Bâti pour Henri Hurault, fils du chancelier d’Henri III et d’Henri IV, le château de Cheverny, achevé en 1634, n’a subi aucune modification.
Parfaitement entretenu par les propriétaires, le marquis et la marquise de Vibraye, l’édifice conserve intacte sa décoration intérieure : tapisseries, portraits de famille, décors peints, mobilier…
Et c’est en 2013 que 100 000 bulbes ont été plantés dans le parc. Depuis, les tulipes fleurissent trois des jardins du château.
LIRE AUSSI : Tourisme : que faire, voir, visiter dans l’Ouest de la France ?
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Une véritable œuvre d’art naturelle
Cette année, un demi-million de tulipes forme deux gigantesques bandeaux dans les jardins de Cheverny - DR : J.-P.C.
"Au fil des années, souligne Constance de Vibraye, nous avons agrandi le ruban de tulipes. Et nous devions marquer ce dixième anniversaire de manière spectaculaire.
Cette année, un demi-million de tulipes forme deux gigantesques bandeaux. Cette déclinaison de fleurs rouges, jaunes, orangées, mauves constitue une véritable œuvre d’art naturelle, qui se termine dans la pièce d’eau du parc du château".
Chacun des bandeaux mesure 250 mètres de long et 12 mètres de large.
Les 500 000 bulbes de la variété Triumph (origine néerlandaise) ont été plantés à la main à l’automne par les 8 jardiniers du château, aidés d’une bonne dizaine d’intérimaires.
Un travail énorme dirigé par Sami Bouda, jardinier en chef. Une véritable œuvre d’art, en quelque sorte un "Keukenhof à la française".
LIRE AUSSI : Blois-Chambord : les Pass' Châteaux entièrement dématérialisés
Cette année, un demi-million de tulipes forme deux gigantesques bandeaux. Cette déclinaison de fleurs rouges, jaunes, orangées, mauves constitue une véritable œuvre d’art naturelle, qui se termine dans la pièce d’eau du parc du château".
Chacun des bandeaux mesure 250 mètres de long et 12 mètres de large.
Les 500 000 bulbes de la variété Triumph (origine néerlandaise) ont été plantés à la main à l’automne par les 8 jardiniers du château, aidés d’une bonne dizaine d’intérimaires.
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En visitant Cheverny avec Tintin
Disparu en mars 1983, il y a 40 ans, Hergé s’est délibérément inspiré du château de Cheverny pour en faire Moulinsart, la demeure du capitaine Haddock qui, aujourd’hui, abrite une exposition permanente "Les secrets de Moulinsart".
Les "tintinophiles" reconnaissent immédiatement en Cheverny la résidence du capitaine Haddock, marin au long cours, complice de Tintin et grand amateur de whisky.
Hergé, le père de Tintin, n’a jamais posé les pieds à Cheverny. Mais, c’est bien connu, le maitre travaille sur documentation.
Il s’est, donc, inspiré du château et de sa plaquette d’info de l’époque pour dessiner Moulinsart, un château que le capitaine a hérité d’un illustre ancêtre, le chevalier de Hadoque, commandant de la Licorne, bâtiment de la marine royale.
Moulinsart, c’est Cheverny raccourci de ses deux ailes. A l’époque, cinq pièces sont accessibles aux visiteurs.
On les retrouve toutes dans les albums : le salon, l’orangerie métamorphosée en laboratoire pour Tournesol, le vaste escalier qui porte la trace de la réparation d’une des marches comme dans Les bijoux de la Castafiore.
Depuis 2001, une exposition permanente de 700 m2, Les secrets de Moulinsart, a trouvé place dans l'une des dépendances du château.
On pousse la porte et on plonge dans la BD. On se balade avec les albums liés à Moulinsart (donc Cheverny) comme Le secret de la Licorne, Le trésor de Rackham le Rouge, Les bijoux de la Castafiore…
Au-delà de la bande dessinée, l’expo nous fait pénétrer dans la chambre de Tintin avec son dressing exposant ses costumes et déguisements.
La visite se termine quand Tintin, prisonnier dans les caves, s’évade en brisant le mur avec une poutre. Il tombe alors sur la crypte et les objets volés par les frères Loiseau (Le secret de la Licorne).
Cette exposition attire environ 30% des visiteurs en quête de souvenir de jeunesse. Une fraîcheur qui va de 7 à 77 ans. A en croire Hergé !
Les "tintinophiles" reconnaissent immédiatement en Cheverny la résidence du capitaine Haddock, marin au long cours, complice de Tintin et grand amateur de whisky.
Hergé, le père de Tintin, n’a jamais posé les pieds à Cheverny. Mais, c’est bien connu, le maitre travaille sur documentation.
Il s’est, donc, inspiré du château et de sa plaquette d’info de l’époque pour dessiner Moulinsart, un château que le capitaine a hérité d’un illustre ancêtre, le chevalier de Hadoque, commandant de la Licorne, bâtiment de la marine royale.
Moulinsart, c’est Cheverny raccourci de ses deux ailes. A l’époque, cinq pièces sont accessibles aux visiteurs.
On les retrouve toutes dans les albums : le salon, l’orangerie métamorphosée en laboratoire pour Tournesol, le vaste escalier qui porte la trace de la réparation d’une des marches comme dans Les bijoux de la Castafiore.
Depuis 2001, une exposition permanente de 700 m2, Les secrets de Moulinsart, a trouvé place dans l'une des dépendances du château.
On pousse la porte et on plonge dans la BD. On se balade avec les albums liés à Moulinsart (donc Cheverny) comme Le secret de la Licorne, Le trésor de Rackham le Rouge, Les bijoux de la Castafiore…
Au-delà de la bande dessinée, l’expo nous fait pénétrer dans la chambre de Tintin avec son dressing exposant ses costumes et déguisements.
La visite se termine quand Tintin, prisonnier dans les caves, s’évade en brisant le mur avec une poutre. Il tombe alors sur la crypte et les objets volés par les frères Loiseau (Le secret de la Licorne).
Cette exposition attire environ 30% des visiteurs en quête de souvenir de jeunesse. Une fraîcheur qui va de 7 à 77 ans. A en croire Hergé !
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