Le cas d’Orly est encore plus pitoyable
Le cas d’Orly est encore plus pitoyable bien que cet aéroport bénéficie d’une proximité par rapport à Paris bien meilleure que Charles de Gaulle : 12 km contre 27 km, mais la desserte par voie ferrée est inexistante alors même que les constructeurs d’Orly Sud, inaugurée rappelons-le en 1960 par le Général de Gaulle, avaient prévu une gare à l’intérieur de l’aérogare.
L’emplacement existe toujours, mais il n’a jamais été utilisé et les malheureux passagers sont déposés à 2 km de l’aéroport où ils sont invités à prendre un bus vétuste d’Aéroports de Paris. Tout cela est lamentable et ce n’est certainement pas la desserte automatique avec un VAL d’ailleurs pratique, qui peut se substituer à cette défaillance, car le VAL ne va pas à Paris mais à la gare d’Antony où les passagers sont invités à monter dans les wagons du RER B surchargés en passant comme ils le peuvent leurs bagages dans les portillons évidemment pas conçus pour cela.
Oui, pitoyable est hélas bien le mot, et on ne voit absolument pas ce qui va changer dans les 5 prochaines années.
L’emplacement existe toujours, mais il n’a jamais été utilisé et les malheureux passagers sont déposés à 2 km de l’aéroport où ils sont invités à prendre un bus vétuste d’Aéroports de Paris. Tout cela est lamentable et ce n’est certainement pas la desserte automatique avec un VAL d’ailleurs pratique, qui peut se substituer à cette défaillance, car le VAL ne va pas à Paris mais à la gare d’Antony où les passagers sont invités à monter dans les wagons du RER B surchargés en passant comme ils le peuvent leurs bagages dans les portillons évidemment pas conçus pour cela.
Oui, pitoyable est hélas bien le mot, et on ne voit absolument pas ce qui va changer dans les 5 prochaines années.