L’arrêt de la relation contractuelle avec les agents de voyages pour faire baisser les prix de revient en supprimant les commissions s'est évéré un mécanisme dévastateur /ph. DR - ADP
Cela s’est traduit d’abord par la multiplication des tarifs plus ou moins « bidons » dans le cadre d’une politique dite de « yield management ».
Au lieu de mettre des prix sur le marché liés à un produit ou un service, ce système est supposé maximiser la recette non pas individuelle mais sur l’intégralité d’un vol.
C’est le syndrome du fauteuil vide.
Si la compagnie arrive à le vendre même à un prix très bradé, cela constitue une recette marginale qui devient vite nécessaire à la survie de l’entreprise.
Reste à faire en sorte qu’il n’y ait pas une dérive de la clientèle vers ces tarifs un peu particuliers. La conséquence est tout simplement désastreuse.
Au lieu de mettre des prix sur le marché liés à un produit ou un service, ce système est supposé maximiser la recette non pas individuelle mais sur l’intégralité d’un vol.
C’est le syndrome du fauteuil vide.
Si la compagnie arrive à le vendre même à un prix très bradé, cela constitue une recette marginale qui devient vite nécessaire à la survie de l’entreprise.
Reste à faire en sorte qu’il n’y ait pas une dérive de la clientèle vers ces tarifs un peu particuliers. La conséquence est tout simplement désastreuse.
Sommaire
Page 2 - Le transport aérien est commercialisé de manière artificielle
Page 3 - L'arrêt de la relation contractuelle avec les agents de voyages
Page 4 - Agence : le volume de transactions est resté aux alentours de 70%
Page 5 - Les agents de voyages ont tout intérêt à vendre des « low costs »
Page 3 - L'arrêt de la relation contractuelle avec les agents de voyages
Page 4 - Agence : le volume de transactions est resté aux alentours de 70%
Page 5 - Les agents de voyages ont tout intérêt à vendre des « low costs »