Les voyagistes qui pariaient sur une reprise en décembre pour pouvoir rembourser les “Avoirs” et les PGE, en sont pour leurs frais. - Depositphotos.com Auteur ra2studio
"Quoi qu’il en coûte…", l’expression passera vraisemblablement à la postérité dans les mémoires sinon dans les manuels d’histoire et d’économie en particulier.
La pandémie qui a mis à genoux l’économie française a particulièrement impacté l’industrie du tourisme.
En 2020 et 2021, le Gouvernement a dû mettre sous perfusion l’hôtellerie-restauration mais aussi les voyagistes, les agences de voyages et, bien entendu, le transport aérien.
697 000 PGE au total ont été souscrits par les entreprises, pour un montant total de 143 milliards d'euros. Après un été 2021 très satisfaisant, la 5e vague et l’avènement de l’Omicron ont plombé les réservations de fin d’année.
Le vent de panique provoqué par le variant en provenance d’Afrique du Sud a conduit les Pouvoirs publics à mettre en place le principe de précaution et à fermer les frontières à un certain nombre de pays.
Précaution inutile puisque, en fin d’année, l’Omicron était devenu dominant.
Les voyagistes qui pariaient sur une reprise en décembre pour pouvoir rembourser les “Avoirs” et les PGE, en sont pour leurs frais.
La pandémie qui a mis à genoux l’économie française a particulièrement impacté l’industrie du tourisme.
En 2020 et 2021, le Gouvernement a dû mettre sous perfusion l’hôtellerie-restauration mais aussi les voyagistes, les agences de voyages et, bien entendu, le transport aérien.
697 000 PGE au total ont été souscrits par les entreprises, pour un montant total de 143 milliards d'euros. Après un été 2021 très satisfaisant, la 5e vague et l’avènement de l’Omicron ont plombé les réservations de fin d’année.
Le vent de panique provoqué par le variant en provenance d’Afrique du Sud a conduit les Pouvoirs publics à mettre en place le principe de précaution et à fermer les frontières à un certain nombre de pays.
Précaution inutile puisque, en fin d’année, l’Omicron était devenu dominant.
Les voyagistes qui pariaient sur une reprise en décembre pour pouvoir rembourser les “Avoirs” et les PGE, en sont pour leurs frais.
Un défi de taille pour la décennie à venir : l’environnement
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Deux années après le début de la Covid-19, nous ne voyons toujours pas d’amélioration notable de la situation sur le plan pandémique, même si le pic record de ce début d'année pourrait provoquer une immunité plus efficace que le vaccin (?).
Voilà pourquoi on se prend à espérer que la donne pourrait changer en 2022, avec un taux de vaccination au plus haut et une immunisation internationale accrue.
La détérioration de la situation a conduit les EdV (Entreprises du Voyage) à solliciter une nouvelle fois Bercy.
Le Syndicat a été entendu en ce qui concerne les Prêts garantis par l’Etat (PGE) et leurs modalités.
En effet, l'Union européenne a plié et acceptera soit un étalement du PGE de 6 à 10 ans soit un décalage de la date du début de remboursement de 6 mois, soit à la fin 2022.
En attendant, il y a fort à parier que le premier trimestre de l’année 2022 ressemblera comme un petit frère à celui de l’année précédente…
Voilà pourquoi on se prend à espérer que la donne pourrait changer en 2022, avec un taux de vaccination au plus haut et une immunisation internationale accrue.
La détérioration de la situation a conduit les EdV (Entreprises du Voyage) à solliciter une nouvelle fois Bercy.
Le Syndicat a été entendu en ce qui concerne les Prêts garantis par l’Etat (PGE) et leurs modalités.
En effet, l'Union européenne a plié et acceptera soit un étalement du PGE de 6 à 10 ans soit un décalage de la date du début de remboursement de 6 mois, soit à la fin 2022.
En attendant, il y a fort à parier que le premier trimestre de l’année 2022 ressemblera comme un petit frère à celui de l’année précédente…