« Il y a un gros décalage entre ce que nous, étudiants en sortie d’étude, souhaitons en termes de rémunération et ce que les entreprises peuvent nous offrir », estime Mathilde Augier, étudiante en MBA Tourism & Hospitality Management à l’IEFT Lyon. -@M.A.
TourMaG.com – Peux-tu te présenter ?
Mathilde Augier : J’ai 24 ans. Je suis un master tourisme à l’IEFT à Lyon. Depuis deux ans, je réalise mon parcours en alternance chez Trails in France. Je suis à la fois chef de produit et assistante marketing, au sein de cette agence de voyages spécialisée dans le trail et le running.
Mes missions sont diverses. Je touche à tout : analyse de rentabilité, mise à jour du site, création de contenu pour le blog et des newsletters, stratégie communication, conception de séjours ou de nouveaux produits. Il n’y a que sur la relation client que je n’interviens pas !
Ma formation me plait, les cours sont diversifiés, avec à la fois de la communication, des parcours sur le tourisme, du commerce, du droit...
TourMaG.com – Comment se passe ton alternance ?
Mathilde Augier : Etudier en alternance, avoir un pied dans le monde du travail, est un plus. C’est épanouissant et cela permet de se projeter dans l’avenir.
Dans le cadre d’un master, je n’avais plus envie d’être en cours. Ça a été assez simple de trouver une alternance, car j’avais du temps pour faire mes recherches et postuler. J’ai trouvé un employeur en un mois.
Je recherchais une entreprise touristique en lien avec la montagne, car je suis originaire de Savoie. L’entretien avec les dirigeants s’est bien passé, cela a matché tout de suite. Et puis, cette entreprise est à 100% en télétravail. Cette flexibilité m’a plu. Mon rythme est de trois jours à l’école et deux jours en entreprise par semaine.
Mathilde Augier : J’ai 24 ans. Je suis un master tourisme à l’IEFT à Lyon. Depuis deux ans, je réalise mon parcours en alternance chez Trails in France. Je suis à la fois chef de produit et assistante marketing, au sein de cette agence de voyages spécialisée dans le trail et le running.
Mes missions sont diverses. Je touche à tout : analyse de rentabilité, mise à jour du site, création de contenu pour le blog et des newsletters, stratégie communication, conception de séjours ou de nouveaux produits. Il n’y a que sur la relation client que je n’interviens pas !
Ma formation me plait, les cours sont diversifiés, avec à la fois de la communication, des parcours sur le tourisme, du commerce, du droit...
TourMaG.com – Comment se passe ton alternance ?
Mathilde Augier : Etudier en alternance, avoir un pied dans le monde du travail, est un plus. C’est épanouissant et cela permet de se projeter dans l’avenir.
Dans le cadre d’un master, je n’avais plus envie d’être en cours. Ça a été assez simple de trouver une alternance, car j’avais du temps pour faire mes recherches et postuler. J’ai trouvé un employeur en un mois.
Je recherchais une entreprise touristique en lien avec la montagne, car je suis originaire de Savoie. L’entretien avec les dirigeants s’est bien passé, cela a matché tout de suite. Et puis, cette entreprise est à 100% en télétravail. Cette flexibilité m’a plu. Mon rythme est de trois jours à l’école et deux jours en entreprise par semaine.
Autres articles
"Je suis moins confiante au sujet de la rémunération"
TourMaG.com - Quelle profession souhaites-tu exercer ?
Mathilde Augier : Travailler dans la communication est la suite logique.
J’apprécierais également intégrer une agence de développement touristique ou un poste en lien avec de la gestion de projet me plairait également beaucoup.
Le tourisme est un vecteur de développement pour les territoires. C’est ce qui m’a poussé à me lancer dans cette voie. Je viens des Alpes du Nord, c’est un bon exemple de développement à travers le tourisme.
J’ai envie de reproduire ce schéma dans des zones où il est compliqué d’attirer les gens pour y vivre, y installer leurs entreprises. C’est ce que j’aimerais faire dans ma carrière.
TourMaG.com – Es-tu confiante concernant ton insertion dans le monde du travail ?
Mathilde Augier : Oui, car je n’ai pas eu de difficultés à trouver d’entreprise en alternance dans le cadre de mon master. Avec mes études, j’ai une diversité de compétences non négligeables.
J’ai déjà commencé à regarder et je vois pas mal d’offres d’emploi qui m’intéressent.
Je suis moins confiante au sujet de la rémunération. J’ai participé à l'IEFT VIVA PRO une journée de rencontres avec les professionnels organisée par mon école. Après avoir discuté avec eux, je me rends compte qu’il y a un gros décalage entre ce que nous, étudiants en sortie d’étude, souhaitons en termes de rémunération et ce que les entreprises peuvent nous offrir.
D’autant plus dans le contexte inflationniste. Cela me fait un peu peur. Moi, je m’apprête à demander en sortie d’étude une rémunération de 30 000 euros bruts/an, quand certaines offres affichent 25 000 euros annuels bruts pour des postes à bac+5. Il y a un vrai écart.
TourMaG.com - Tu ne répondrais pas à une proposition à 25 000€ bruts/an ?
Mathilde Augier : Cela dépendra de l’intérêt que je porte au poste. Si c’est quelque chose qui me passionne, je suis prête à faire des concessions.
Je peux être plus flexible sur d’autres avantages, tels que le télétravail.
Mathilde Augier : Travailler dans la communication est la suite logique.
J’apprécierais également intégrer une agence de développement touristique ou un poste en lien avec de la gestion de projet me plairait également beaucoup.
Le tourisme est un vecteur de développement pour les territoires. C’est ce qui m’a poussé à me lancer dans cette voie. Je viens des Alpes du Nord, c’est un bon exemple de développement à travers le tourisme.
J’ai envie de reproduire ce schéma dans des zones où il est compliqué d’attirer les gens pour y vivre, y installer leurs entreprises. C’est ce que j’aimerais faire dans ma carrière.
TourMaG.com – Es-tu confiante concernant ton insertion dans le monde du travail ?
Mathilde Augier : Oui, car je n’ai pas eu de difficultés à trouver d’entreprise en alternance dans le cadre de mon master. Avec mes études, j’ai une diversité de compétences non négligeables.
J’ai déjà commencé à regarder et je vois pas mal d’offres d’emploi qui m’intéressent.
Je suis moins confiante au sujet de la rémunération. J’ai participé à l'IEFT VIVA PRO une journée de rencontres avec les professionnels organisée par mon école. Après avoir discuté avec eux, je me rends compte qu’il y a un gros décalage entre ce que nous, étudiants en sortie d’étude, souhaitons en termes de rémunération et ce que les entreprises peuvent nous offrir.
D’autant plus dans le contexte inflationniste. Cela me fait un peu peur. Moi, je m’apprête à demander en sortie d’étude une rémunération de 30 000 euros bruts/an, quand certaines offres affichent 25 000 euros annuels bruts pour des postes à bac+5. Il y a un vrai écart.
TourMaG.com - Tu ne répondrais pas à une proposition à 25 000€ bruts/an ?
Mathilde Augier : Cela dépendra de l’intérêt que je porte au poste. Si c’est quelque chose qui me passionne, je suis prête à faire des concessions.
Je peux être plus flexible sur d’autres avantages, tels que le télétravail.
"La RSE ne m’influencera pas dans le processus de décision"
TourMaG.com - Pourquoi avoir choisi l'industrie du tourisme et s’y projeter malgré les difficultés qu’elle connait ?
Mathilde Augier : J’ai vraiment envie de participer au développement des territoires ruraux. Le tourisme et quelque chose que l’on trouve partout. Même pour moi, qui ai envie de travailler en campagne, pour trouver du travail, c’est plus simple.
J’ai une véritable attache à la nature, sa découverte. J’ai envie de perpétuer cette envie de faire découvrir des territoires qui ont des trésors insoupçonnés. C’est quelque chose qui me donnait envie.
J’avais déjà une formation en communication brute. Pendant cette formation, je pensais déjà à rejoindre le tourisme.
Lire aussi : Démarche RSE : foncez, ce n'est pas si compliqué !
Paradoxalement, je ne suis pas entrée dans le tourisme pour voyager, même si j’aime voyager. J’ai une attirance pour la Corée du Sud, j’y suis allée en échange universitaire.
Un jour, pourquoi ne pas travailler en relation avec ce pays, mais pour autant, je ne me vois pas partir en Corée du Sud pour y vivre et travailler.
TourMaG.com – Est-ce que la RSE est une notion qui te parle ?
Mathilde Augier : Ce n’est pas le critère premier pour moi. Ce qui me semble plus important est de rejoindre une entreprise éthique dans la façon dont elle traite ses employés et celle dont elle prend les décisions.
Par exemple, l’agence dans laquelle je suis actuellement ne se vante pas d’être écologique, alors qu’elle mène des tas d’actions en faveur de la planète, de la RSE, mais fait le choix de ne pas communiquer là-dessus. C’est quelque chose de normal.
Une entreprise qui communique beaucoup son engagement RSE ne va pas plus m’attirer, car ce qui compte est de bien se sentir dans l’entreprise et que les collaborateurs interagissent entre eux.
La RSE ne m’influencera pas dans le processus de décision.
Mathilde Augier : J’ai vraiment envie de participer au développement des territoires ruraux. Le tourisme et quelque chose que l’on trouve partout. Même pour moi, qui ai envie de travailler en campagne, pour trouver du travail, c’est plus simple.
J’ai une véritable attache à la nature, sa découverte. J’ai envie de perpétuer cette envie de faire découvrir des territoires qui ont des trésors insoupçonnés. C’est quelque chose qui me donnait envie.
J’avais déjà une formation en communication brute. Pendant cette formation, je pensais déjà à rejoindre le tourisme.
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Paradoxalement, je ne suis pas entrée dans le tourisme pour voyager, même si j’aime voyager. J’ai une attirance pour la Corée du Sud, j’y suis allée en échange universitaire.
Un jour, pourquoi ne pas travailler en relation avec ce pays, mais pour autant, je ne me vois pas partir en Corée du Sud pour y vivre et travailler.
TourMaG.com – Est-ce que la RSE est une notion qui te parle ?
Mathilde Augier : Ce n’est pas le critère premier pour moi. Ce qui me semble plus important est de rejoindre une entreprise éthique dans la façon dont elle traite ses employés et celle dont elle prend les décisions.
Par exemple, l’agence dans laquelle je suis actuellement ne se vante pas d’être écologique, alors qu’elle mène des tas d’actions en faveur de la planète, de la RSE, mais fait le choix de ne pas communiquer là-dessus. C’est quelque chose de normal.
Une entreprise qui communique beaucoup son engagement RSE ne va pas plus m’attirer, car ce qui compte est de bien se sentir dans l’entreprise et que les collaborateurs interagissent entre eux.
La RSE ne m’influencera pas dans le processus de décision.
"L’entreprise idéale est ouverte à l’évolution des modes de travail, notamment avec le télétravail, l’intégration de nouveaux outils digitaux"
TourMaG.com – Rémunération, responsabilités, flexibilité… Quelles sont tes priorités ?
Mathilde Augier : D’abord la rémunération, puis la possibilité de télétravail. Et enfin l’équilibre vie professionnelle / vie personnelle.
TourMaG.com – Quel serait un bon équilibre vie pro/vie perso ?
Mathilde Augier : Je considère qu’une fois chez moi, je ne reçois plus de mails, à moins d’une urgence. Je ne veux pas qu’on me contacte pour la moindre petite chose qui peut attendre le lendemain.
Je ne veux pas d’une entreprise qui attende de moi de travailler en dehors des horaires dédiés, d’effectuer des heures supplémentaires dues.
TourMaG.com - A quoi ressemble l'entreprise idéale ? A l'inverse, qu'est-ce qui est rédhibitoire ?
Mathilde Augier : L’entreprise idéale est ouverte à l’évolution des modes de travail, notamment avec le télétravail, l’intégration de nouveaux outils digitaux.
Elle est à l’écoute des idées de chacun, peu importe le niveau d’expérience, ouverte à de nouvelles idées et qui ne reste pas coincée sur cette affirmation : « Ah, mais, on a toujours fait comme ça ! »
Ce serait également une société tournée vers l’avenir, avec des ambitions fortes pour son développement. Une entreprise qui reste statique, ne va pas durer dans le temps. Et puis évidement, on y trouve une bonne ambiance de travail !
A l’inverse, celle que je n’aimerais pas rejoindre afficherait des valeurs contraires à son activité.
Je préfère travailler pour une entreprise qui n’a pas de vocation RSE, mais qui défend des valeurs qui lui sont propres et vérifiables dans sa façon de travailler, dans ses produits, plutôt qu’une entreprise qui annonce des engagements écologiques parce qu’il le faut ! Je trouverais ça contradictoire et ça me repousserait.
C’est aussi une entreprise qui a des processus de prise de décision trop long, c’est-à-dire qu’il faut passer par 15 personnes pour validation, c’est trop freinant.
Autre point : éviter de mettre sur une fiche de poste l’équivalent de 5 postes. Je le vois beaucoup dans les offres en communication. On demande énormément de polyvalence, certains recruteurs recherchent le mouton à 5 pattes, demandent aux candidats d’être un expert dans tous les domaines, sans s’aligner avec le salaire.
Je ne postulerai pas au sein d’une structure qui estime qu’une personne peut faire le travail de cinq. Il faut qu’elle soit réaliste par rapport à ses ambitions et au nombre de personnes qu’elle peut employer pour les concrétiser.
Mathilde Augier : D’abord la rémunération, puis la possibilité de télétravail. Et enfin l’équilibre vie professionnelle / vie personnelle.
TourMaG.com – Quel serait un bon équilibre vie pro/vie perso ?
Mathilde Augier : Je considère qu’une fois chez moi, je ne reçois plus de mails, à moins d’une urgence. Je ne veux pas qu’on me contacte pour la moindre petite chose qui peut attendre le lendemain.
Je ne veux pas d’une entreprise qui attende de moi de travailler en dehors des horaires dédiés, d’effectuer des heures supplémentaires dues.
TourMaG.com - A quoi ressemble l'entreprise idéale ? A l'inverse, qu'est-ce qui est rédhibitoire ?
Mathilde Augier : L’entreprise idéale est ouverte à l’évolution des modes de travail, notamment avec le télétravail, l’intégration de nouveaux outils digitaux.
Elle est à l’écoute des idées de chacun, peu importe le niveau d’expérience, ouverte à de nouvelles idées et qui ne reste pas coincée sur cette affirmation : « Ah, mais, on a toujours fait comme ça ! »
Ce serait également une société tournée vers l’avenir, avec des ambitions fortes pour son développement. Une entreprise qui reste statique, ne va pas durer dans le temps. Et puis évidement, on y trouve une bonne ambiance de travail !
A l’inverse, celle que je n’aimerais pas rejoindre afficherait des valeurs contraires à son activité.
Je préfère travailler pour une entreprise qui n’a pas de vocation RSE, mais qui défend des valeurs qui lui sont propres et vérifiables dans sa façon de travailler, dans ses produits, plutôt qu’une entreprise qui annonce des engagements écologiques parce qu’il le faut ! Je trouverais ça contradictoire et ça me repousserait.
C’est aussi une entreprise qui a des processus de prise de décision trop long, c’est-à-dire qu’il faut passer par 15 personnes pour validation, c’est trop freinant.
Autre point : éviter de mettre sur une fiche de poste l’équivalent de 5 postes. Je le vois beaucoup dans les offres en communication. On demande énormément de polyvalence, certains recruteurs recherchent le mouton à 5 pattes, demandent aux candidats d’être un expert dans tous les domaines, sans s’aligner avec le salaire.
Je ne postulerai pas au sein d’une structure qui estime qu’une personne peut faire le travail de cinq. Il faut qu’elle soit réaliste par rapport à ses ambitions et au nombre de personnes qu’elle peut employer pour les concrétiser.
"Il y a un vrai blocage de générations, sur les sacrifices que l’on est prêt à faire"
TourMaG.com - Comment a évolué le regard des entreprises sur les jeunes ?
Mathilde Augier : J’ai l’impression que l’on nous écoute plus et que l'on valorise nos idées. Celles des stagiaires, des alternants, des étudiants, des jeunes qui arrivent sur le marché du travail.
Par contre, concernant nos critères, tels que le télétravail ou la recherche d’une meilleure rémunération, j’ai le sentiment que l’on tombe rapidement dans le discours : « vous ne connaissez rien au monde du travail, vous êtes capricieux. » Il y a un vrai blocage de générations, sur les sacrifices que l’on est prêt à faire.
Nous avons vu nos parents faire beaucoup de route pour aller au travail, être stressés, avoir un équilibre vie pro/vie privée instable. Nous ne voulons pas vivre ça.
C’est là que ça coince avec une génération qui vit dans ce modèle. Pour qui, ces sacrifices sont un dû.
C’est peut-être plus marqué dans les métiers de l’hôtellerie, ou ceux en relation avec de la clientèle et qui n’ont pas d’horaires de bureau.
TourMaG.com - Comment imagines-tu ta carrière évoluer ?
Mathilde Augier : Dans 5 à 10 ans, je me vois avec un poste à responsabilité, dans le management. C’est quelque chose auquel je me destine. C’est aussi pour cela que j’ai choisi mon master.
D’ici là, je me détacherai des missions de communication terrain, grâce à l’acquisition de nouvelles compétences et d’expérience. Peut-être que d’autres métiers apparaîtront ou que je m’intéresserai à un que je n’ai pas encore découvert.
Pourquoi ne pas créer mon entreprise ? C’est une idée que j’ai en tête. Peut-être que d’ici là elle aura muri.
Mathilde Augier : J’ai l’impression que l’on nous écoute plus et que l'on valorise nos idées. Celles des stagiaires, des alternants, des étudiants, des jeunes qui arrivent sur le marché du travail.
Par contre, concernant nos critères, tels que le télétravail ou la recherche d’une meilleure rémunération, j’ai le sentiment que l’on tombe rapidement dans le discours : « vous ne connaissez rien au monde du travail, vous êtes capricieux. » Il y a un vrai blocage de générations, sur les sacrifices que l’on est prêt à faire.
Nous avons vu nos parents faire beaucoup de route pour aller au travail, être stressés, avoir un équilibre vie pro/vie privée instable. Nous ne voulons pas vivre ça.
C’est là que ça coince avec une génération qui vit dans ce modèle. Pour qui, ces sacrifices sont un dû.
C’est peut-être plus marqué dans les métiers de l’hôtellerie, ou ceux en relation avec de la clientèle et qui n’ont pas d’horaires de bureau.
TourMaG.com - Comment imagines-tu ta carrière évoluer ?
Mathilde Augier : Dans 5 à 10 ans, je me vois avec un poste à responsabilité, dans le management. C’est quelque chose auquel je me destine. C’est aussi pour cela que j’ai choisi mon master.
D’ici là, je me détacherai des missions de communication terrain, grâce à l’acquisition de nouvelles compétences et d’expérience. Peut-être que d’autres métiers apparaîtront ou que je m’intéresserai à un que je n’ai pas encore découvert.
Pourquoi ne pas créer mon entreprise ? C’est une idée que j’ai en tête. Peut-être que d’ici là elle aura muri.
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