Charte croisière durable en Méditerranée : Marie-Caroline Laurent, directrice générale de CLIA Europe, lors de son intervention dans le cadre du CLIA European Summit à la Maison de l’Océan à Paris. ©DR
L’Association internationale des professionnels de la croisière, CLIA, a organisé à l’occasion du salon professionnel pour une industrie maritime innovante, Euromaritime, une présentation du bilan de la Charte pour une croisière durable en Méditerranée.
Cette charte, signée en octobre 2022 entre l’État français et les principaux acteurs de la croisière, vise à réduire le bilan environnemental du secteur tout en promouvant les solutions technologiques innovantes vectrices de développement durable.
Première étape de l’application de la Charte, la Direction Interrégionale de la Mer en Méditerranée (DIRM) a conduit en 2023 des audits visant à évaluer les performances des compagnies de croisières sur les 13 engagements contenus par le texte.
Cette charte, signée en octobre 2022 entre l’État français et les principaux acteurs de la croisière, vise à réduire le bilan environnemental du secteur tout en promouvant les solutions technologiques innovantes vectrices de développement durable.
Première étape de l’application de la Charte, la Direction Interrégionale de la Mer en Méditerranée (DIRM) a conduit en 2023 des audits visant à évaluer les performances des compagnies de croisières sur les 13 engagements contenus par le texte.
Charte croisière durable en Méditerranée : certificat de conformité aux engagements
A l’issue de ce travail, bl’ensemble des 12 navires [CLIA audités se sont vu remettre un certificat de conformité aux engagements de la Charte. ]b
Des résultats qui « viennent saluer les nombreux efforts faits par les acteurs de la croisière pour améliorer en permanence leurs pratiques environnementales en matière d’émissions mais aussi de traitement de leurs déchets et permettent ainsi d’accélérer la transition énergétique du secteur en vue d’atteindre ses objectifs de neutralité carbone ».
Marie-Caroline Laurent, directrice générale de CLIA Europe commente : « Ces efforts pour réduire notre impact sur l’environnement doivent se poursuivre et pouvoir compter sur un partenariat toujours plus étroit avec les autorités publiques et portuaires. Notre détermination est totale pour que la croisière constitue une manière toujours plus durable de découvrir le monde. »
A lire aussi : A Marseille, la communauté maritime s'engage à réduire son empreinte environnementale.
Des résultats qui « viennent saluer les nombreux efforts faits par les acteurs de la croisière pour améliorer en permanence leurs pratiques environnementales en matière d’émissions mais aussi de traitement de leurs déchets et permettent ainsi d’accélérer la transition énergétique du secteur en vue d’atteindre ses objectifs de neutralité carbone ».
Marie-Caroline Laurent, directrice générale de CLIA Europe commente : « Ces efforts pour réduire notre impact sur l’environnement doivent se poursuivre et pouvoir compter sur un partenariat toujours plus étroit avec les autorités publiques et portuaires. Notre détermination est totale pour que la croisière constitue une manière toujours plus durable de découvrir le monde. »
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