En février dernier, une trentaine de membres de France DMC Alliance se sont réunis à Lyon à l'occasion de l'AG annuelle. Ils ont été accueillis dans les locaux de Philibert Travel & Events - Photo : FDMCA
L'année 2024 démarre sur les chapeaux de roues pour France DMC Alliance.
L'association, qui regroupe une cinquantaine d'adhérents, a fait le point sur les chantiers achevés et ceux à venir, à l'occasion de son assemblée générale annuelle, qui s'est déroulée en deux temps.
D'abord début février en présentiel, à Lyon, où une trentaine de ses membres se sont réunis dans les locaux de Philibert Travel & Events. L'occasion de se retrouver, d'échanger autour d'un cocktail déjeunatoire avec les équipes du CRT Auvergne-Rhône-Alpes et différents partenaires régionaux, mais aussi de se tenir informés grâce à des ateliers consacrés aux nouveautés juridiques avec les EDV, et à l'intelligence artificielle.
Cet événement a aussi permis aux agences de découvrir la ville. « Les équipes de Philibert avaient organisé une visite guidée de Lyon le samedi matin, suivie d'un déjeuner aux Halles Paul Bocuse. Le fait d'organiser nos AG en région permet de faire découvrir le coin à ceux qui y viennent pour la première fois », commente Patricia Linot, la présidente de France DMC Alliance, fraîchement réélue à la barre de l'association.
En effet, c'est lors de la 2e partie de l'AG annuelle, qui s'est tenue cette fois-ci courant mars et en visio (pour évoquer les sujets plus administratifs : budgets, votes, comptes rendus d'activité, etc.) qu'a été renouvelé le tiers des membres du conseil d'administration.
Ont été réélus, en plus de la présidente (par ailleurs dirigeante de l'agence Rendez-vous Fontainebleau), Jean-Vincent Petit (agence Funbreizh) en tant que vice-président, Pascal Brousset (Take Life Beyond France - TLB France) comme trésorier et Jean-Luc Montembault (Cognac Tasting Tour) qui conserve son poste de secrétaire général.
L'association, qui regroupe une cinquantaine d'adhérents, a fait le point sur les chantiers achevés et ceux à venir, à l'occasion de son assemblée générale annuelle, qui s'est déroulée en deux temps.
D'abord début février en présentiel, à Lyon, où une trentaine de ses membres se sont réunis dans les locaux de Philibert Travel & Events. L'occasion de se retrouver, d'échanger autour d'un cocktail déjeunatoire avec les équipes du CRT Auvergne-Rhône-Alpes et différents partenaires régionaux, mais aussi de se tenir informés grâce à des ateliers consacrés aux nouveautés juridiques avec les EDV, et à l'intelligence artificielle.
Cet événement a aussi permis aux agences de découvrir la ville. « Les équipes de Philibert avaient organisé une visite guidée de Lyon le samedi matin, suivie d'un déjeuner aux Halles Paul Bocuse. Le fait d'organiser nos AG en région permet de faire découvrir le coin à ceux qui y viennent pour la première fois », commente Patricia Linot, la présidente de France DMC Alliance, fraîchement réélue à la barre de l'association.
En effet, c'est lors de la 2e partie de l'AG annuelle, qui s'est tenue cette fois-ci courant mars et en visio (pour évoquer les sujets plus administratifs : budgets, votes, comptes rendus d'activité, etc.) qu'a été renouvelé le tiers des membres du conseil d'administration.
Ont été réélus, en plus de la présidente (par ailleurs dirigeante de l'agence Rendez-vous Fontainebleau), Jean-Vincent Petit (agence Funbreizh) en tant que vice-président, Pascal Brousset (Take Life Beyond France - TLB France) comme trésorier et Jean-Luc Montembault (Cognac Tasting Tour) qui conserve son poste de secrétaire général.
Le marché domestique en plein essor
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L'association, en ordre de marche, est donc d'attaque pour surfer sur la reprise de l'activité. « Les clientèles anglophones, et notamment les Américains, reviennent en nombre, constate Patricia Linot, tandis que les clientèles asiatiques mettent plus de temps à redémarrer, à l'exception des Sud-Coréens.
Du côté des Sud-Américains, nous voyons des clientèles émergentes de plus en plus présentes, comme les Brésiliens. Le marché international, qui constituait déjà notre clientèle n°1 avant la pandémie, l'est encore plus maintenant.
L'intermédiation, qui constituait déjà une valeur de réassurance pour eux, s'est renforcée, et les clients internationaux continuent de travailler avec nous car nous sommes leur relais, les experts sur la France pour leurs clients, qu'ils soient individuels ou en groupes ».
De la même façon, le marché domestique se développe depuis la pandémie, notamment grâce au partenariat que France DMC Alliance a su tisser avec la plateforme Ty-win, laquelle a signé plusieurs accords avec des réseaux de distribution.
Derniers en date : Salaün Holidays et Carrefour Voyages. Un autre réseau devrait être annoncé dans les prochains jours, qui rassemble plusieurs centaines d’agences en France et s’étendra bientôt en Europe.
« Tous ces accords vont permettre à nos membres d'avoir accès à plusieurs centaines, voire milliers d'agences de voyages en France, mais aussi en Belgique et bientôt en Allemagne et dans d'autres pays européens, souligne Patricia Linot.
C'est la plus grosse avancée que nous sommes en train de proposer à nos membres : l'accès à ces réseaux de distribution qui, jusqu'à maintenant, n'avaient pas identifié l'offre France au même titre que les packages à l'international ».
Or, souligne la présidente de France DMC Alliance, « aujourd'hui, on sait tous que la France représente 50% des ventes réalisées en agences, grâce aux chiffres officiels diffusés par les Entreprises du Voyage (EDV) qui effectuent régulièrement un baromètre des ventes auprès des agences distributrices françaises.
Et désormais les distributeurs ont compris qu'ils peuvent s'adresser à un réceptif France comme ils s'adressent à un réceptif spécialiste du Vietnam, s'ils souhaitent faire la vente de cette destination ».
Du côté des Sud-Américains, nous voyons des clientèles émergentes de plus en plus présentes, comme les Brésiliens. Le marché international, qui constituait déjà notre clientèle n°1 avant la pandémie, l'est encore plus maintenant.
L'intermédiation, qui constituait déjà une valeur de réassurance pour eux, s'est renforcée, et les clients internationaux continuent de travailler avec nous car nous sommes leur relais, les experts sur la France pour leurs clients, qu'ils soient individuels ou en groupes ».
De la même façon, le marché domestique se développe depuis la pandémie, notamment grâce au partenariat que France DMC Alliance a su tisser avec la plateforme Ty-win, laquelle a signé plusieurs accords avec des réseaux de distribution.
Derniers en date : Salaün Holidays et Carrefour Voyages. Un autre réseau devrait être annoncé dans les prochains jours, qui rassemble plusieurs centaines d’agences en France et s’étendra bientôt en Europe.
« Tous ces accords vont permettre à nos membres d'avoir accès à plusieurs centaines, voire milliers d'agences de voyages en France, mais aussi en Belgique et bientôt en Allemagne et dans d'autres pays européens, souligne Patricia Linot.
C'est la plus grosse avancée que nous sommes en train de proposer à nos membres : l'accès à ces réseaux de distribution qui, jusqu'à maintenant, n'avaient pas identifié l'offre France au même titre que les packages à l'international ».
Or, souligne la présidente de France DMC Alliance, « aujourd'hui, on sait tous que la France représente 50% des ventes réalisées en agences, grâce aux chiffres officiels diffusés par les Entreprises du Voyage (EDV) qui effectuent régulièrement un baromètre des ventes auprès des agences distributrices françaises.
Et désormais les distributeurs ont compris qu'ils peuvent s'adresser à un réceptif France comme ils s'adressent à un réceptif spécialiste du Vietnam, s'ils souhaitent faire la vente de cette destination ».
L'inflation joue en faveur de la France
Le nouveau bureau de France DMC Alliance, avec Patricia Linot (présidente), Jean-Vincent Petit (vice-président), Pascal Brousset (trésorier), Jean-Luc Montembault (secrétaire général) et Sylvie Ysambert (coordinatrice projets) - Photo : FDMCA
Via la plateforme Ty-win, les agences de voyages ont désormais accès à des offres packagées de séjours en France, expériencielles et différenciantes. De nouveaux produits qui leur permettent, en plus, de gagner du temps.
« Les réceptifs français proposent bien sûr des visites incontournables. Je vais prendre le classique exemple du Mont-Saint-Michel. Mais à côté de ça, le réceptif va proposer un hôtel de charme, des adresses confidentielles pour faire des visites expérientielles et rencontrer un producteur local que le client n'aurait pas rencontré tout seul, poursuit Patricia Linot.
Les DMC ont leurs adresses, leurs clés pour ouvrir des domaines qui ne sont pas ouverts au public. Et quand les clients vont rentrer de leur séjour en France, qu'est-ce qu'ils vont dire ? « Nous avons visité le Mont-Saint-Michel avec un guide qui nous a fait découvrir des lieux non accessibles au grand public. Et puis on a fait une dégustation d'huîtres en plein milieu des parcs, c'était amusant ! »
Les Français sont comme les autres, ils ont envie de découvrir ou de redécouvrir leur pays, mais surtout d'avoir des choses à vivre, à partager, à raconter. Et il n'y a que les réceptifs qui peuvent leur apporter tout ça ».
Autre « alliée » des DMC français : l'inflation, qui se répercute partout et dans tous les pays. « Finalement, la France devient aussi compétitive à ce niveau-là, parce qu'au moins, les clients n'ont pas à dépenser 4 000 euros dans des billets d'avion. Ils peuvent prendre la voiture ou le train, et faire des économies qu'ils peuvent remettre dans le budget des vacances », martèle Patricia Linot.
« Les réceptifs français proposent bien sûr des visites incontournables. Je vais prendre le classique exemple du Mont-Saint-Michel. Mais à côté de ça, le réceptif va proposer un hôtel de charme, des adresses confidentielles pour faire des visites expérientielles et rencontrer un producteur local que le client n'aurait pas rencontré tout seul, poursuit Patricia Linot.
Les DMC ont leurs adresses, leurs clés pour ouvrir des domaines qui ne sont pas ouverts au public. Et quand les clients vont rentrer de leur séjour en France, qu'est-ce qu'ils vont dire ? « Nous avons visité le Mont-Saint-Michel avec un guide qui nous a fait découvrir des lieux non accessibles au grand public. Et puis on a fait une dégustation d'huîtres en plein milieu des parcs, c'était amusant ! »
Les Français sont comme les autres, ils ont envie de découvrir ou de redécouvrir leur pays, mais surtout d'avoir des choses à vivre, à partager, à raconter. Et il n'y a que les réceptifs qui peuvent leur apporter tout ça ».
Autre « alliée » des DMC français : l'inflation, qui se répercute partout et dans tous les pays. « Finalement, la France devient aussi compétitive à ce niveau-là, parce qu'au moins, les clients n'ont pas à dépenser 4 000 euros dans des billets d'avion. Ils peuvent prendre la voiture ou le train, et faire des économies qu'ils peuvent remettre dans le budget des vacances », martèle Patricia Linot.
Des opérations marketing décuplées en 2024
En parallèle de l'argument économique, s'ajoute la raison durable. Le tourisme de proximité permet à la fois de redécouvrir son pays, et quelquefois sa propre région, mais également de le faire de manière responsable.
Les voyageurs vont marcher pour découvrir les grands espaces, une forêt ; ils vont aller à la rencontre d'un producteur ; participer à un cours de cuisine ; s'essayer à la poterie. « Cette prise de conscience, elle ne touche pas que le client individuel, elle est aussi présente dans le secteur du MICE et du tourisme d'affaires.
Les entreprises françaises se recentrent davantage sur des événements en France. Elles prennent le train, vont à deux heures de l'Île-de-France ou emmènent les équipes au bord de la mer ou à la montagne.
Mais, très clairement, elles se focalisent sur les activités du séjour, et non plus sur la réunion. Alors que précédemment, c'était l'inverse, c'était d'abord le travail, et puis une activité pour faire sympa. Maintenant, avec le télétravail, les entreprises ont besoin de resserrer les équipes », analyse Patricia Linot.
Ainsi, entre la relance sur les marchés internationaux et le développement du marché domestique, France DMC Alliance va continuer d'accroître ses opérations marketing.
Lors de son AG à Lyon, l'association a dévoilé les grands projets de 2024, après avoir, en 2023, procédé à une refonte de son site Internet. « Le site france-dmc-alliance.com est la vitrine de l'association, mais surtout de nos membres car il permet d'apporter un éclairage sur les spécificités de chacun.
Cette refonte a vraiment été un chantier important, mais très utile. Environ 200 contacts par an arrivent grâce au site, ils sont partagés avec tous les membres de manière quasi immédiate.
Dès lors, chaque membre va pouvoir traiter une partie de la demande, si elle englobe plusieurs régions, ou alors un DMC va porter le projet et faire travailler les autres », explique Patricia Linot.
Les voyageurs vont marcher pour découvrir les grands espaces, une forêt ; ils vont aller à la rencontre d'un producteur ; participer à un cours de cuisine ; s'essayer à la poterie. « Cette prise de conscience, elle ne touche pas que le client individuel, elle est aussi présente dans le secteur du MICE et du tourisme d'affaires.
Les entreprises françaises se recentrent davantage sur des événements en France. Elles prennent le train, vont à deux heures de l'Île-de-France ou emmènent les équipes au bord de la mer ou à la montagne.
Mais, très clairement, elles se focalisent sur les activités du séjour, et non plus sur la réunion. Alors que précédemment, c'était l'inverse, c'était d'abord le travail, et puis une activité pour faire sympa. Maintenant, avec le télétravail, les entreprises ont besoin de resserrer les équipes », analyse Patricia Linot.
Ainsi, entre la relance sur les marchés internationaux et le développement du marché domestique, France DMC Alliance va continuer d'accroître ses opérations marketing.
Lors de son AG à Lyon, l'association a dévoilé les grands projets de 2024, après avoir, en 2023, procédé à une refonte de son site Internet. « Le site france-dmc-alliance.com est la vitrine de l'association, mais surtout de nos membres car il permet d'apporter un éclairage sur les spécificités de chacun.
Cette refonte a vraiment été un chantier important, mais très utile. Environ 200 contacts par an arrivent grâce au site, ils sont partagés avec tous les membres de manière quasi immédiate.
Dès lors, chaque membre va pouvoir traiter une partie de la demande, si elle englobe plusieurs régions, ou alors un DMC va porter le projet et faire travailler les autres », explique Patricia Linot.
Ditex, congrès EDV, IFTM... une année dense pour France DMC Alliance
En 2024, l'association va mettre le booster sur les salons.
Un groupe de réflexion et de travail, créé en 2023 et baptisé « Démarchons Ensemble » va justement se pencher sur cette thématique afin que l'alliance soit présente sur un maximum de salons, soit avec des stands individuels - si le salon correspond à l'activité ou la thématique spécifique d'une agence -, soit en se regroupant à plusieurs réceptifs pour partager un grand stand, soit au travers de France DMC Alliance qui va prendre un stand copartagé avec ses adhérents, afin d'avoir une superficie plus importante.
Ce sera notamment le cas cette semaine, à Marseille, sur le salon Ditex, où France DMC Alliance disposera pour la première fois d'un stand.
Autre date importante pour l'association : le congrès des Entreprises du Voyage (EDV) qui se tiendra fin juin en France, à Val d'Isère. « Pour la première fois, bon nombre des membres de France DMC Alliance participeront au congrès national des EDV et auront la possibilité également de valoriser l'offre France et de rencontrer de nombreux distributeurs.
Ce congrès est pour nous une très belle opportunité de mettre en lumière l'importance des agences réceptives françaises. Il s'agit d'un message fort envoyé par Valérie Boned, la présidente du syndicat, qui a fait ce choix avec la volonté affirmée de soutenir la destination France et notre métier de réceptif », ajoute Patricia Linot.
Lire aussi : EDV : le Conseil du voyage en France déroule une feuille de route ambitieuse 🔑
Puis en septembre, l'association renouvellera sa participation à l'IFTM Top Resa, mais ne reprendra pas de stand dans la zone MICE. « A la place, nous participerons à d'autres salons dédiés au MICE », indique la présidente.
Après une très belle année 2023, France DMC Alliance poursuit donc sur sa lancée et continue de développer son réseau. « En 2024, une vingtaine d'agences vont nous rejoindre, ce qui nous permettra de renforcer notre présence dans toutes les régions françaises », se réjouit Patricia Linot. L'association compte déjà une cinquantaine d'agences, réparties entre la métropole et les territoires ultramarins.
Un groupe de réflexion et de travail, créé en 2023 et baptisé « Démarchons Ensemble » va justement se pencher sur cette thématique afin que l'alliance soit présente sur un maximum de salons, soit avec des stands individuels - si le salon correspond à l'activité ou la thématique spécifique d'une agence -, soit en se regroupant à plusieurs réceptifs pour partager un grand stand, soit au travers de France DMC Alliance qui va prendre un stand copartagé avec ses adhérents, afin d'avoir une superficie plus importante.
Ce sera notamment le cas cette semaine, à Marseille, sur le salon Ditex, où France DMC Alliance disposera pour la première fois d'un stand.
Autre date importante pour l'association : le congrès des Entreprises du Voyage (EDV) qui se tiendra fin juin en France, à Val d'Isère. « Pour la première fois, bon nombre des membres de France DMC Alliance participeront au congrès national des EDV et auront la possibilité également de valoriser l'offre France et de rencontrer de nombreux distributeurs.
Ce congrès est pour nous une très belle opportunité de mettre en lumière l'importance des agences réceptives françaises. Il s'agit d'un message fort envoyé par Valérie Boned, la présidente du syndicat, qui a fait ce choix avec la volonté affirmée de soutenir la destination France et notre métier de réceptif », ajoute Patricia Linot.
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Puis en septembre, l'association renouvellera sa participation à l'IFTM Top Resa, mais ne reprendra pas de stand dans la zone MICE. « A la place, nous participerons à d'autres salons dédiés au MICE », indique la présidente.
Après une très belle année 2023, France DMC Alliance poursuit donc sur sa lancée et continue de développer son réseau. « En 2024, une vingtaine d'agences vont nous rejoindre, ce qui nous permettra de renforcer notre présence dans toutes les régions françaises », se réjouit Patricia Linot. L'association compte déjà une cinquantaine d'agences, réparties entre la métropole et les territoires ultramarins.