Sur le marché français les distributeurs ne sont pas équipés pour produire les stocks nécessaires au marché et les producteurs ne disposent pas du maillage serré offert à travers la France par les agences de voyages. En dépit du développement du commerce en ligne tout le monde a besoin de tout le monde. Pour combien de temps ?
En France toutes les agences de voyages disposant d’une licence et d’une garantie financière sont habilitées à exercer sous toutes ses formes le métier d’agent de voyages : production, distribution et tourisme d’accueil. Et personne ne s’en prive.
Les tour-opérateurs développent une production « multicanal », toutes filières confondues à commencer par leurs propres réseaux intégrés. La distribution se met en ordre de marche pour leur rendre la monnaie de leur pièce au risque de brouiller les pistes d’un consommateur qui se perd dans la confusion des genres et la jungle des prix.
Les agences ayant pignon sur rue qui organisent de A à Z les voyages de leurs clients individuels et groupes, sont légion depuis longtemps. Ce qui est nouveau ce sont les stratégies et les moyens qu’elles se donnent, notamment à travers les réseaux volontaires, pour réaliser et maîtriser leur propre production.
En France toutes les agences de voyages disposant d’une licence et d’une garantie financière sont habilitées à exercer sous toutes ses formes le métier d’agent de voyages : production, distribution et tourisme d’accueil. Et personne ne s’en prive.
Les tour-opérateurs développent une production « multicanal », toutes filières confondues à commencer par leurs propres réseaux intégrés. La distribution se met en ordre de marche pour leur rendre la monnaie de leur pièce au risque de brouiller les pistes d’un consommateur qui se perd dans la confusion des genres et la jungle des prix.
Les agences ayant pignon sur rue qui organisent de A à Z les voyages de leurs clients individuels et groupes, sont légion depuis longtemps. Ce qui est nouveau ce sont les stratégies et les moyens qu’elles se donnent, notamment à travers les réseaux volontaires, pour réaliser et maîtriser leur propre production.
Les TO ne sont pas équipés pour les groupes : un constat Tourcom
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Début 2006 le réseau Tourcom lançait « Tourcom Group ». « Nous lançons ce genre de services pour sécuriser nos adhérents et non pour concurrencer nos fournisseurs » précise Richard Vainopoulos.
Le président du réseau Tourcom estime qu’à de très rares exceptions près les TO ne sont pas équipés pour réaliser des voyages sur mesure - surtout quand il s’agit de « dernière minute » - et encore moins des voyages de groupes personnalisés.
« En matière de groupes les TO proposent des modules préfabriqués qui ne correspondent pas à la demande. D’ailleurs les groupes ponctuels ne représente que 6 % du volume d’affaires des TO ».
Tourcom qui entend développer chez ses adhérents l’activité des groupes a mis en place dans son programme de formation un module réservé au leur traitement et à leur réalisation.
Distributeur avant tout, Richard Vainopoulos n’a aucune prérogative sur le métier de TO.
« Ce n’est pas notre rôle et nous ne serons jamais équipés pour faire une production nécessitant de lourds engagements aériens et hôteliers sur des destinations comme les Baléares, la Tunisie ou le Maroc ».
La mise en place de Tourcom Group est aussi une réponse aux risques engagés ponctuellement par une petite structure en termes de garantie financière et de responsabilité civile.
En cas de défaillance d’un réceptif l’adhérent n’aura plus à rembourser son client en fonds propres. « Aujourd’hui, sur le marché des groupes, ce sont les prestataires réceptifs et les compagnies aériennes qui sont les plus dangereux, pas les agences de voyages ».
Garantis par une assurance les fonds déposés chez TourFinances sont contractuellement destinés aux fournisseurs, la banque en garantissant le dépôt. La mise en place de ce service réalisé en collaboration avec des cabinets fiscaux internationaux et des banques a pris deux ans.
(A SUIVRE) : II - La distribution peut-elle se passer des TO ? : « Nous ne sommes pas plus bêtes que nos clients ! »
Le président du réseau Tourcom estime qu’à de très rares exceptions près les TO ne sont pas équipés pour réaliser des voyages sur mesure - surtout quand il s’agit de « dernière minute » - et encore moins des voyages de groupes personnalisés.
« En matière de groupes les TO proposent des modules préfabriqués qui ne correspondent pas à la demande. D’ailleurs les groupes ponctuels ne représente que 6 % du volume d’affaires des TO ».
Tourcom qui entend développer chez ses adhérents l’activité des groupes a mis en place dans son programme de formation un module réservé au leur traitement et à leur réalisation.
Distributeur avant tout, Richard Vainopoulos n’a aucune prérogative sur le métier de TO.
« Ce n’est pas notre rôle et nous ne serons jamais équipés pour faire une production nécessitant de lourds engagements aériens et hôteliers sur des destinations comme les Baléares, la Tunisie ou le Maroc ».
La mise en place de Tourcom Group est aussi une réponse aux risques engagés ponctuellement par une petite structure en termes de garantie financière et de responsabilité civile.
En cas de défaillance d’un réceptif l’adhérent n’aura plus à rembourser son client en fonds propres. « Aujourd’hui, sur le marché des groupes, ce sont les prestataires réceptifs et les compagnies aériennes qui sont les plus dangereux, pas les agences de voyages ».
Garantis par une assurance les fonds déposés chez TourFinances sont contractuellement destinés aux fournisseurs, la banque en garantissant le dépôt. La mise en place de ce service réalisé en collaboration avec des cabinets fiscaux internationaux et des banques a pris deux ans.
(A SUIVRE) : II - La distribution peut-elle se passer des TO ? : « Nous ne sommes pas plus bêtes que nos clients ! »