Des progrès à faire dans la signalétique
L’autre reproche majeur tient à la signalétique. Je veux bien que l’exercice soit difficile compte tenu du nombre de compagnies : près de 150, du nombre de terminaux : 9 pour le seul Roissy et la diversité des destinations.
Raison de plus pour se pencher très sérieusement sur le problème et à trouver des solutions qui soient d’un standard international et non pas local. Car enfin Roissy n’est pas le seul aéroport au monde a devoir résoudre cette difficulté.
C’est le lot de tous les grands aéroports mondiaux et il y en a bien une bonne vingtaine dans ce cas. Le premier des services à rendre aux clients est de leur permettre d’identifier à coup sur où part leur vol pour ceux qui s’en vont, et où partent les liaisons avec la ville pour ceux qui arrivent.
Bien évidemment on me fait remarquer que les clients n’ont qu’à lire leur billet où tout est marqué. Non seulement cela est faux, mais en plus les billets sont encore illisibles sauf par les initiés alors que l’électronique devrait permettre de joindre au moins un plan d’accès à la porte d’embarquement.
Mais cela est l’affaire des compagnies et les relations entre les transporteurs et Aéroports de Paris ne sont pas toujours focalisées sur les services aux passagers.
Raison de plus pour se pencher très sérieusement sur le problème et à trouver des solutions qui soient d’un standard international et non pas local. Car enfin Roissy n’est pas le seul aéroport au monde a devoir résoudre cette difficulté.
C’est le lot de tous les grands aéroports mondiaux et il y en a bien une bonne vingtaine dans ce cas. Le premier des services à rendre aux clients est de leur permettre d’identifier à coup sur où part leur vol pour ceux qui s’en vont, et où partent les liaisons avec la ville pour ceux qui arrivent.
Bien évidemment on me fait remarquer que les clients n’ont qu’à lire leur billet où tout est marqué. Non seulement cela est faux, mais en plus les billets sont encore illisibles sauf par les initiés alors que l’électronique devrait permettre de joindre au moins un plan d’accès à la porte d’embarquement.
Mais cela est l’affaire des compagnies et les relations entre les transporteurs et Aéroports de Paris ne sont pas toujours focalisées sur les services aux passagers.
Avec l’expérience, il m’apparaît que les Allemands sont très performants en ce domaine. Pourquoi alors s’acharne-t-on à confier à des français dont ce n’est certainement pas la spécialité, une tâche qui pourrait être réalisée de manière beaucoup plus efficace par nos amis Germains ?
Cela fait des années que ces défauts majeurs sont constatés par les clients et moqués, c’est le mot qui convient par les étrangers. Que faut-il donc faire pour que les responsables d’Aéroports de Paris prennent ces sujets à bras de corps ?
C’est leur responsabilité, c’est leur devoir et ce serait leur honneur de les résoudre.
Cela fait des années que ces défauts majeurs sont constatés par les clients et moqués, c’est le mot qui convient par les étrangers. Que faut-il donc faire pour que les responsables d’Aéroports de Paris prennent ces sujets à bras de corps ?
C’est leur responsabilité, c’est leur devoir et ce serait leur honneur de les résoudre.
Jean-Louis Baroux, est l'ancien président d'APG (Air Promotion Group) et le créateur du CAF (Cannes Airlines Forum) devenu le World Air Forum.
Grand spécialiste de l'aérien, vient de signer aux éditions L'Archipel ''Compagnies Aériennes : la faillite du modèle'', un ouvrage que tous les professionnels du tourisme devraient avoir lu.
Les droits d'auteur de l'ouvrage seront reversés à une association caritative. On peut l'acquérir à cette adresse : www.editionsarchipel.com
Grand spécialiste de l'aérien, vient de signer aux éditions L'Archipel ''Compagnies Aériennes : la faillite du modèle'', un ouvrage que tous les professionnels du tourisme devraient avoir lu.
Les droits d'auteur de l'ouvrage seront reversés à une association caritative. On peut l'acquérir à cette adresse : www.editionsarchipel.com