre plan de vol est à la hauteur de nos ambitions.
Le partenariat avec les BigBoss est une opportunité pour faire du branding sur la marque, d’avoir une belle visibilité. »
En 2014, le chiffre d’affaires d’ Ôvoyages s’élève à 131 millions, soit 18% d’augmentation par rapport à 2013.
130 000 pax ont été vendus sur les Canaries, premier TO sur la destination.
Ôvoyages désire occuper la même place en Grèce et sur ses îles. 45 000 clients leur ont fait confiance l’année dernière. L’objectif est fixé à 60 000 en 2015.
« Nous sommes les seuls à avoir des vols directs sur Kalamata et Aragos. »
Dans leur production, la Sardaigne fait son entrée avec quatre hôtels ainsi que Corfu, l'île de Samos, Almeria en Andalousie...
Les ÔClubs continuent aussi de se developer.
D’ici 2016, cinq de plus devraient ouvrir.
Le principe? “Tout est proposé, rien n’est imposé”. Excursion offerte, cours de danse locale ou de langue, animations…