Proposer aux passagers de passer une nuit sous le soleil de minuit, sur les ponts extérieurs, je trouve ça formidable. C'est revenir aux vraies valeurs de l'Express Côtier - DR : Andreas Johansen
Depuis le 1er juin 2014, les passagers de la ligne de l‘Express Côtier d'Hurtigruten peuvent profiter de multiples activités à bord des navires durant l’été.
Parmi celles-ci, le fait de pouvoir passer la nuit sur les ponts extérieurs, dans des sacs de couchage, pour profiter du soleil de minuit au fil des côtes de Norvège.
Ce qui pourrait de prime abord passer pour un détail est en réalité un exemple très fort de ce que peut être une vraie croisière de découverte, centrée sur la destination.
Tous ceux qui sont allés en Norvège en été et ont découvert, en remontant la côte, la splendeur et la luminosité si particulières de la nuit sans nuit, me comprendront.
Le bateau se glisse doucement entre fjords, montagnes et archipels, croisant les petits ports et les villages endormis.
Sous le soleil de minuit, une impression de paix vous pénètre jusqu’à la moelle des os.
L’émotion intense que procure ce spectacle naturel éblouissant au sens propre comme au figuré, ce sentiment de plénitude, la plupart des passagers le ressentent et le vivent comme une expérience bouleversante.
Parmi celles-ci, le fait de pouvoir passer la nuit sur les ponts extérieurs, dans des sacs de couchage, pour profiter du soleil de minuit au fil des côtes de Norvège.
Ce qui pourrait de prime abord passer pour un détail est en réalité un exemple très fort de ce que peut être une vraie croisière de découverte, centrée sur la destination.
Tous ceux qui sont allés en Norvège en été et ont découvert, en remontant la côte, la splendeur et la luminosité si particulières de la nuit sans nuit, me comprendront.
Le bateau se glisse doucement entre fjords, montagnes et archipels, croisant les petits ports et les villages endormis.
Sous le soleil de minuit, une impression de paix vous pénètre jusqu’à la moelle des os.
L’émotion intense que procure ce spectacle naturel éblouissant au sens propre comme au figuré, ce sentiment de plénitude, la plupart des passagers le ressentent et le vivent comme une expérience bouleversante.
L'histoire de Scanditours liée à Hurtigruten
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Alors pouvoir, si on le désire, rester durant la nuit sur les ponts, allongé dans un sac de couchage, pour profiter pleinement de ces moments magiques, ce n’est pas un détail, c’est un « plus » bien réel, et qui répond d’ailleurs à une demande de nombreux passagers lors de chaque voyage. C'est-à-dire tous les jours !
Je me rends compte que tout cela peut sembler un peu abstrait. Alors je vais essayer de vous dire ce qu'est réellement la ligne de l'Express Côtier.
Je ne l'ai jamais fait jusqu'ici, parce que cette ligne maritime, j'en ai été partie prenante durant près de 30 ans, et je l'ai aimée plus qu'aucun voyage maritime mis à part une ou deux exceptions.
Aujourd'hui, cela va bientôt faire 4 ans que je l'ai quittée, alors il y a prescription : n'ayant plus aucun rapport professionnel avec Hurtigruten, je peux désormais en parler librement. Et vous raconter tout ça, en essayant de vous faire passer le "feeling".
Au début de 1984, je suis entré comme DG puis j'ai racheté une petite société, filiale parisienne d'un groupe de tourisme norvégien : sa principale activité, sous le nom de "Nordisk Voyages", était le réceptif de Scandinaves en France.
C'était aussi un petit tour-opérateur sur le Nord, qu'avec toute une belle équipe, nous avons fait grandir : c'est l'histoire de Scanditours.
Elle est intimement liée à celle de l'Express Côtier de Norvège, Hurtigruten, que je vous raconte aujourd'hui.
Je me rends compte que tout cela peut sembler un peu abstrait. Alors je vais essayer de vous dire ce qu'est réellement la ligne de l'Express Côtier.
Je ne l'ai jamais fait jusqu'ici, parce que cette ligne maritime, j'en ai été partie prenante durant près de 30 ans, et je l'ai aimée plus qu'aucun voyage maritime mis à part une ou deux exceptions.
Aujourd'hui, cela va bientôt faire 4 ans que je l'ai quittée, alors il y a prescription : n'ayant plus aucun rapport professionnel avec Hurtigruten, je peux désormais en parler librement. Et vous raconter tout ça, en essayant de vous faire passer le "feeling".
Au début de 1984, je suis entré comme DG puis j'ai racheté une petite société, filiale parisienne d'un groupe de tourisme norvégien : sa principale activité, sous le nom de "Nordisk Voyages", était le réceptif de Scandinaves en France.
C'était aussi un petit tour-opérateur sur le Nord, qu'avec toute une belle équipe, nous avons fait grandir : c'est l'histoire de Scanditours.
Elle est intimement liée à celle de l'Express Côtier de Norvège, Hurtigruten, que je vous raconte aujourd'hui.
L'arrivée de l'Express Côtier
Durant l'hiver 1984, il y a tout juste 30 ans, je me trouvais, à l'occasion de je ne sais quelle réunion, à Tromsø, bien au nord du Cercle polaire, et évidemment en pleine nuit.
Les rares humains que je croisais dans cette ville qui est la vraie "porte de l'Arctique", se trouvaient, tout comme moi, en train de boire une ou plusieurs bières dans un des bistrots du port, je crois que son nom était Skägen, ce qui signifie "cormoran" en norvégien.
Le bar était plein. Soudain, un bruit de sirène grave et un peu rauque traversa les murs du bistrot. Comme un seul homme, la plupart des clients se levèrent.
Ils vidèrent leurs verres dans un grand mouvement d'ensemble, et sortirent dans la nuit froide. Une chaude haleine de houblon sortait de leurs bouches tels de grandes bouffées de fumée rejoignant le ciel étoilé dans la nuit gelée.
Sur le quai, juste en face, un magnifique bateau noir, trapu mais élégant, était en train d'accoster. Il s'appelait Kong Olav.
Pour la première fois de ma vie, j'étais en train d'assister à l'arrivée de l'Express Côtier.
Cela faisait déjà plus de 90 ans que ce bateau et ses prédécesseurs avaient accosté tous les jours, toute l'année, à la même heure, sur ce même quai et dans 33 autres petits ports norvégiens, pour y prendre et y déposer le courrier, des marchandises de toutes sortes et des passagers.
Les rares humains que je croisais dans cette ville qui est la vraie "porte de l'Arctique", se trouvaient, tout comme moi, en train de boire une ou plusieurs bières dans un des bistrots du port, je crois que son nom était Skägen, ce qui signifie "cormoran" en norvégien.
Le bar était plein. Soudain, un bruit de sirène grave et un peu rauque traversa les murs du bistrot. Comme un seul homme, la plupart des clients se levèrent.
Ils vidèrent leurs verres dans un grand mouvement d'ensemble, et sortirent dans la nuit froide. Une chaude haleine de houblon sortait de leurs bouches tels de grandes bouffées de fumée rejoignant le ciel étoilé dans la nuit gelée.
Sur le quai, juste en face, un magnifique bateau noir, trapu mais élégant, était en train d'accoster. Il s'appelait Kong Olav.
Pour la première fois de ma vie, j'étais en train d'assister à l'arrivée de l'Express Côtier.
Cela faisait déjà plus de 90 ans que ce bateau et ses prédécesseurs avaient accosté tous les jours, toute l'année, à la même heure, sur ce même quai et dans 33 autres petits ports norvégiens, pour y prendre et y déposer le courrier, des marchandises de toutes sortes et des passagers.
Quand résonne la sirène d'approche...
A cette époque, l'Express Côtier, lorsqu'il restait plusieurs heures en escale comme à Tromsø, laissait librement monter à son bord les habitants des ports où il s'arrêtait. J'ai bien sûr suivi le mouvement.
L'ambiance au bar était... chaude et animée, et lorsque la sirène du navire annonça l'appareillage, nous ne descendîmes qu'à la toute dernière seconde, gentiment poussés dehors par le commissaire de bord, comme chaque soir sans doute depuis... 91 ans.
Jamais je n'avais vu un moyen de transport aussi intimement lié à l'histoire, aux paysages, à la vie, aux habitants d'un pays.
Rendez-vous compte : et imaginez par exemple que vous habitiez un petit village de Norvège isolé, tiens, par exemple Berlevåg.
Et imaginez encore, faites un effort, que vous vous rapprochiez du record de Jeanne Calment et que ayez aujourd'hui... 121 ans.
Eh bien tous les jours de votre vie, oui, tous les jours depuis votre naissance, vous auriez entendu chaque matin la sirène d'approche de l'Express Côtier qui se dirigeait vers l'extrême nord et la frontière russe.
Vous l'auriez vu débarquer les marchandises, vivres, matériaux, engins, indispensables à votre survie dans les régions arctiques. Vous y auriez accueilli des amis ou accompagné de la famille. Et le soir, Pôôûûût !!!
Revoici la sirène d'un autre des 11 bateaux de la ligne, qui redescend de Kirkenes à Bergen, pour y reprendre ou y délivrer des passagers et des marchandises, souvent du poisson, et poursuivre son infatigable mission.
L'ambiance au bar était... chaude et animée, et lorsque la sirène du navire annonça l'appareillage, nous ne descendîmes qu'à la toute dernière seconde, gentiment poussés dehors par le commissaire de bord, comme chaque soir sans doute depuis... 91 ans.
Jamais je n'avais vu un moyen de transport aussi intimement lié à l'histoire, aux paysages, à la vie, aux habitants d'un pays.
Rendez-vous compte : et imaginez par exemple que vous habitiez un petit village de Norvège isolé, tiens, par exemple Berlevåg.
Et imaginez encore, faites un effort, que vous vous rapprochiez du record de Jeanne Calment et que ayez aujourd'hui... 121 ans.
Eh bien tous les jours de votre vie, oui, tous les jours depuis votre naissance, vous auriez entendu chaque matin la sirène d'approche de l'Express Côtier qui se dirigeait vers l'extrême nord et la frontière russe.
Vous l'auriez vu débarquer les marchandises, vivres, matériaux, engins, indispensables à votre survie dans les régions arctiques. Vous y auriez accueilli des amis ou accompagné de la famille. Et le soir, Pôôûûût !!!
Revoici la sirène d'un autre des 11 bateaux de la ligne, qui redescend de Kirkenes à Bergen, pour y reprendre ou y délivrer des passagers et des marchandises, souvent du poisson, et poursuivre son infatigable mission.
LE produit touristique de la Norvège
Alors vous comprenez, l'Express Côtier, que les Norvégiens ont appelé Hurtigruten (les routes rapides), c'est une partie intégrante et indissociable de la Norvège la plus vivante et la plus authentique.
On se demande d'ailleurs par quelle étourderie cette ligne n'est pas encore classée au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Enfin, lorsqu'on est un encore jeune (nous sommes en 1984) tour-opérateur spécialisé sur la Scandinavie, on ne peut rester les bras ballants devant ce qui est de toute évidence LE produit touristique de la Norvège.
J'ai mis plusieurs années à en devenir l'agent général avant, bien plus tard, de construire leur filiale en France.
Il faut dire qu'à l'époque, la ligne de l'Express Côtier était exploitée par 5 compagnies rivales dont chacune possédait quelques navires, ce n'était pas facile - mais c'était formidablement excitant - de discuter avec les 5 à la fois !
La plupart de ces compagnies, d'ailleurs, ne s'intéressaient guère au tourisme : la ligne était avant tout destinée aux Norvégiens, c'était en quelque sorte la "ligne de vie" de la Norvège.
Et pourtant, il y en avait, des touristes étrangers à bord. Des voyageurs curieux, indépendants, libres, qui embarquaient sur ces bateaux mi-passagers mi-cargos et racontaient au retour ce qu'ils avaient vécu comme une vraie, une magnifique aventure.
Certains en faisaient même des romans, comme Georges Simenon dans Le passager du Polarlys.
On se demande d'ailleurs par quelle étourderie cette ligne n'est pas encore classée au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Enfin, lorsqu'on est un encore jeune (nous sommes en 1984) tour-opérateur spécialisé sur la Scandinavie, on ne peut rester les bras ballants devant ce qui est de toute évidence LE produit touristique de la Norvège.
J'ai mis plusieurs années à en devenir l'agent général avant, bien plus tard, de construire leur filiale en France.
Il faut dire qu'à l'époque, la ligne de l'Express Côtier était exploitée par 5 compagnies rivales dont chacune possédait quelques navires, ce n'était pas facile - mais c'était formidablement excitant - de discuter avec les 5 à la fois !
La plupart de ces compagnies, d'ailleurs, ne s'intéressaient guère au tourisme : la ligne était avant tout destinée aux Norvégiens, c'était en quelque sorte la "ligne de vie" de la Norvège.
Et pourtant, il y en avait, des touristes étrangers à bord. Des voyageurs curieux, indépendants, libres, qui embarquaient sur ces bateaux mi-passagers mi-cargos et racontaient au retour ce qu'ils avaient vécu comme une vraie, une magnifique aventure.
Certains en faisaient même des romans, comme Georges Simenon dans Le passager du Polarlys.
Dormir sur le pont, un retour aux vraies valeurs
Eh bien rien n'a changé.
Bien sûr, les bateaux sont devenus plus grands, et beaucoup plus confortables, bien sûr les touristes sont de plus en plus nombreux, mais l'expérience reste intacte.
Les 11 navires de Hurtigruten continuent imperturbablement à relier, tous les jours, toute l'année, été comme hiver, au fil de 34 escales, les petits ports norvégiens, délivrant et chargeant marchandises et passagers, allant là où aucun navire de croisière moderne ne fait escale, mariant service aux habitants et bonheur de la navigation au fil de paysages éblouissants.
Jadis, en été, bien des passagers ne prenaient pas de cabine et dormaient à l'extérieur sur les ponts. Il faut dire que le soleil de minuit, on voudrait, c'est d'ailleurs logique, en profiter 24 heures sur 24. Surtout après les longs mois d'hiver.
Alors lorsque j'apprends, au fil d'un communiqué, que Hurtigruten a décidé cet été de proposer aux passagers qui le désirent de passer une nuit ou une partie de la nuit, sous le soleil de minuit, sur les ponts extérieurs, en leur prêtant des sacs de couchage, eh bien je trouve ça formidable.
C'est revenir aux vraies valeurs de l'Express Côtier, et nul doute que les passagers les plus motivés vont se jeter sur cette proposition.
Comme d'ailleurs sur bien d'autres très bonnes idées, adaptées à chaque saison, qui rendent le voyage encore plus fort, encore plus complet, et vraiment différent de tout autre voyage ou croisière en Norvège.
Bien sûr, les bateaux sont devenus plus grands, et beaucoup plus confortables, bien sûr les touristes sont de plus en plus nombreux, mais l'expérience reste intacte.
Les 11 navires de Hurtigruten continuent imperturbablement à relier, tous les jours, toute l'année, été comme hiver, au fil de 34 escales, les petits ports norvégiens, délivrant et chargeant marchandises et passagers, allant là où aucun navire de croisière moderne ne fait escale, mariant service aux habitants et bonheur de la navigation au fil de paysages éblouissants.
Jadis, en été, bien des passagers ne prenaient pas de cabine et dormaient à l'extérieur sur les ponts. Il faut dire que le soleil de minuit, on voudrait, c'est d'ailleurs logique, en profiter 24 heures sur 24. Surtout après les longs mois d'hiver.
Alors lorsque j'apprends, au fil d'un communiqué, que Hurtigruten a décidé cet été de proposer aux passagers qui le désirent de passer une nuit ou une partie de la nuit, sous le soleil de minuit, sur les ponts extérieurs, en leur prêtant des sacs de couchage, eh bien je trouve ça formidable.
C'est revenir aux vraies valeurs de l'Express Côtier, et nul doute que les passagers les plus motivés vont se jeter sur cette proposition.
Comme d'ailleurs sur bien d'autres très bonnes idées, adaptées à chaque saison, qui rendent le voyage encore plus fort, encore plus complet, et vraiment différent de tout autre voyage ou croisière en Norvège.
Quatre ans après, j'ai pris du recul mais je vais vous le dire franchement : j'en ai les larmes aux yeux (mais c'est sûrement le soleil de minuit qui me cisaille) rien que de me rappeler tout ça.
J'espère surtout que ces lignes vous aideront aussi à expliquer à vos clients ce qu'est le voyage sur la ligne de l'Express Côtier, si différent, si unique, si authentique, si beau tout simplement.
Beau comme ce noyau dur des amoureux(ses) de l'Express Côtier en France, cette équipe de gens merveilleux avec lesquels j'ai eu tant de plaisir à travailler de Scanditours à Hurtigruten, pour faire connaître chez nous la Norvège authentique.
Aujourd'hui, c'est encore à elles et eux que je pense et à qui je dédie cette chronique un peu particulière.
J'espère surtout que ces lignes vous aideront aussi à expliquer à vos clients ce qu'est le voyage sur la ligne de l'Express Côtier, si différent, si unique, si authentique, si beau tout simplement.
Beau comme ce noyau dur des amoureux(ses) de l'Express Côtier en France, cette équipe de gens merveilleux avec lesquels j'ai eu tant de plaisir à travailler de Scanditours à Hurtigruten, pour faire connaître chez nous la Norvège authentique.
Aujourd'hui, c'est encore à elles et eux que je pense et à qui je dédie cette chronique un peu particulière.
François Weill a effectué la plus grande partie de sa carrière dans le tour operating et la croisière. Une carrière qu'il a débutée, après des études de philosophie, en 1974 chez American Express puis aux Croisières Paquet, avant de faire de sa propre entreprise, Scanditours, le 1er voyagiste français spécialiste des destinations nordiques.
A la fin des années 90, il vend Scanditours à Kuoni et, après une parenthèse de quelques années comme consultant, journaliste, et enseignant à l'université de Marne-la-Vallée, il crée la filiale française de Hurtigruten dont il assure la présidence et la direction jusqu'en 2010 avec le succès que l'on sait.
En 2008, le Roi Harald V lui a décerné le titre d'Officier de l'Ordre Royal du Mérite de Norvège, pour les services rendus au développement de cette destination sur le marché français.
Président de l'AFCC durant plusieurs années, François Weill a repris ses activités de consultant.
Contact : fw@francoisweill.fr
A la fin des années 90, il vend Scanditours à Kuoni et, après une parenthèse de quelques années comme consultant, journaliste, et enseignant à l'université de Marne-la-Vallée, il crée la filiale française de Hurtigruten dont il assure la présidence et la direction jusqu'en 2010 avec le succès que l'on sait.
En 2008, le Roi Harald V lui a décerné le titre d'Officier de l'Ordre Royal du Mérite de Norvège, pour les services rendus au développement de cette destination sur le marché français.
Président de l'AFCC durant plusieurs années, François Weill a repris ses activités de consultant.
Contact : fw@francoisweill.fr