Commençons ce meilleur du pire des compagnies aériennes du mois de septembre 2018 par un « petit » oubli de la part des navigants Jet Airways.
Lors d’un vol reliant Bombay à Jaipur, le 20 septembre 2018, ces derniers ont tout simplement oublier d’activer la pressurisation de la cabine. Une trentaine de passagers de l’avion ont ainsi commencé a saigner du nez et des oreilles, et les pilotes ont été forcés de faire demi-tour, après seulement trois quarts d’heure de vol.
« Situation de panique due à un problème technique sur le @jetairways 9w 0697 allant de Bombay à Jaipur. Le vol retourne à Bombay après 45 minutes. Tous les passagers sont en sécurité dont moi », explique un tweet d’un passager, Darshak Hathi.
Après avoir été inspectés par des médecins à leur retour sur la terre ferme, les passagers se sont tous sortis indemnes de cet incident impressionnant. Dans un communiqué, un porte parole de Jet Airways, première compagnie privée indienne, explique que « l’équipage du vol a été sorti des tableaux de service en attendant l’enquête ».
En janvier 2018, la même compagnie avait déjà dû suspendre deux de ses pilotes après qu’ils aient abandonné leur cockpit en plein vol lors d’une dispute.
Lors d’un vol reliant Bombay à Jaipur, le 20 septembre 2018, ces derniers ont tout simplement oublier d’activer la pressurisation de la cabine. Une trentaine de passagers de l’avion ont ainsi commencé a saigner du nez et des oreilles, et les pilotes ont été forcés de faire demi-tour, après seulement trois quarts d’heure de vol.
« Situation de panique due à un problème technique sur le @jetairways 9w 0697 allant de Bombay à Jaipur. Le vol retourne à Bombay après 45 minutes. Tous les passagers sont en sécurité dont moi », explique un tweet d’un passager, Darshak Hathi.
Panic situation due to technical fault in @jetairways 9W 0697 going from Mumbai to Jaipur. Flt return back to Mumbai after 45 mts. All passengers are safe including me. pic.twitter.com/lnOaFbcaps
— Darshak Hathi (@DarshakHathi) 20 septembre 2018
Après avoir été inspectés par des médecins à leur retour sur la terre ferme, les passagers se sont tous sortis indemnes de cet incident impressionnant. Dans un communiqué, un porte parole de Jet Airways, première compagnie privée indienne, explique que « l’équipage du vol a été sorti des tableaux de service en attendant l’enquête ».
En janvier 2018, la même compagnie avait déjà dû suspendre deux de ses pilotes après qu’ils aient abandonné leur cockpit en plein vol lors d’une dispute.
Fail orthographique
Un seul F vous manque et tout est dépeuplé. C’est ce qu’a appris à ses dépends Cathay Pacific, la grande compagnie aérienne hongkongaise après une erreur sur la peinture de l’un de ses nouveaux avions.
Sur l’un de ses Boeing 777-367, qui était retourné se faire une beauté aux ateliers, les techniciens en charge de la peinture du nom de la compagnie ont commis une petite erreur d’orthographe, et c’est bien « CATHAY PACIIC » que les utilisateurs de l’aéroport d’Hong-Kong ont pu lire sur les flancs de l'appareil.
Une situation que la compagnie de Hong-Kong a préféré prendre du bon côté. « Oups ! Cette nouvelle livrée ne durera pas longtemps ! Elle retourne directement au magasin ! », a posté ironiquement la compagnie sur ses réseaux sociaux.
Sur l’un de ses Boeing 777-367, qui était retourné se faire une beauté aux ateliers, les techniciens en charge de la peinture du nom de la compagnie ont commis une petite erreur d’orthographe, et c’est bien « CATHAY PACIIC » que les utilisateurs de l’aéroport d’Hong-Kong ont pu lire sur les flancs de l'appareil.
Oops this special livery won’t last long! She’s going back to the shop!
— Cathay Pacific (@cathaypacific) 19 septembre 2018
(Source: HKADB) pic.twitter.com/20SRQpKXET
Une situation que la compagnie de Hong-Kong a préféré prendre du bon côté. « Oups ! Cette nouvelle livrée ne durera pas longtemps ! Elle retourne directement au magasin ! », a posté ironiquement la compagnie sur ses réseaux sociaux.
Au fond du lagon
Dans un registre cette fois plus sérieux, la compagnie micronésienne Air Nigini a aussi fait parler d’elle en cette fin septembre 2018. La raison : l’un de ses B737, en provenance de Papouasie-Nouvelle-Guinée, a raté son atterrissage sur l’aéroport de Weno, en Micronésie, et a fini sa course dans le lagon, où il a coulé.
Dans un premier temps, la compagnie a annoncé que tous les 35 passagers et 12 membres d’équipages avaient été secourus, sains et saufs, par des pêcheurs. Mais, dans un communiqué publié lundi 1er octobre, le directeur général d’Air Nigini a finalement déclaré que le corps sans vie d’un passager a été retrouvé par les plongeurs. Une enquête a été ouverte.
Un incident qui n’est pas sans rappeler le fameux « GITANIC », le Boeing 747 d’Air France, qui, en 1993, avait fini son atterrissage dans le lagon entourant l’aéroport de Tahiti Faa’a, sans miraculeusement faire de victimes.
A lire aussi : Lyon, Orly, Seattle… : quand les aéroports deviennent le terrain de jeux des illuminés
Dans un premier temps, la compagnie a annoncé que tous les 35 passagers et 12 membres d’équipages avaient été secourus, sains et saufs, par des pêcheurs. Mais, dans un communiqué publié lundi 1er octobre, le directeur général d’Air Nigini a finalement déclaré que le corps sans vie d’un passager a été retrouvé par les plongeurs. Une enquête a été ouverte.
Un incident qui n’est pas sans rappeler le fameux « GITANIC », le Boeing 747 d’Air France, qui, en 1993, avait fini son atterrissage dans le lagon entourant l’aéroport de Tahiti Faa’a, sans miraculeusement faire de victimes.
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