Longue de 300 m avec un tirant d´eau de 12 m et 300 m de largeur, cette île itinérante est basée sur une plate-forme ovoïde urbanisable de 10 ha.
Propulsée comme un navire à une vitesse de 10 noeuds, elle supportera une véritable ville avec hôtels, un lagon d´un hectare et 159.000 m2 de commerces, espaces d´animation et sportifs en superstructure.
Elle pourra accueillir 10.000 passagers avec un équipage de 3.600 personnes et affronter des creux de 20 m, mais ne pourra aborder dans les ports actuels.
La liaison s'effectuera par deux ferry rapide de 40 m de long pouvant transporter 600 passagers, et des hélicoptères.
Propulsée comme un navire à une vitesse de 10 noeuds, elle supportera une véritable ville avec hôtels, un lagon d´un hectare et 159.000 m2 de commerces, espaces d´animation et sportifs en superstructure.
Elle pourra accueillir 10.000 passagers avec un équipage de 3.600 personnes et affronter des creux de 20 m, mais ne pourra aborder dans les ports actuels.
La liaison s'effectuera par deux ferry rapide de 40 m de long pouvant transporter 600 passagers, et des hélicoptères.
Les villes ne flottent pas...
Le projet est étudié par les Chantiers navals de l´Atlantique et coûterait 2 milliards d´euros (deux fois le prix du Queen Mary II ). Deux partenaires industriels (Alsthom et Eiffel) et des investisseurs étrangers sont candidats.
L´île prendrait la mer dès 2010 pour un cabotage d´une dizaine d´années le long des côtes les plus touristiques du monde.
Voilà un projet qui pourrait changer radicalement la donne de la croisière actuelle s'il voyait le jour. Mais on imagine bien que si techniquement les choses semblent aujourd'hui au point, il faudra certainement du temps pour "démocratiser" une approche psychologiquement différente de celle d'un bateau qui navigue.
On sait que les avions volent, les bateaux naviguent, mais... les villes ne flottent pas. Elles sont englouties !
A suivre...
Michel BOVAS à Nice et JdaL - 22 septembre 2003
michel.bovas@aol.com
Le projet est étudié par les Chantiers navals de l´Atlantique et coûterait 2 milliards d´euros (deux fois le prix du Queen Mary II ). Deux partenaires industriels (Alsthom et Eiffel) et des investisseurs étrangers sont candidats.
L´île prendrait la mer dès 2010 pour un cabotage d´une dizaine d´années le long des côtes les plus touristiques du monde.
Voilà un projet qui pourrait changer radicalement la donne de la croisière actuelle s'il voyait le jour. Mais on imagine bien que si techniquement les choses semblent aujourd'hui au point, il faudra certainement du temps pour "démocratiser" une approche psychologiquement différente de celle d'un bateau qui navigue.
On sait que les avions volent, les bateaux naviguent, mais... les villes ne flottent pas. Elles sont englouties !
A suivre...
Michel BOVAS à Nice et JdaL - 22 septembre 2003
michel.bovas@aol.com