Les tour-opérateurs sont-ils cernés ?
C'est en tout cas ce qu'il ressort de la table ronde organisée dans le cadre du congrès Selectour qui a eu lieu à Dubaï jusqu'au 9 décembre 2018.
Menacés par les GAFAM (Google, Amazon, Facebook et Apple), Booking et consorts, inquiétés par l'arrivée des compagnies low cost sur le marché des packages et enfin bousculés par la boulimie du groupe Marietton... que reste-t-il encore aux "grands" ?
SI l'on rajoute à cela les spécificités locales avec un marché émietté et une offre pléthorique... les tour-opérateurs de demandent de plus en plus à quelle sauce ils vont être mangés et comment surnager face à une distribution de mieux en mieux organisée et agressive.
On connaît la panoplie habituelle : prix nets, commissions variables, garanties des stocks, répartition de la trésorerie, mise en avant de la valeur ajoutée... Mais tout ça sent un peu la naphtaline.
On ne fait pas du neuf avec du vieux. Ces vieilles recettes toutes prêtes ne suffisent plus. Pour mijoter de nouveaux produits cela exige aussi de l'imagination et de l'innovation.
C'est en tout cas ce qu'il ressort de la table ronde organisée dans le cadre du congrès Selectour qui a eu lieu à Dubaï jusqu'au 9 décembre 2018.
Menacés par les GAFAM (Google, Amazon, Facebook et Apple), Booking et consorts, inquiétés par l'arrivée des compagnies low cost sur le marché des packages et enfin bousculés par la boulimie du groupe Marietton... que reste-t-il encore aux "grands" ?
SI l'on rajoute à cela les spécificités locales avec un marché émietté et une offre pléthorique... les tour-opérateurs de demandent de plus en plus à quelle sauce ils vont être mangés et comment surnager face à une distribution de mieux en mieux organisée et agressive.
On connaît la panoplie habituelle : prix nets, commissions variables, garanties des stocks, répartition de la trésorerie, mise en avant de la valeur ajoutée... Mais tout ça sent un peu la naphtaline.
On ne fait pas du neuf avec du vieux. Ces vieilles recettes toutes prêtes ne suffisent plus. Pour mijoter de nouveaux produits cela exige aussi de l'imagination et de l'innovation.
Car un peu à l'image des agences de voyages qui reprochent aux TO, leurs promos en direct ou leurs numéros surtaxés, les tour-opérateurs doivent sortir de leur rengaine habituelle.
Il est temps comme l'a suggéré Jean-Pierre Nadir, patron d'easyvoyage en clôture du congrès à Dubaï de trouver les moyens de se réinventer.
Il en va de leur équilibre économique face une distribution complètement décomplexée et qui a pris le pouvoir.
Laurent Abitbol qui cumule les fonctions de président du directoire de Selectour et de président de Marietton est le porte étendard de 1500 points de ventes.
Difficile d'y échapper. Surtout dans une profession où chacun agit en ordre dispersé et se "débrouille" malgré les déclarations enflammées des va-t-en-guerre... les premiers à revenir ensuite manger dans la gamelle...
Un sujet taillé sur-mesure pour le SETO qui tient son forum à Deauville du 12 au 13 décembre 2018...
Il est temps comme l'a suggéré Jean-Pierre Nadir, patron d'easyvoyage en clôture du congrès à Dubaï de trouver les moyens de se réinventer.
Il en va de leur équilibre économique face une distribution complètement décomplexée et qui a pris le pouvoir.
Laurent Abitbol qui cumule les fonctions de président du directoire de Selectour et de président de Marietton est le porte étendard de 1500 points de ventes.
Difficile d'y échapper. Surtout dans une profession où chacun agit en ordre dispersé et se "débrouille" malgré les déclarations enflammées des va-t-en-guerre... les premiers à revenir ensuite manger dans la gamelle...
Un sujet taillé sur-mesure pour le SETO qui tient son forum à Deauville du 12 au 13 décembre 2018...