3 000 passagers Marsans sur le tarmac ?
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Mais les juges s'aperçoivent que le demandeur n'a ni la qualité ni les titres nécessaires à requérir une telle procédure.
Mieux : il a été, la veille, convoqué par la Direction pour un entretien préalable et a fait l'objet d'une mise à pied conservatoire.
Constatant néanmoins qu'il y a "le feu", le Procureur de la République désigne un administrateur provisoire (Me Philippot).
C'est qu'affolé par l'ardoise (1,5 mie environ) XL Airways, principal transporteur du TO, menace de couper le jour même (le 14 avril) le robinet et de laisser sur le tarmac les 3 000 passagers de Marsans à faire partir et rapatrier.
Heureusement, la haute saison s'achève en République dominicaine et aux Caraïbes. Appelée à la rescousse, l'APS prend en urgence les commandes des opérations avec l'administrateur judiciaire et Laurent Magnin (XL) et parvient à mettre en place in extremis un dispositif pour acheminer et de ramener les clients du voyagiste.
Pendant ce temps, Bruno Gallois se répand en déclarations dans la presse professionnelle, où il n'est pas à une gesticulation ni contradiction près.
Me Philippot prend alors les commandes et nomme des interlocuteurs dans l'entreprise pour se plonger dans l'analyse des raisons qui ont mené Marsans International à la banqueroute.
Le redressement laisse envisager une lueur d'espoir pour les 97 salariés de l'entreprise qui ne chôment pas pour l'instant.
Aux prises avec le nuage de cendres qui vient de s'abattre sur l'espace aérien européen, ils tentent tant bien que mal de minimiser l'affolement qui s'est emparé des clients. Des client que les hôteliers en République dominiciaine ont pris en otage pour défaut de paiement du voyagiste...
Fin du 1er acte
Demain : II. Marsans-Transtours : Y aura-t-il un repreneur vendredi ?
Mieux : il a été, la veille, convoqué par la Direction pour un entretien préalable et a fait l'objet d'une mise à pied conservatoire.
Constatant néanmoins qu'il y a "le feu", le Procureur de la République désigne un administrateur provisoire (Me Philippot).
C'est qu'affolé par l'ardoise (1,5 mie environ) XL Airways, principal transporteur du TO, menace de couper le jour même (le 14 avril) le robinet et de laisser sur le tarmac les 3 000 passagers de Marsans à faire partir et rapatrier.
Heureusement, la haute saison s'achève en République dominicaine et aux Caraïbes. Appelée à la rescousse, l'APS prend en urgence les commandes des opérations avec l'administrateur judiciaire et Laurent Magnin (XL) et parvient à mettre en place in extremis un dispositif pour acheminer et de ramener les clients du voyagiste.
Pendant ce temps, Bruno Gallois se répand en déclarations dans la presse professionnelle, où il n'est pas à une gesticulation ni contradiction près.
Me Philippot prend alors les commandes et nomme des interlocuteurs dans l'entreprise pour se plonger dans l'analyse des raisons qui ont mené Marsans International à la banqueroute.
Le redressement laisse envisager une lueur d'espoir pour les 97 salariés de l'entreprise qui ne chôment pas pour l'instant.
Aux prises avec le nuage de cendres qui vient de s'abattre sur l'espace aérien européen, ils tentent tant bien que mal de minimiser l'affolement qui s'est emparé des clients. Des client que les hôteliers en République dominiciaine ont pris en otage pour défaut de paiement du voyagiste...
Fin du 1er acte
Demain : II. Marsans-Transtours : Y aura-t-il un repreneur vendredi ?