Les prestations à bord sont un anti-stress certain
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Les habitués ne s’y laissent plus prendre mais que dire des voyageurs occasionnels ?
Ainsi si vous faites disons un Paris – Rome avec un départ prévu à 13 heures, vous arriverez à l’aéroport vers 11 heures. Si la prestation à bord est inexistante, ce qu’elle a tendance à devenir, vous ne pourrez déjeuner qu’arrivé à destination c'est-à-dire vers 15h30.
Autrement dit vous aurez sauté votre repas ce qui n’est utile que pour les personnes qui suivent un régime.
Ensuite les prestations sont un anti-stress certain. La moitié des passagers ont peur en avion, qu’ils l’avouent ou non. Le moment du repas est un excellent dérivatif à leur angoisse. Pourquoi dès lors les en priver ? Il y a plusieurs façons de régler cette question.
Le plus simple, si la compagnie tient essentiellement à faire des économies sur un plateau repas qui ne doit pas revenir à plus de 5 € en classe économique pour un court courrier, consiste à utiliser la méthode des compagnies « low costs » : proposer à bord des prestations payantes.
Celles-ci sont d’ailleurs de plutôt bonne qualité, ce qui s’explique aisément par la nécessité de les vendre. Seulement cette pratique se heurte aux exigences des syndicats du personnel navigant des grandes compagnies qui s’opposent à la « dégradation » de leur métier.
Encaisser de l’argent pour vendre des articles en duty free sur les longs courriers, certes, et c’est d’un bon rapport, mais se transformer en vendeur de sandwich, vous n’y pensez pas.
Ainsi si vous faites disons un Paris – Rome avec un départ prévu à 13 heures, vous arriverez à l’aéroport vers 11 heures. Si la prestation à bord est inexistante, ce qu’elle a tendance à devenir, vous ne pourrez déjeuner qu’arrivé à destination c'est-à-dire vers 15h30.
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Le plus simple, si la compagnie tient essentiellement à faire des économies sur un plateau repas qui ne doit pas revenir à plus de 5 € en classe économique pour un court courrier, consiste à utiliser la méthode des compagnies « low costs » : proposer à bord des prestations payantes.
Celles-ci sont d’ailleurs de plutôt bonne qualité, ce qui s’explique aisément par la nécessité de les vendre. Seulement cette pratique se heurte aux exigences des syndicats du personnel navigant des grandes compagnies qui s’opposent à la « dégradation » de leur métier.
Encaisser de l’argent pour vendre des articles en duty free sur les longs courriers, certes, et c’est d’un bon rapport, mais se transformer en vendeur de sandwich, vous n’y pensez pas.