Au-delà de la mise en contact, Biilink est une boîte à outils pour les start-ups : site de recrutement, de communication ou encore d'évaluation.
Biilink, plateforme tout à fait novatrice, veut fédérer les start-up du monde.
Le portail a d'abord été destiné à l'entrepreneuriat féminin, baptisé Jador, et a recensé 30 000 membres en une année.
L’ambition de Stéphanie Wismer Cassin, créatrice du site, s'est ensuite élargie.
Témoin des problématiques des jeunes entreprises, elle a voulu aller plus loin en proposant une mise en réseau à l'échelle internationale : le start-ups peuvent se rencontrer, se faire connaître grâce à la publication de contenu.
Le portail made in France s’apparente quelque peu à un réseau social pour start-ups : messagerie, notifications, affichage de photos et de vidéos, géolocalisation... Autant d’outils sont mis à disposition.
Elles ont aussi la possibilité de s'évaluer mutuellement, et surtout être connectées avec l'ensemble de l'écosystème.
En effet, pour les investisseurs, le site est une réelle vitrine qui évite aussi « l'enclavement local des acteurs ».
Et ce n'est tout. Celles qui auraient besoin des conseils d'un coach, de l'expertise d'un avocat, de compétences très spécifiques, pourront passer une annonce.
Biilink accueille aussi des prestataires de services qui puissent aider les start-ups.
Actuellement disponible en français et en anglais, Biilink veut se développer à l'international et espère toucher entre 50 000 et 60 000 start-ups en une année.
Le portail a d'abord été destiné à l'entrepreneuriat féminin, baptisé Jador, et a recensé 30 000 membres en une année.
L’ambition de Stéphanie Wismer Cassin, créatrice du site, s'est ensuite élargie.
Témoin des problématiques des jeunes entreprises, elle a voulu aller plus loin en proposant une mise en réseau à l'échelle internationale : le start-ups peuvent se rencontrer, se faire connaître grâce à la publication de contenu.
Le portail made in France s’apparente quelque peu à un réseau social pour start-ups : messagerie, notifications, affichage de photos et de vidéos, géolocalisation... Autant d’outils sont mis à disposition.
Elles ont aussi la possibilité de s'évaluer mutuellement, et surtout être connectées avec l'ensemble de l'écosystème.
En effet, pour les investisseurs, le site est une réelle vitrine qui évite aussi « l'enclavement local des acteurs ».
Et ce n'est tout. Celles qui auraient besoin des conseils d'un coach, de l'expertise d'un avocat, de compétences très spécifiques, pourront passer une annonce.
Biilink accueille aussi des prestataires de services qui puissent aider les start-ups.
Actuellement disponible en français et en anglais, Biilink veut se développer à l'international et espère toucher entre 50 000 et 60 000 start-ups en une année.
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