Les restrictions de voyages et la peur aussi de la pandémie ou de se voir bloquer à l'étranger à inciter les Français à rester dans l'Hexagone en 2020.
Selon l'enquête menée par VVF Ingénerie, 79 % des vacanciers envisagent de rester en France pour leurs vacances en 2021, 21 % déclarant vouloir partir à l'étranger l'an prochain (dont 15 % en Europe).
Si la mer reste la destination préférée des Français, elle a perdu 8 points par rapport à 2019 (40 % en 2020 vs 48 %) au profit de la montagne (31 % en 2020 vs 22 %), de la campagne (28 % vs 23 %) et des grandes villes (7 % vs 1 %).
Mais cette tendance semble plus subie que voulu, car les intentions de départ en 2021 positionnent les stations balnéaires à 51 %.
La montagne semble avoir séduit les Français puisque 28 % renouvelleront l'expérience en 2021 (seulement moins 3 points/à cet été).
La campagne, en revanche a nettement moins convaincue : si elle a drainé 28 % des vacanciers cet été, seulement 18 % déclarent vouloir y retourner en 2021.
Selon l'enquête menée par VVF Ingénerie, 79 % des vacanciers envisagent de rester en France pour leurs vacances en 2021, 21 % déclarant vouloir partir à l'étranger l'an prochain (dont 15 % en Europe).
Si la mer reste la destination préférée des Français, elle a perdu 8 points par rapport à 2019 (40 % en 2020 vs 48 %) au profit de la montagne (31 % en 2020 vs 22 %), de la campagne (28 % vs 23 %) et des grandes villes (7 % vs 1 %).
Mais cette tendance semble plus subie que voulu, car les intentions de départ en 2021 positionnent les stations balnéaires à 51 %.
La montagne semble avoir séduit les Français puisque 28 % renouvelleront l'expérience en 2021 (seulement moins 3 points/à cet été).
La campagne, en revanche a nettement moins convaincue : si elle a drainé 28 % des vacanciers cet été, seulement 18 % déclarent vouloir y retourner en 2021.
Les clubs valeurs sures pour 2021
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Les campings et clubs de vacances associatifs ont été les hébergements favoris des Français à l'été 2020 à 77 % contre 65 % en 2019. Ils ont séduit les Français qui sont 74 % à les plébisciter pour 2021.
Les séjours dans les gîtes et hébergements chez des particuliers (location ou famille/amis) accusent un recul à 18 % (contre 24 % en 2019) et resteront à un niveau identique en 2021 à 17 %.
L'usage des résidences secondaires par leur propriétaire a créé une tension sur la demande en limitant l'offre.
L'hôtellerie a chuté de 8 points par rapport à 2019 (3 % vs 11 %), mais elle reprendra timidement des couleurs en 2021 avec 6 % des Français qui souhaitent y retourner.
Les séjours dans les gîtes et hébergements chez des particuliers (location ou famille/amis) accusent un recul à 18 % (contre 24 % en 2019) et resteront à un niveau identique en 2021 à 17 %.
L'usage des résidences secondaires par leur propriétaire a créé une tension sur la demande en limitant l'offre.
L'hôtellerie a chuté de 8 points par rapport à 2019 (3 % vs 11 %), mais elle reprendra timidement des couleurs en 2021 avec 6 % des Français qui souhaitent y retourner.
Toujours des réservations de dernière minute en vue
Malgré le contexte, les Français ont toujours envie d'évasion.
28 % projettent de partir en week-end en septembre/octobre et les vacances scolaires affichent des taux de : 27 % pour la Toussaint, 25 % pour Noël et 26 % pour février.
Néanmoins, quand on demande aux Français quel est le facteur déterminant qui les empêcherait de partir en congés : 64 % citent la situation sanitaire. Viennent ensuite les impératifs économiques.
Si les Français ont envie de partir, ils restent prudents : 20 % des Français ayant prévu de partir en vacances dans les 6 mois déclarent réserver dès maintenant. 38 % le feront un mois avant leur départ et 10 % une semaine avant. Près d'un tiers vont attendre la dernière minute pour effectuer leurs réservations.
«Ce n'était pas gagné, mais les Français sont bien partis en France cet été. En revanche, 2020 ne semble pas une année charnière sur des tendances de fond, mais plus une année avec des choix touristiques liés à des circonstances exceptionnelles.
La mer reste inconditionnellement une valeur sûre. Campagne et Montagne doivent renforcer leur attractivité pour attirer les Français, même si ces derniers seront sans doute plus nombreux qu'auparavant à rester en France.
La frénésie de vacances, et la volonté de partir plus longtemps, majoritairement 2 semaines, sont bien des phénomènes marquants. » précise Stéphane Le Bihan, DG VVF.
28 % projettent de partir en week-end en septembre/octobre et les vacances scolaires affichent des taux de : 27 % pour la Toussaint, 25 % pour Noël et 26 % pour février.
Néanmoins, quand on demande aux Français quel est le facteur déterminant qui les empêcherait de partir en congés : 64 % citent la situation sanitaire. Viennent ensuite les impératifs économiques.
Si les Français ont envie de partir, ils restent prudents : 20 % des Français ayant prévu de partir en vacances dans les 6 mois déclarent réserver dès maintenant. 38 % le feront un mois avant leur départ et 10 % une semaine avant. Près d'un tiers vont attendre la dernière minute pour effectuer leurs réservations.
«Ce n'était pas gagné, mais les Français sont bien partis en France cet été. En revanche, 2020 ne semble pas une année charnière sur des tendances de fond, mais plus une année avec des choix touristiques liés à des circonstances exceptionnelles.
La mer reste inconditionnellement une valeur sûre. Campagne et Montagne doivent renforcer leur attractivité pour attirer les Français, même si ces derniers seront sans doute plus nombreux qu'auparavant à rester en France.
La frénésie de vacances, et la volonté de partir plus longtemps, majoritairement 2 semaines, sont bien des phénomènes marquants. » précise Stéphane Le Bihan, DG VVF.