Les ports de Saint-Malo, Lorient et Brest, associés à la Région Bretagne, ne veulent pas rester les deux pieds dans le même sabot face au développement de la croisière qui semble ignorer la Bretagne.
Le 8 septembre prochain, en présence de Jean-Yves Le Drian, président du Conseil Régional de Bretagne, l’ensemble des professionnels de la région se réuniront pour faire de la Bretagne un pôle attractif pour les armateurs.
L’année dernière, l’association Lorient Croisière Sud, les deux CCI de Saint-Malo et Brest avaient publié une brochure destinée aux croisiéristes, aujourd’hui la réflexion porte sur les moyens à mettre en place pour convaincre une région de ce nouvel eldorado touristique.
50 escales sont prévues en 2006
En 2006, 50 escales sont prévues en Bretagne, ce qui représente plus de 35.000 croisiéristes avec des retombées financières directes estimées à 2.8 millions d’Euros. Un pis aller lorsque l’on compare ses chiffres aux ports Méditerranéens ou aux ports anglais ou néerlandais.
En 1684, Jean Bart, aux dépens des Hollandais, avait détourné un énorme convoi de 130 navires chargés de blé alors que la Bretagne était en période de disette. Aujourd’hui, la Bretagne attend à nouveau son héros pour attirer quelques navires de croisières, chargés cette fois-ci de croisiéristes.
Le 8 septembre prochain, en présence de Jean-Yves Le Drian, président du Conseil Régional de Bretagne, l’ensemble des professionnels de la région se réuniront pour faire de la Bretagne un pôle attractif pour les armateurs.
L’année dernière, l’association Lorient Croisière Sud, les deux CCI de Saint-Malo et Brest avaient publié une brochure destinée aux croisiéristes, aujourd’hui la réflexion porte sur les moyens à mettre en place pour convaincre une région de ce nouvel eldorado touristique.
50 escales sont prévues en 2006
En 2006, 50 escales sont prévues en Bretagne, ce qui représente plus de 35.000 croisiéristes avec des retombées financières directes estimées à 2.8 millions d’Euros. Un pis aller lorsque l’on compare ses chiffres aux ports Méditerranéens ou aux ports anglais ou néerlandais.
En 1684, Jean Bart, aux dépens des Hollandais, avait détourné un énorme convoi de 130 navires chargés de blé alors que la Bretagne était en période de disette. Aujourd’hui, la Bretagne attend à nouveau son héros pour attirer quelques navires de croisières, chargés cette fois-ci de croisiéristes.